2007-06-06, 09:40 PM
Toujours par écrit :
Je comprends vos hésitations, nous devons tous agir selon notre conscience dans cette affaire. Pouvez-vous récupérer vos dossiers originaux auprès de Daykkard et m’en confier une copie ?
Cela me sera grandement utile pour la suite. Si oui ne me mentionnez pas auprès de lui : moins de personnes seront impliquées, moins elles courront de risques.
Sur ce je vais aller faire un tour voir Pardang et essayer de lui tirer les vers du nez.
Il s’assura que la commandante avait bien lue ce qu’il avait écrit avant de valider sur l’écritoire tri-di la fonction d’effacement définitif.
Il termina son second verre et récupéra dans une de ses poches un bouchon à vide qu’il plaça au sommet de la bouteille. Le bouchon se verrouilla, se gonfla pour assurer son étanchéité puis actionna sa pompe à vide, chassant l’air de la bouteille entamée. Avec un infime clin d’œil (mais peut être avait-il une poussière dans l’œil) il récupéra le flacon qu’il remis dans sa gibecière.
Il s’éclaircit la gorge avant de reprendre :
Commandante, ce fut un plaisir de partager ce vin avec vous. Si vous le permettez je vais rejoindre mes quartiers.
Sur ce il se leva, eut un petit mouvement de tête et quitta la salle.
Il n’alla évidemment pas se coucher : il allait rendre une petite visite à Pardang. Il se demanda brièvement si ce gamin aimait le vin.
//Evidemment s’il doit y avoir une réponse ou autre chose, je reste//
Je comprends vos hésitations, nous devons tous agir selon notre conscience dans cette affaire. Pouvez-vous récupérer vos dossiers originaux auprès de Daykkard et m’en confier une copie ?
Cela me sera grandement utile pour la suite. Si oui ne me mentionnez pas auprès de lui : moins de personnes seront impliquées, moins elles courront de risques.
Sur ce je vais aller faire un tour voir Pardang et essayer de lui tirer les vers du nez.
Il s’assura que la commandante avait bien lue ce qu’il avait écrit avant de valider sur l’écritoire tri-di la fonction d’effacement définitif.
Il termina son second verre et récupéra dans une de ses poches un bouchon à vide qu’il plaça au sommet de la bouteille. Le bouchon se verrouilla, se gonfla pour assurer son étanchéité puis actionna sa pompe à vide, chassant l’air de la bouteille entamée. Avec un infime clin d’œil (mais peut être avait-il une poussière dans l’œil) il récupéra le flacon qu’il remis dans sa gibecière.
Il s’éclaircit la gorge avant de reprendre :
Commandante, ce fut un plaisir de partager ce vin avec vous. Si vous le permettez je vais rejoindre mes quartiers.
Sur ce il se leva, eut un petit mouvement de tête et quitta la salle.
Il n’alla évidemment pas se coucher : il allait rendre une petite visite à Pardang. Il se demanda brièvement si ce gamin aimait le vin.
//Evidemment s’il doit y avoir une réponse ou autre chose, je reste//
Où je serai appelé, je n'entrerai que pour le bien des êtres. Je m'interdirai d'être une cause de blessure ou d'atteinte aux personnes, ainsi que tout entreprise contraire à l'éthique à l'égard des hommes, femmes et tout être doué de raison.