2008-09-05, 07:07 PM
Vous n'allez pas me croire ...
Je m'en vais vous raconter ma journée.
Légère et court vêtue j'allais à grands pas ;
Ayant mis ce jour-là, pour être plus blindée,
Blouse épaisse, et pompe de sécurité.
Notre informaticienne ainsi troussée
Comptait déjà dans sa pensée
Atteindre sans encombre le week-end,
Ayant atteint la salle serveurs,
Elle vit sur quatre de ces derniers
De jolies lampes rouges allumées
Trois disques durs s'étaient barrés,
Dont un qui de Saint Raid
La protection avait snobé.
Quand au quatrième, serait-elle damnée ?
Windaube serveur avait vautré.
Ce fut déjà une bonne journée,
Las, elle n'était point terminée,
L'une n'imprimait plus,
L'autre imprimait trop,
La troisième du fax affamé
Avait laissé le ventre sans papier.
Epuisée, de labeur accablée,
Son bus son train elle attendait,
Las ... Ce n'était point terminé
"Fissa fissa ma fille
Te reposes-tu sur tes lauriers ?
A l'autre usine tu dois aller,
Vigipirate : priorité !"
La voilà donc embarquée
Dans une camionette déglinguée
Dans les embouteillages engluée
Arrive enfin à l'usine
Devant le vantail si solide
Qu'un Hezbollah cacochyme
Sans peine ferait partir à la dérive.
De problème : point
Qu'une balourdise de sous-fifre,
Que d'une complicité mondialiste
Billou, encore, sournois attise.
La voilà partie pour chez elle
Dans la guimbarde funéraire
N'eut été sa couleur
Blanc sale et logo tapageur.
Ses aventures sont-elles finies ? Que non pas !
Arrive chez elle, et sans surprise
Constate que de la prise,
Electre volage s'est démise.
Bien, mangeons froid et en famille,
Sans radio, PC ni DVD
Constate enfin, moralité
Voyant sa fille peinturlurer
Une malheureuse Bratz en plastique,
Qu'à quelque chose malheur est bon.
(Ne dites pas que ce sont des vers de mirliton, ces derniers ont droit au respect !!!)
Je m'en vais vous raconter ma journée.
Légère et court vêtue j'allais à grands pas ;
Ayant mis ce jour-là, pour être plus blindée,
Blouse épaisse, et pompe de sécurité.
Notre informaticienne ainsi troussée
Comptait déjà dans sa pensée
Atteindre sans encombre le week-end,
Ayant atteint la salle serveurs,
Elle vit sur quatre de ces derniers
De jolies lampes rouges allumées
Trois disques durs s'étaient barrés,
Dont un qui de Saint Raid
La protection avait snobé.
Quand au quatrième, serait-elle damnée ?
Windaube serveur avait vautré.
Ce fut déjà une bonne journée,
Las, elle n'était point terminée,
L'une n'imprimait plus,
L'autre imprimait trop,
La troisième du fax affamé
Avait laissé le ventre sans papier.
Epuisée, de labeur accablée,
Son bus son train elle attendait,
Las ... Ce n'était point terminé
"Fissa fissa ma fille
Te reposes-tu sur tes lauriers ?
A l'autre usine tu dois aller,
Vigipirate : priorité !"
La voilà donc embarquée
Dans une camionette déglinguée
Dans les embouteillages engluée
Arrive enfin à l'usine
Devant le vantail si solide
Qu'un Hezbollah cacochyme
Sans peine ferait partir à la dérive.
De problème : point
Qu'une balourdise de sous-fifre,
Que d'une complicité mondialiste
Billou, encore, sournois attise.
La voilà partie pour chez elle
Dans la guimbarde funéraire
N'eut été sa couleur
Blanc sale et logo tapageur.
Ses aventures sont-elles finies ? Que non pas !
Arrive chez elle, et sans surprise
Constate que de la prise,
Electre volage s'est démise.
Bien, mangeons froid et en famille,
Sans radio, PC ni DVD
Constate enfin, moralité
Voyant sa fille peinturlurer
Une malheureuse Bratz en plastique,
Qu'à quelque chose malheur est bon.
(Ne dites pas que ce sont des vers de mirliton, ces derniers ont droit au respect !!!)