2007-06-14, 04:47 PM
Epstar était monté dans la grosse bulle de transport atmosphérique que la TSA utilisait pour les bagages des clients et le ravitaillement. C'est Ariana Badlam, déjà de retour au travail, qui se charge habituellement de cette charge. Elle a refusé qu'on la remplace.
La bulle prend vite de l’altitude au-dessus de la base de la TSA puis file cap sud-est. Plutôt que de s’engager franco au-dessus des flots verts-bleus de l’océan de Terra Formata, la bulle longe les côtes désolées de la région syndicale d’Avant-poste (région pionnière où se situe la base de la TSA).
Quelques minutes plus tard d’un vol à vive allure, Ariana est contrainte de ralentir le véhicule pour se soumettre à un contrôle à distance des accréditations par une bulle de patrouille de la Loge Tekno ; en effet, celle-ci a la garde des régions de Forêt Primale qui ont joué un rôle essentiel dans le processus de terraformation de la planète. Or, justement, à perte de vue s’étale un fantastique paysage d’une jungle géante où les couleurs rouges-orangées prédominent. On devine que la proximité de ce paysage inhabituel explique en partie la localisation de la base principale de l’entreprise de Petrus Alcaline. Les Teknos, habitués au trafic des véhicules de la TSA, ne retardent pas plus longtemps la bulle qui peut continuer sa route le long des côtes où la Forêt vient s’échouer à la façon d’une mangrove rougeoyante.
Il est alors temps de virer plein est pour franchir au plus court l’espace océanique séparant cette côte de celle de la région syndicale de Emporion Magna. Ariana fait grincer les commandes d’une bulle d’un modèle pas si récent et l'on perd alors très vite des yeux tout repère terrestre.
Bientôt, alors qu’Ariana tente de solliciter les moteurs de la bulle à leur maximum, les paysages semi-arides de l’île de Bélize apparaissent. A peine quelques minutes plus tard, l’île originelle imparfaitement terraformée laisse place au paysage minutieusement jardiné des environs de Emporion Magna. Bien que la ville soit bien plus horizontale que verticale, au loin, quelques bâtiments administratifs et économiques dressent leurs audacieuses architectures.
Ariana est très vite obligée de ralentir la vitesse de sa bulle. En effet, plus on s'avance vers le cœur de la métropole, plus la circulation aérienne devient dense, obligeant à respecter les couloirs de circulation et les vitesses maximales. Enfin, après un long moment de survol des espaces rurbains de la capitale, Ariana Badlam localise un parking géant à bulles jouxtant la ceinture commerciale surnommée le « souk ». Elle s'y pose avec une certaine dextérité puis vaque à ses histoires de ravitaillement. Avec le minimum de mots indispensables, elle fixe à Epstar le rendez-vous du départ pour dans 4 heures.
Epstar s'enfonce alors dans les ruelles colorées du souk. Après avoir laissé les passages les plus commercialement traditionnels (bien qu'il note une boutique vendant des abestos très seyants pour y repasser après...), il s'engage dans un quartier voué aux plaisirs. Quelques prostitués des deux sexes y côtoient des débits de boisson et autres substances. Sentant le moment propice, il ouvre télépathiquement son esprit à la recherche de frères de la Liberté Cosmique.
Après en avoir rencontré deux ou trois qui se livraient à quelque jeu d'argent dans un modeste tripot, on lui indique le chemin d'un petit oratoire local que tiendrait un certain Lucius, prêtre haut gradé de cette Eglise.
Epstar, t'y rends-tu tout de suite ou plus tard ou pas du tout ? Si oui, de quels sujets veux-tu parler avec lui ? Sinon, que fais-tu à Emporion Magna ?
La bulle prend vite de l’altitude au-dessus de la base de la TSA puis file cap sud-est. Plutôt que de s’engager franco au-dessus des flots verts-bleus de l’océan de Terra Formata, la bulle longe les côtes désolées de la région syndicale d’Avant-poste (région pionnière où se situe la base de la TSA).
Quelques minutes plus tard d’un vol à vive allure, Ariana est contrainte de ralentir le véhicule pour se soumettre à un contrôle à distance des accréditations par une bulle de patrouille de la Loge Tekno ; en effet, celle-ci a la garde des régions de Forêt Primale qui ont joué un rôle essentiel dans le processus de terraformation de la planète. Or, justement, à perte de vue s’étale un fantastique paysage d’une jungle géante où les couleurs rouges-orangées prédominent. On devine que la proximité de ce paysage inhabituel explique en partie la localisation de la base principale de l’entreprise de Petrus Alcaline. Les Teknos, habitués au trafic des véhicules de la TSA, ne retardent pas plus longtemps la bulle qui peut continuer sa route le long des côtes où la Forêt vient s’échouer à la façon d’une mangrove rougeoyante.
Il est alors temps de virer plein est pour franchir au plus court l’espace océanique séparant cette côte de celle de la région syndicale de Emporion Magna. Ariana fait grincer les commandes d’une bulle d’un modèle pas si récent et l'on perd alors très vite des yeux tout repère terrestre.
Bientôt, alors qu’Ariana tente de solliciter les moteurs de la bulle à leur maximum, les paysages semi-arides de l’île de Bélize apparaissent. A peine quelques minutes plus tard, l’île originelle imparfaitement terraformée laisse place au paysage minutieusement jardiné des environs de Emporion Magna. Bien que la ville soit bien plus horizontale que verticale, au loin, quelques bâtiments administratifs et économiques dressent leurs audacieuses architectures.
Ariana est très vite obligée de ralentir la vitesse de sa bulle. En effet, plus on s'avance vers le cœur de la métropole, plus la circulation aérienne devient dense, obligeant à respecter les couloirs de circulation et les vitesses maximales. Enfin, après un long moment de survol des espaces rurbains de la capitale, Ariana Badlam localise un parking géant à bulles jouxtant la ceinture commerciale surnommée le « souk ». Elle s'y pose avec une certaine dextérité puis vaque à ses histoires de ravitaillement. Avec le minimum de mots indispensables, elle fixe à Epstar le rendez-vous du départ pour dans 4 heures.
Epstar s'enfonce alors dans les ruelles colorées du souk. Après avoir laissé les passages les plus commercialement traditionnels (bien qu'il note une boutique vendant des abestos très seyants pour y repasser après...), il s'engage dans un quartier voué aux plaisirs. Quelques prostitués des deux sexes y côtoient des débits de boisson et autres substances. Sentant le moment propice, il ouvre télépathiquement son esprit à la recherche de frères de la Liberté Cosmique.
Après en avoir rencontré deux ou trois qui se livraient à quelque jeu d'argent dans un modeste tripot, on lui indique le chemin d'un petit oratoire local que tiendrait un certain Lucius, prêtre haut gradé de cette Eglise.
Epstar, t'y rends-tu tout de suite ou plus tard ou pas du tout ? Si oui, de quels sujets veux-tu parler avec lui ? Sinon, que fais-tu à Emporion Magna ?