2007-10-13, 07:33 PM
[Satu 6 quinte 503 - 11ème heure]
Monsieur Fénilara s'éveilla un peu avant la douzième heure, après six heures de sommeil, comme il l'avait prévu.
Bon, il n'avait toujours pas sa trousse. Il sortit donc rapidement et, mu par une inspiration subite, passa par le magasin de l'astroport, des fois que. Vingt minutes plus tard, il en ressortait triomphant, un paquet sous le bras ! "Les saisies en douane. Je n'y pense jamais ..." Putaingue, il l'avait payée 1000 ¢ ; un truc pareil. Et pas de loup : il avait bien vérifié.
Il passa très rapidement porter son achat dans la cabine qui, bientôt, deviendrait son seul logis. Epstar était fort occupé avec les gamins. Bien. Autant le laisser faire et aller directement chez Cachon.
Bon, autant le dire tout de suite : ce n'était pas le Souk. Cachon était un magasin de luxe situé dans le tout petit hyper-centre d'Emporion Magna. Un formec en gardait l'entrée, qui ne le laissa passer que quant il eut prouvé que, oui, il avait un travail et un logement, qu'il était solvable et hors emprise de stupéfiants quelconques.
Le vrai luxe pensa-t-il est discret. Et de fait, les étals étaient sobres, le magasin n'était pas bondé, loin de là, mais il était lumineuse et immense (il occupait plusieurs niveaux d'un bloc d'immeubles).
Oui, il y avait des armes primitive dans le rayon sport. Il y en avait peu, mais apparemment de bonne qualité. Et là ...
Elle était seule. Elle s'était encore changée : elle portait une tenue dite "à la tchine" noire, veste et pantalon près du corps fermés non par des boutons de cotons mais par de bonnes agrafes magnétiques camouflées. Aux pieds, des ballerines de feutre.
Elle faisait tourner une flèche au bout de son doigt, puis une autre, puis une autre ... Elle prit conscience de sa présence, et se fendit d'un de ses rares rares rares sourires.
Cela me fait plaisir de vous rencontrer ici dit Sémirande Voir que vous vous intéressez à ces outils me fait me sentir moins seule.
Monsieur Fénilara s'éveilla un peu avant la douzième heure, après six heures de sommeil, comme il l'avait prévu.
Bon, il n'avait toujours pas sa trousse. Il sortit donc rapidement et, mu par une inspiration subite, passa par le magasin de l'astroport, des fois que. Vingt minutes plus tard, il en ressortait triomphant, un paquet sous le bras ! "Les saisies en douane. Je n'y pense jamais ..." Putaingue, il l'avait payée 1000 ¢ ; un truc pareil. Et pas de loup : il avait bien vérifié.
Il passa très rapidement porter son achat dans la cabine qui, bientôt, deviendrait son seul logis. Epstar était fort occupé avec les gamins. Bien. Autant le laisser faire et aller directement chez Cachon.
Bon, autant le dire tout de suite : ce n'était pas le Souk. Cachon était un magasin de luxe situé dans le tout petit hyper-centre d'Emporion Magna. Un formec en gardait l'entrée, qui ne le laissa passer que quant il eut prouvé que, oui, il avait un travail et un logement, qu'il était solvable et hors emprise de stupéfiants quelconques.
Le vrai luxe pensa-t-il est discret. Et de fait, les étals étaient sobres, le magasin n'était pas bondé, loin de là, mais il était lumineuse et immense (il occupait plusieurs niveaux d'un bloc d'immeubles).
Oui, il y avait des armes primitive dans le rayon sport. Il y en avait peu, mais apparemment de bonne qualité. Et là ...
Elle était seule. Elle s'était encore changée : elle portait une tenue dite "à la tchine" noire, veste et pantalon près du corps fermés non par des boutons de cotons mais par de bonnes agrafes magnétiques camouflées. Aux pieds, des ballerines de feutre.
Elle faisait tourner une flèche au bout de son doigt, puis une autre, puis une autre ... Elle prit conscience de sa présence, et se fendit d'un de ses rares rares rares sourires.
Cela me fait plaisir de vous rencontrer ici dit Sémirande Voir que vous vous intéressez à ces outils me fait me sentir moins seule.
Par notre sainte patronne Rosalia Goutte de pluie, je jure d'assurer la libre circulation des Etres, leur sécurité et leur confort et de les amener à bon astroport fût-ce au péril de mon vaisseau ou de ma vie.