2007-10-11, 08:30 PM
Jove 4 Prima 1503 - 21ème heure (Fête de la respiration).
[Hum ... :neutral: ]
Flicaille sembla tout d'abord
hock: n'en pas croire ses oreilles. Puis apparut une sorte de :x rictus sur son visage avenant. Il se lèva, considèra les 60 kilos de M. Edelman et 
éclata de rire.
"Ahahahahah ! Tu manques pas d'air, toi. Tiens, bois un coup. Non, pas la liqueur d'écorce, elle est cancérigène. Prends le truc avé la tête de mort, là. Bon, je t'essplique" (sic).
L'ancien policier se cala dans son fauteuil, sortit un énorme barreau de chaise d'on ne sait où. Il l'alluma au moyen d'un petit pistolet laser et continua.
"Ici, si t'écoutes pas, tu fais pas de vieux os. Alors ouvre bien grand tes oreilles, petit gars :
- T'as parlé de l'étiquette sanitaire. Eh bien sache que les caisses viennent de chez le client final. C'était des espèces de fruits dégueulasses. J'ai fait refuser ces cochonneries mais j'ai récupéré les caisses après avoir fait bouffer leur contenu à un mec qui me devait du pognon. Et j'ai mis les flingues dans les caisses, qui doivent repartir pour Rubisse à leurs frais pour leur apprendre à empoisonner les citoyens de l'Empire. Des pétards dans des caisses de trucs pourraves : même maintenant, plus c'est con, plus ca marche.
- Pour la saisie, j'te répète : y'en aura pas. J'risque qu'une amende.
- Pour le pognon, 14 patates, ça commence à faire, et'gros. Il m'faut des garanties, tu piges ? Moi, j'veux bien te les vendre, et même te laisser un jour ou deux pour trouver le pèze. Mais t'as intérêt à déposer les blocs avant de prendre quoique ce soit"
Il se rendait sans doute bien compte d l'effet de son petit laïus. Satisfait, il jeta un bout de ration à son Lopal. Les mandibules claquèrent désagréablement.
"Tu sais, j'crois qu'tu peux faire une jolie culbute, avec çà mais ..." une pause " ... Les flingues, c'est pas des salopettes Malachites, si tu vois c'que j'veux dire."
Monsieur Edelman se rendit alors compte que le Souk valait bien certaines écoles de commerce
[Hum ... :neutral: ]
Flicaille sembla tout d'abord
hock: n'en pas croire ses oreilles. Puis apparut une sorte de :x rictus sur son visage avenant. Il se lèva, considèra les 60 kilos de M. Edelman et éclata de rire."Ahahahahah ! Tu manques pas d'air, toi. Tiens, bois un coup. Non, pas la liqueur d'écorce, elle est cancérigène. Prends le truc avé la tête de mort, là. Bon, je t'essplique" (sic).
L'ancien policier se cala dans son fauteuil, sortit un énorme barreau de chaise d'on ne sait où. Il l'alluma au moyen d'un petit pistolet laser et continua.
"Ici, si t'écoutes pas, tu fais pas de vieux os. Alors ouvre bien grand tes oreilles, petit gars :
- T'as parlé de l'étiquette sanitaire. Eh bien sache que les caisses viennent de chez le client final. C'était des espèces de fruits dégueulasses. J'ai fait refuser ces cochonneries mais j'ai récupéré les caisses après avoir fait bouffer leur contenu à un mec qui me devait du pognon. Et j'ai mis les flingues dans les caisses, qui doivent repartir pour Rubisse à leurs frais pour leur apprendre à empoisonner les citoyens de l'Empire. Des pétards dans des caisses de trucs pourraves : même maintenant, plus c'est con, plus ca marche.
- Pour la saisie, j'te répète : y'en aura pas. J'risque qu'une amende.
- Pour le pognon, 14 patates, ça commence à faire, et'gros. Il m'faut des garanties, tu piges ? Moi, j'veux bien te les vendre, et même te laisser un jour ou deux pour trouver le pèze. Mais t'as intérêt à déposer les blocs avant de prendre quoique ce soit"
Il se rendait sans doute bien compte d l'effet de son petit laïus. Satisfait, il jeta un bout de ration à son Lopal. Les mandibules claquèrent désagréablement.
"Tu sais, j'crois qu'tu peux faire une jolie culbute, avec çà mais ..." une pause " ... Les flingues, c'est pas des salopettes Malachites, si tu vois c'que j'veux dire."
Monsieur Edelman se rendit alors compte que le Souk valait bien certaines écoles de commerce
Par notre sainte patronne Rosalia Goutte de pluie, je jure d'assurer la libre circulation des Etres, leur sécurité et leur confort et de les amener à bon astroport fût-ce au péril de mon vaisseau ou de ma vie.