2007-02-06, 09:45 PM
Jamais dis çà ... mais si on se base sur les dessins de manchu (comme tu aimes à le faire) on trouve de nombreux exemples dans l'encyclopédie montrant l'usage de l'antigrav y compris pour des installations trés volumineuses : volume 1 : p19, p 68; volume 2 : couverture, p6, p10, p 11, p13, p20, p29, p30, p32, p 64 ... dans presque tous les cas le volume du dispositif antigrav par rapport au volume à soulever est trés faible (voir ridicule) et il ne semble pas necessiter une source d'energie trés importante (pas de rêgles d'autonomie de ces engins dans les rêgles, sauf erreur de ma part).
Je conçois pour ma part l'antigravité comme un dispositif qui cré une poussée opposée au sens de gravité et proportionnel à la force de cette dernière ... un peu une poussée d'archimède gravitique. L'énergie dans ce cas sert uniquement à entretenir la déperdition du système (on va pas ré-inventer le mouvement permanent) et à permettre les mouvements perpendiculaire à l'axe de sustentation.
Quant à dire que les navires n'en sont pas équipés pour des raisons de masse, on peut considérer que les 250 kg par passagers dasn une bulle sont aussi duent au équipements de confort (sièges ...), à l'avionique ( bien qu'en théorie ce soit super réduit), aux générateurs de champs de force (pas de pare brise sur ce genre de modèles), les propulsuers auxiliaires permettant les mouvements latéraux ... 250 kg par personne pour l'ensemble de ces services n'est pas excessif : mais ça ne représente pas la masse du mécanisme antigrav.
Pour ma part j'estime qu'il faut se baser sur la couche antigrav qui contrairement à la ceinture de vol ne comprend pas de réserves d'énergie, ni de propulseur auxiliaires : 300 grammes pour sustenter un homme (ou une femme) disons de 100 kg soit 0,3 % de la masse ...
0,3 % c'est marginal, par rapport aux services que ça peut rendre et ça peut tout à fait être intégré à la masse de la coque un peu comme des turbines d'étraves pour les manoeuvres au port sur les navires modernes.
Une fois à l'arret l'énergie necessaire à la sustentation sera faible comme je l'expliquais ci-dessus, juste pour combattre l'entropie du système. Dans des installations de spatio-dock terrestre cette énergie serait fournie par les installations (de même que l'énergie necessaire au maintient de vie, l'info de bord) ... si ces installations ne sont pas disponibles (ou que l'on ne veut pas en dépendre) le vaisseau peut fonctionner en consommant un minimum d'antimatière (1 pour 1000 de la consommation normale ?) si l'on considère que les systèmes NT6 sont particulièrement efficaces e terme de rentabilité énergétique.
... qu'en penses-tu ?
Je conçois pour ma part l'antigravité comme un dispositif qui cré une poussée opposée au sens de gravité et proportionnel à la force de cette dernière ... un peu une poussée d'archimède gravitique. L'énergie dans ce cas sert uniquement à entretenir la déperdition du système (on va pas ré-inventer le mouvement permanent) et à permettre les mouvements perpendiculaire à l'axe de sustentation.
Quant à dire que les navires n'en sont pas équipés pour des raisons de masse, on peut considérer que les 250 kg par passagers dasn une bulle sont aussi duent au équipements de confort (sièges ...), à l'avionique ( bien qu'en théorie ce soit super réduit), aux générateurs de champs de force (pas de pare brise sur ce genre de modèles), les propulsuers auxiliaires permettant les mouvements latéraux ... 250 kg par personne pour l'ensemble de ces services n'est pas excessif : mais ça ne représente pas la masse du mécanisme antigrav.
Pour ma part j'estime qu'il faut se baser sur la couche antigrav qui contrairement à la ceinture de vol ne comprend pas de réserves d'énergie, ni de propulseur auxiliaires : 300 grammes pour sustenter un homme (ou une femme) disons de 100 kg soit 0,3 % de la masse ...
0,3 % c'est marginal, par rapport aux services que ça peut rendre et ça peut tout à fait être intégré à la masse de la coque un peu comme des turbines d'étraves pour les manoeuvres au port sur les navires modernes.
Une fois à l'arret l'énergie necessaire à la sustentation sera faible comme je l'expliquais ci-dessus, juste pour combattre l'entropie du système. Dans des installations de spatio-dock terrestre cette énergie serait fournie par les installations (de même que l'énergie necessaire au maintient de vie, l'info de bord) ... si ces installations ne sont pas disponibles (ou que l'on ne veut pas en dépendre) le vaisseau peut fonctionner en consommant un minimum d'antimatière (1 pour 1000 de la consommation normale ?) si l'on considère que les systèmes NT6 sont particulièrement efficaces e terme de rentabilité énergétique.
... qu'en penses-tu ?
Où je serai appelé, je n'entrerai que pour le bien des êtres. Je m'interdirai d'être une cause de blessure ou d'atteinte aux personnes, ainsi que tout entreprise contraire à l'éthique à l'égard des hommes, femmes et tout être doué de raison.