2008-01-15, 08:53 PM
[Allons-zy]
Khrys Edelman et Itzhak Abbart Daykhard se mettent donc en route vers la cité, où les derniers élégants badauds finissent d'entrer. Il y a quand même deux bons kilomètres à faire à pied ; mais la journée est belle et le soleil n'est pas près de se coucher. On aurait de la chance si la durée de la nuit atteignait deux heures.
Ils arrivèrent enfin à Caltradazome, par une porte qui ressemblait déjà à l'accès l'accès à le cité du bas moyen-age qu'elle était en train de devenir.
Deux gardes voulurent contrôler les caisses, bien sur, et le deux hommes durent payer un petit quelque chose pour qu'on les laisse passer.
La ville était relativement bien construite, en pierres de taille. Un système d'éclairage publique composé de réverbères électriques remplissait sans doute toujours son office la nuit, quoique de curieuse : on leur avait accroché des lampes à huile :?
Sandaahr Fénilara se rendit compte que son petit jeu de toupie à 100 m au dessus des toits ne serait pas tenable longtemps, mais pour le moment ça allait encore.
Le Commandant et son garde du corps étaient très regardés. Des yeux méprisants les considéraient comme s'ils étaient couverts de matière peu ragoutante. Comme ils avançaient dans les ruelles bien pavées, les "gens de Rubisse" se firent presque hostiles. Presque car Daykhard vit nettement une mère empêcher son horrible rejeton de leur jeter quelque chose ; une pierre sans doute.
Ils arrivèrent sur la place du marché, où il y avait du monde. Visiblement, l'arrivée du Méphisto avait interrompu les ventes, qui venaient de reprendre de plus belle.
La place occupait un carré de 50 mètres de côté en plein centre ville. L'endroit était assez élevé, ce qui permettait de voir nettement lac et montagnes, pas si lointains. Des étals étaient installés au pieds de poteaux surmontés de blasons représentant, assez naïvement, divers produits.
Que font nos marchands ?
Khrys Edelman et Itzhak Abbart Daykhard se mettent donc en route vers la cité, où les derniers élégants badauds finissent d'entrer. Il y a quand même deux bons kilomètres à faire à pied ; mais la journée est belle et le soleil n'est pas près de se coucher. On aurait de la chance si la durée de la nuit atteignait deux heures.
Ils arrivèrent enfin à Caltradazome, par une porte qui ressemblait déjà à l'accès l'accès à le cité du bas moyen-age qu'elle était en train de devenir.
Deux gardes voulurent contrôler les caisses, bien sur, et le deux hommes durent payer un petit quelque chose pour qu'on les laisse passer.
La ville était relativement bien construite, en pierres de taille. Un système d'éclairage publique composé de réverbères électriques remplissait sans doute toujours son office la nuit, quoique de curieuse : on leur avait accroché des lampes à huile :?
Sandaahr Fénilara se rendit compte que son petit jeu de toupie à 100 m au dessus des toits ne serait pas tenable longtemps, mais pour le moment ça allait encore.
Le Commandant et son garde du corps étaient très regardés. Des yeux méprisants les considéraient comme s'ils étaient couverts de matière peu ragoutante. Comme ils avançaient dans les ruelles bien pavées, les "gens de Rubisse" se firent presque hostiles. Presque car Daykhard vit nettement une mère empêcher son horrible rejeton de leur jeter quelque chose ; une pierre sans doute.
Ils arrivèrent sur la place du marché, où il y avait du monde. Visiblement, l'arrivée du Méphisto avait interrompu les ventes, qui venaient de reprendre de plus belle.
La place occupait un carré de 50 mètres de côté en plein centre ville. L'endroit était assez élevé, ce qui permettait de voir nettement lac et montagnes, pas si lointains. Des étals étaient installés au pieds de poteaux surmontés de blasons représentant, assez naïvement, divers produits.
Que font nos marchands ?
Par notre sainte patronne Rosalia Goutte de pluie, je jure d'assurer la libre circulation des Etres, leur sécurité et leur confort et de les amener à bon astroport fût-ce au péril de mon vaisseau ou de ma vie.