2007-06-20, 09:11 PM
[Bien donc je continue ici pour l'intégration de Sandaahr à la T.S.A.]
Le jour se levant à peine lorsqu’il avait réussi à trouver un lit, Sandaahr se réveilla alors que l’après-midi tirait sur sa fin. Il se mit en quête d’une douche sonique pour se débarrasser de la saleté qui commençait à l’envahir, il se changea donc, lava son manteau.
Après cela, il se balada sur la base à la recherche de ses collègues en attachant une attention particulière aux Eglises auxquels appartiennent les prêtres de la T.S.A.
Ne voyant pas Sémirande, et voulant profiter de sa seule journée de repos pour les deux semaines à venir, il emprunta un minicom, une caméra et un casse-croûte à la base. Il changea également ses mocassins pour de grosses chaussures de marche enfin Sandaahr reprogramma une courte veste sans manches à poches dans lesquelles il glissa les objets empruntés.
Paré à affronter une randonnée de quelques heures dans le voisinage, un plaisir qu’il n’avait pas pu s’offrir depuis prés de 2 ans faute de temps et de calme, après avoir annoncé la (très vague) direction dans laquelle il comptait aller, il quitta la base pour les éminences qui surplombent le tarmac de la T.S.A. situées à 2 heures de marche environ.
Après une promenade sans histoire et arrivé à son objectif. Tout en réfléchissant à haute voix aux événements récents, Sandaahr prit le temps de manger ce qu’il avait apporté et de faire quelques photographies des objets remarquables depuis le sommet où il se trouvait :
« Des sentiments comme la gentillesse et l’empathie ne sont pas encore en voie d’extinction lorsqu’on s’éloigne de Prima … Soit cette Mlle. Chalmak était contrainte et forcée par son patron de m’embaucher ou alors elle quand même un bon fond.
Bref ….
Ça commence demain, oui … Tout recommence demain … Il va falloir tout donner ce coup-ci, surtout si elle veut que je passe les certifications des Navyborg. Qui sont comme tout le reste : des enfers à passer surtout en candidat libre …
Enfin y a rien à regretter, on est bien ici. »
Mais le jour tombant, il se hâta de retourner vers la base qu’il atteignit vers 23H00.
Arrivé, il rendit minicom et caméra, tout en gardant les photos sur son ordi. Retourna vers la case qu’on lui avait indiquée la veille et recoucha sans oublier de fixer le réveil à 7H00 le lendemain.
Requinqué par une nuit de sommeil, douché, nourri et armé de ses outils de travail ainsi que d’un ordinateur transformé pour l’instant en bloc-notes par l’intermédiaire de son plot, il se présenta à la porte de l’atelier du tarmac à 8H00, prêt à suivre une dure journée de cours.
Le jour se levant à peine lorsqu’il avait réussi à trouver un lit, Sandaahr se réveilla alors que l’après-midi tirait sur sa fin. Il se mit en quête d’une douche sonique pour se débarrasser de la saleté qui commençait à l’envahir, il se changea donc, lava son manteau.
Après cela, il se balada sur la base à la recherche de ses collègues en attachant une attention particulière aux Eglises auxquels appartiennent les prêtres de la T.S.A.
Ne voyant pas Sémirande, et voulant profiter de sa seule journée de repos pour les deux semaines à venir, il emprunta un minicom, une caméra et un casse-croûte à la base. Il changea également ses mocassins pour de grosses chaussures de marche enfin Sandaahr reprogramma une courte veste sans manches à poches dans lesquelles il glissa les objets empruntés.
Paré à affronter une randonnée de quelques heures dans le voisinage, un plaisir qu’il n’avait pas pu s’offrir depuis prés de 2 ans faute de temps et de calme, après avoir annoncé la (très vague) direction dans laquelle il comptait aller, il quitta la base pour les éminences qui surplombent le tarmac de la T.S.A. situées à 2 heures de marche environ.
Après une promenade sans histoire et arrivé à son objectif. Tout en réfléchissant à haute voix aux événements récents, Sandaahr prit le temps de manger ce qu’il avait apporté et de faire quelques photographies des objets remarquables depuis le sommet où il se trouvait :
« Des sentiments comme la gentillesse et l’empathie ne sont pas encore en voie d’extinction lorsqu’on s’éloigne de Prima … Soit cette Mlle. Chalmak était contrainte et forcée par son patron de m’embaucher ou alors elle quand même un bon fond.
Bref ….
Ça commence demain, oui … Tout recommence demain … Il va falloir tout donner ce coup-ci, surtout si elle veut que je passe les certifications des Navyborg. Qui sont comme tout le reste : des enfers à passer surtout en candidat libre …
Enfin y a rien à regretter, on est bien ici. »
Mais le jour tombant, il se hâta de retourner vers la base qu’il atteignit vers 23H00.
Arrivé, il rendit minicom et caméra, tout en gardant les photos sur son ordi. Retourna vers la case qu’on lui avait indiquée la veille et recoucha sans oublier de fixer le réveil à 7H00 le lendemain.
Requinqué par une nuit de sommeil, douché, nourri et armé de ses outils de travail ainsi que d’un ordinateur transformé pour l’instant en bloc-notes par l’intermédiaire de son plot, il se présenta à la porte de l’atelier du tarmac à 8H00, prêt à suivre une dure journée de cours.