2007-03-18, 02:49 PM
Un regard acéré et qui tombe juste, ce petit bout de femme … Il faudra que je lui tende un miroir un de ces jours pensa-t-il.
Avec l’ombre d’un sourire, mais les yeux légèrement plissés, désignant son cœur d’un doigt :
« touché commandante »
Pour le reste si je ne suis pas encore allé chercher l’arme du crime c’est que je pense qu’il serait plus simple d’interroger Pardang sur ce point plutôt que de chercher à l’aveuglette. Comme je ne veux pas interférer avec l’enquête et mélanger dans l’esprit de Pardang ce qui l’interrogent et ceux qui … l’écoutent, je ne veux pas l’interroger directement sur ce point. Monsieur Daykkard vous pensez que vous pourriez vous en charger ? Ca me ferait gagner un temps précieux.
Pour ce qui concerne Pardang et sa sœur il y a une incohérence là : Pardang nous a déclaré que sa sœur était absente lorsqu’il a frappé mademoiselle Badlam, cette dernière nous affirme le contraire d’après ce que vous nous avez dit Khrys … A mon avis il y a de quoi refaire un interrogatoire. Monsieur Daykkard vous en pensez quoi ?
Pour l’identification de Sonja, je vais reprendre mes scanners médicaux afin de voir s’ils ont eu un implant auriculaire et qu’ils se le sont fait retirer ou s’ils n’en ont jamais eu. Ca nous éclairera sur le fait que ce soient des citoyens impériaux. Comme les coquillages sont originaires d’un monde impérial, il est bien possible qu’ils soient connus de l’impérium.
Au fait quelqu’un peut me dire où ça se trouve Grant ?
Pour l’état des patients MA PRIORITE est d’établir à quoi est due la guérison de Sonja : c’est maintenant une question de vie et de mort pour eux … Je suis ouvert à toute hypothèse. Quitte à me livrer à une chasse au dahu, je compte dés la nuit et avec votre autorisation commandante essayer de reproduire de manière expérimentale, le parcours de sonja avec un des malades les plus gravement atteint : départ du hangar, balade à dos de lama, lever du soleil à l’endroit où nous avons trouvé Pardang et Sonja … Je ne vois plus que ça à faire.
Pour les césariennes … je ne suis pas chirurgien : je ferais plus de mal que de bien … a ce stade là je recommanderais de mettre mère et enfant en hibernateur le temps qu’il y ait quelqu’un de plus compétent que moi de disponible.
Voilà, c’est tout je crois : je vais y aller.
Commandante : s’il vous plait pensez à vous reposer aussi. D’une part je ne veux pas que vous craquiez quand on aura le plus besoin de vous et d’autre part je m’inquiète un peu pour votre santé.
//MJ : je fais les choses suivantes dans l’ordre :
- Je passe voir Pardang, sa sœur, Sonja : je leur amène de la bouffe, des douceurs, de la lecture et je les écoute, les rassure, leur répond (dans la mesure où ça ne nuit pas à l’enquête ou à la sécurité).
- Je reviens à l’infirmerie : j’examine les scanners médicaux pour savoir si les passagers du zion ont porté des implants et qu’ils se les sont fait retirer ou si ils n’en ont jamais porté.
- En fonction de ce que l’on me dit je me mets à la recherche de l’arme du crime dans l’entrepôt et aux alentour : je me dis que si ça se trouve c’est la sœur de Pardang qui s’en est débarrassée et je cherche dans les endroits qu’elle est succecptible d’avoir atteint dans le lapse de temps dont elle a disposé. Si je ne trouve pas je vais chercher sur le chemin entre l’entrepôt et l’enclos des lamas. Si c’est possible et si la technologie le permet je me sers d’un logimec pisteur ou des sondes du navire pour rechercher la signature ADN De mademoiselle Badlam : s’il y a encore du sang sur l’objet on pourrait essayer de retrouver celui-ci sur cette base.//
Avec l’ombre d’un sourire, mais les yeux légèrement plissés, désignant son cœur d’un doigt :
« touché commandante »
Pour le reste si je ne suis pas encore allé chercher l’arme du crime c’est que je pense qu’il serait plus simple d’interroger Pardang sur ce point plutôt que de chercher à l’aveuglette. Comme je ne veux pas interférer avec l’enquête et mélanger dans l’esprit de Pardang ce qui l’interrogent et ceux qui … l’écoutent, je ne veux pas l’interroger directement sur ce point. Monsieur Daykkard vous pensez que vous pourriez vous en charger ? Ca me ferait gagner un temps précieux.
Pour ce qui concerne Pardang et sa sœur il y a une incohérence là : Pardang nous a déclaré que sa sœur était absente lorsqu’il a frappé mademoiselle Badlam, cette dernière nous affirme le contraire d’après ce que vous nous avez dit Khrys … A mon avis il y a de quoi refaire un interrogatoire. Monsieur Daykkard vous en pensez quoi ?
Pour l’identification de Sonja, je vais reprendre mes scanners médicaux afin de voir s’ils ont eu un implant auriculaire et qu’ils se le sont fait retirer ou s’ils n’en ont jamais eu. Ca nous éclairera sur le fait que ce soient des citoyens impériaux. Comme les coquillages sont originaires d’un monde impérial, il est bien possible qu’ils soient connus de l’impérium.
Au fait quelqu’un peut me dire où ça se trouve Grant ?
Pour l’état des patients MA PRIORITE est d’établir à quoi est due la guérison de Sonja : c’est maintenant une question de vie et de mort pour eux … Je suis ouvert à toute hypothèse. Quitte à me livrer à une chasse au dahu, je compte dés la nuit et avec votre autorisation commandante essayer de reproduire de manière expérimentale, le parcours de sonja avec un des malades les plus gravement atteint : départ du hangar, balade à dos de lama, lever du soleil à l’endroit où nous avons trouvé Pardang et Sonja … Je ne vois plus que ça à faire.
Pour les césariennes … je ne suis pas chirurgien : je ferais plus de mal que de bien … a ce stade là je recommanderais de mettre mère et enfant en hibernateur le temps qu’il y ait quelqu’un de plus compétent que moi de disponible.
Voilà, c’est tout je crois : je vais y aller.
Commandante : s’il vous plait pensez à vous reposer aussi. D’une part je ne veux pas que vous craquiez quand on aura le plus besoin de vous et d’autre part je m’inquiète un peu pour votre santé.
//MJ : je fais les choses suivantes dans l’ordre :
- Je passe voir Pardang, sa sœur, Sonja : je leur amène de la bouffe, des douceurs, de la lecture et je les écoute, les rassure, leur répond (dans la mesure où ça ne nuit pas à l’enquête ou à la sécurité).
- Je reviens à l’infirmerie : j’examine les scanners médicaux pour savoir si les passagers du zion ont porté des implants et qu’ils se les sont fait retirer ou si ils n’en ont jamais porté.
- En fonction de ce que l’on me dit je me mets à la recherche de l’arme du crime dans l’entrepôt et aux alentour : je me dis que si ça se trouve c’est la sœur de Pardang qui s’en est débarrassée et je cherche dans les endroits qu’elle est succecptible d’avoir atteint dans le lapse de temps dont elle a disposé. Si je ne trouve pas je vais chercher sur le chemin entre l’entrepôt et l’enclos des lamas. Si c’est possible et si la technologie le permet je me sers d’un logimec pisteur ou des sondes du navire pour rechercher la signature ADN De mademoiselle Badlam : s’il y a encore du sang sur l’objet on pourrait essayer de retrouver celui-ci sur cette base.//
Où je serai appelé, je n'entrerai que pour le bien des êtres. Je m'interdirai d'être une cause de blessure ou d'atteinte aux personnes, ainsi que tout entreprise contraire à l'éthique à l'égard des hommes, femmes et tout être doué de raison.