2007-03-27, 11:14 AM
... j'avais lu ou parcouru tout ça hier.
Je suis effectivement pas d'accord pour remettre en question à ce point là les rêgles de la seconde édition : des aménagements ok, dynamiter l'ensemble ... non.
Ce que j'ai trouvé le plus interessant c'est l'interview. Ca nous éclaire pas mal sur la gestation du projet, sur les tensions, les visions différentes des uns et des autres. Il y a pourtant des choses qui m'ont faites réagir.
Je trouve qu'il est trop dur avec lui quand il regrette de ne pas avoir fait telle ou telle chose ou de ne pas avoir inclu certains éléments de la technologie actuelle ...
C'est ce qui fait la spécificité d'Empire Galactique.
Un empire immense, séculaire, relativement apaisé, sans énemi déclaré autre que ses propres démons intérieurs qui menacent toujours de resurgir.
Un empire où l''être (ne pas dire "l'homme"), aprés expérimentation du tout technologique, a une place centrale.
Parce que sinon autant jouer effectivement à Traveller, à star wars ou à star trek (mais PAS à Star Frontier).
Il faut sans doute moderniser quelques éléments : les réseaux de communication, l'informatique, le systême de bases de donnée, retirer quelques éléments d'armement, de protection (particulièrement entre la première et la seconde édition) en ajouter d'autres ... mais il ne faut pas toucher à l'esprit du jeux en allant trop loin.
A force de se poser trop de questions, de se focaliser sur le réalisme des rêgles, de l'univers, de la structure politique / économique de l'empire, de la technologie, de la trame temporelle ... on se détourne du jeu de rôle, du plaisir d'incarner des personnages dans un univers baroque, riche comme l'océan, sans cesse renouvellé et lointain. Bref on en oublie la dimension du rêve.
L'opinion que je partage avec moi même personnellement ( :lol: ) c'est qu'on peut faire du jeu de rôle quasiement sans rêgles, tant que l'on a un concept de personnage, un univers auquel on accorde sa foi et des petits camarades pour jouer avec vous et un mJ pour arbitrer et relancer la trame quand il le faut ...
Je parle de foi à dessein : pas plus qu'un jeu où on incarnerait des loups-garoux, des pilotes de robots de combat, des samouraïs de film chambara, empire galactique n'est réaliste. En plus c'est un choix voulu dés le départ d'avoir choisi la voie du rôle plûtot que la voie simulationiste (dans mes souvenirs existaient à peu prét à la même époque des JDR comme légendes celtiques qui étaient dans l'autre logique). Perso, moins je lance de dés, plus je suis content.
Je suis effectivement pas d'accord pour remettre en question à ce point là les rêgles de la seconde édition : des aménagements ok, dynamiter l'ensemble ... non.
Ce que j'ai trouvé le plus interessant c'est l'interview. Ca nous éclaire pas mal sur la gestation du projet, sur les tensions, les visions différentes des uns et des autres. Il y a pourtant des choses qui m'ont faites réagir.
Je trouve qu'il est trop dur avec lui quand il regrette de ne pas avoir fait telle ou telle chose ou de ne pas avoir inclu certains éléments de la technologie actuelle ...
C'est ce qui fait la spécificité d'Empire Galactique.
Un empire immense, séculaire, relativement apaisé, sans énemi déclaré autre que ses propres démons intérieurs qui menacent toujours de resurgir.
Un empire où l''être (ne pas dire "l'homme"), aprés expérimentation du tout technologique, a une place centrale.
Parce que sinon autant jouer effectivement à Traveller, à star wars ou à star trek (mais PAS à Star Frontier).
Il faut sans doute moderniser quelques éléments : les réseaux de communication, l'informatique, le systême de bases de donnée, retirer quelques éléments d'armement, de protection (particulièrement entre la première et la seconde édition) en ajouter d'autres ... mais il ne faut pas toucher à l'esprit du jeux en allant trop loin.
A force de se poser trop de questions, de se focaliser sur le réalisme des rêgles, de l'univers, de la structure politique / économique de l'empire, de la technologie, de la trame temporelle ... on se détourne du jeu de rôle, du plaisir d'incarner des personnages dans un univers baroque, riche comme l'océan, sans cesse renouvellé et lointain. Bref on en oublie la dimension du rêve.
L'opinion que je partage avec moi même personnellement ( :lol: ) c'est qu'on peut faire du jeu de rôle quasiement sans rêgles, tant que l'on a un concept de personnage, un univers auquel on accorde sa foi et des petits camarades pour jouer avec vous et un mJ pour arbitrer et relancer la trame quand il le faut ...
Je parle de foi à dessein : pas plus qu'un jeu où on incarnerait des loups-garoux, des pilotes de robots de combat, des samouraïs de film chambara, empire galactique n'est réaliste. En plus c'est un choix voulu dés le départ d'avoir choisi la voie du rôle plûtot que la voie simulationiste (dans mes souvenirs existaient à peu prét à la même époque des JDR comme légendes celtiques qui étaient dans l'autre logique). Perso, moins je lance de dés, plus je suis content.
Où je serai appelé, je n'entrerai que pour le bien des êtres. Je m'interdirai d'être une cause de blessure ou d'atteinte aux personnes, ainsi que tout entreprise contraire à l'éthique à l'égard des hommes, femmes et tout être doué de raison.