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Emprise de l'informatique sur les vaisseaux spatiaux
#7
hmmm... tout ceci est intéressant.

Le réseau complet d'un Varlet et certes quasiment impossible à pirater (sauf moyens exceptionnels hors de portée des PJs), mais il doit y avoir un possibilité (5D) d'en pirater une partie momentanément. Un laps de temps qui doit être proportionnellement inversé à sa difficulté.
Dans le cas des senseurs auxquels ont applique une image fixe, c'est comme si on fige leurs données d'entrée (ou supprime chaque nouvelle entrée avant enregistrement). C'est informatiquement simple, et par conséquent, sa répétition peut passer les auto-contrôles de routine si le programme pirate agit en boucle en changeant de méthode en boucle.
Par contre, ouvrir un sas qui dépressuriserait une grosse partie d'un Varlet, ne pourrait être tenté qu'une fois, et l'erreur serait corrigée automatiquement dans la fraction de seconde suivante (incohérence de la demande, et demande de confirmation par signature du pilote). Au mieux, l'effet serait ressenti dans l'environnement immédiat du sas, mais reste mineur et sans conséquences pour les Etres.

Ce que je mettrais comme garde-fou à cette règle de piratage contre les Varlet, ce serait d'augmenter la difficulté du jet de D à chaque période a moins d'avoir conçu spécialement un programme à cet effet. Et même dans ce dernier cas, il faudra périodiquement relancer les des.
A plus ou moins long termes, le jet va échouer, et les circuits du Varlet reprennent la main.

je donne pour exemple, le piratage se fait TOUJOURS à 5D:
* 1 jet par minute pour les actions sans conséquences pour la vie des Etres à bord
* 1 jet par seconde pour les actions pouvant mettre en péril indirectement les Etres à bord.
* 1 jet par milliseconde pour les actions pouvant directement mettre en Péril les Etres.

Qu'en dites vous? :?:
Tout à un prix, même les hommes ont le leur.
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