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Emprise de l'informatique sur les vaisseaux spatiaux
#12
Bon aller je remonte un peu le sujet aprés la résurection impressionante de Deltar.

Donc voilà ce sur quoi je voulais me baser pour les bonus au piratage je partage avec Krys la plupart des facteurs à savoir :
Krys Wrote:La seule chose qui peut abaisser le jet de 5D est à mon avis:
-le parametre temps (le pirate dispose de tout le temps nécessaire à son acte informatique)
-le surclassement matériel face au reseau visé
-les logiciels à sa disposition (qu'il a pu programmer au préalable)
-la connaissance de sa cible.

Pour le temps et pour la connaissance de la cible je pense que on peut simuler ça par un bonus de + 1 à chaque fois qu'il y a un échec à la première étape (passage du firewall de l'ordi central).
Et je sais pas comment voir ça mais la connaissance de la cible augmente avec le temps passé dessus non ? (j'ai pas d'idée pour le bonus là)



Ensuite bon je précise pour la suite : quand je parle de super-ordinateur c'est d'un ensemble d'ordi reliés entre eux.dont le coût est logiquement égal à la somme des unités le composant.
Donc pour calculer la puissance du super-ordinateur je considére le NT du bidule et le nombre d'unité qui le compose.

Aprés il faudrait trouver une méthode calculer le bonus en fonction du nombre d'ordinateur et là j'ai pas masse d'idée : j'ai pensé aux racines cubiques carrées même aux logarithmes mais j'ai pas trouvé ce qui me convenait donc faudrait peut-être imaginer des paliers de nombre mais là je suis encore moins qualifié (piètre MJ inside).

Pour ce bonus je le vois s'appliquer lorsqu'on tente de pirater le systéme au début (passage du firewall et installation du cheval de troie) et lorsqu'on essaye de faire une action qui concerne un systéme critique (moteurs varlets, pilotage, systéme général de survie, etc ...).

Bon aprés au sujet piratage entre NT différents. Vu les diiférences qu'il doit y avoir dans la conception même des ordinateurs de NT différents on peut être simple :
- Lorsque qu'un ordinateur est piraté par un autre ordinateur de NT superieur au sien il n'a aucune chance : la reussite de tout les jets est automatique
-Inversement : Lorsque qu'un ordinateur est piraté par un autre ordinateur de NT inferieur au sien il n'a aucun probléme : il est impossible de le pirateret donc : l'échec de tout les jets est automatique


Ensuite la qualité du logiciel utilisé doit jouer dans la réussite du "jet antivirus". Ici je précise que le logiciel c'est le truc que le pirate installe sur l'ordinateur pour lui donner des ordres.
Donc je rappelle pour le "jet antivirus" : il doit être précis mais sa difficulté varie en fonction de la classe du vaisseau :
- Facile = Civil
- Moyen = type corsaire (moyennement armé et sécurisé)
- Difficile = Militaire

Aprés pour calculer le bonus je propose en truc basé en fonction du temps passé à coder le logiciel et de la compétance en info du pirate :
(Informatique)/6 * jours

Aprés on peut se poser la question s'agit t-il d'un logiciel particulier ou pas mais là j'ai pas de réponse.


Par contre SPQR au niveau de l'architecture générale du vaisseau je pense qu'on peut exclure d'office ta première possibilité à cause de sa trop grande dangerosité pour tout le monde.

Mais aprés je pense que ta 3ème architecture est une chose trés chère à cause de la multiplication du nombre de connexions reservée à telle ou telle tâche et donc reservée à des usages spécifiques comme l'équipement de vaisseaux militaires ou assimilés

Donc pour la majorité des vaisseaux il y aurais plutôt un réseau fermé à l'exterieur mais unique dans le vaisseau (aprés libre aux pjs d'installer des relais et cie) ce qui correspond à un bon compromis entre sécurité et coût.
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