2006-12-04, 11:30 AM
Le plot naviborg est pour moi un moyen de communiquer avec une machine et d'interagir avec elle.
Il s'agit donc d'envoyer des information et d'en recevoir en feedback.
La finesse et le type de ces informations est fonction du type de machine à laquelle on a affaire.
A un extrême on peut imaginer un interrupteur qui va recevoir deux type d'information : allumé / éteint et en renvoyer deux : je suis allumé ou je suis éteint.
A l'autre on pourrait imaginer une micro-sonde dotée d'organes de vision, de touché, d'odora, de température ... bref tout comme nous ou supérieur de par sa résolution qui serait commandée et offirait en retour une rétroaction sur l'esprit de l'utilisateur.
Ce qui implique effectivement la possibilité de vocaliser virtuellement et d'entendre de manière tout aussi virtuelle de plot à plot.
Par contre on peut s'interroger sur la portée actuelle des plots : elle me semble trés (trop ?) limitée. Peut être peut-on mettre ça sur le compte de la richesse des informations à faire passer ?
Un pilote de navire peut avoir l'impression, grace à ce systême, de voir son champ de vision d'élargir dans l'espace normal aux capteurs externe, à l'infrarouge, voir aux ondes radio, sentir la chaleur de la coque sur sa peau, agir sur moteur comme si il bougeait une jambe ... Bref ne faire plus qu'un avec la machine.
A ce moment là on peut aussi s'interroger sur la capacité, plongé dans une telle liaison, à percevoir le monde extérieur par ses sens propres : l'uivers virtuel du vaisseau est-il alors en surimpression ou cesse-t-il d'exister ?
C'est à mon avis en partant dans ce sens que l'on pourrait trouver une raison pour laquelle le plot vertébral n'est pas ultra répandu :
- il pourrait induire des maladies mentales (accoutumance ?)
- il pourrait être ardu de le maitriser (de sortir, de rentrer à volonté ou de maintenir la liaison à l'état de surimpression)
- il pourrait induire à terme une perte de sensibilité des sens classiques
- il pourrait être réservé légalement, en raison de ses risques particuliers, à certains corps de métier qui en ont un besoin impératifs.
Quand au fait qu'il soit visible ou non ... Je pense que c'est une question de mode. Je dirais qu'il n'est pas visible a priori, mais que certains, pour des raisons de reconnaissance sociale ou d'appartenance à un groupe peuvent choisir de l'afficher ostensiblement. D'autres peuvent aussi en porter des faux ....
Autre chose dans ce cas est la possibilité même minime, même trés difficile si c'est trés difficile de pirater un plot pour :
- causer un feed back dommageable à son porteur
- dérégler, griller, neutraliser celui-ci
- usurper l'identité du porteur (j'imagine mal que n'importe qui puisse prendre le contôle d'un vaisseau par ce biais : il y a forcément une identifiaction unique à chaque plot)
...
Et on peut aussi imaginer des corps de métier civils comme les Marionettistes cybernétiques de Labro la Belle qui enchantent les enfants avec leurs petits pantins télécommandés.
Il s'agit donc d'envoyer des information et d'en recevoir en feedback.
La finesse et le type de ces informations est fonction du type de machine à laquelle on a affaire.
A un extrême on peut imaginer un interrupteur qui va recevoir deux type d'information : allumé / éteint et en renvoyer deux : je suis allumé ou je suis éteint.
A l'autre on pourrait imaginer une micro-sonde dotée d'organes de vision, de touché, d'odora, de température ... bref tout comme nous ou supérieur de par sa résolution qui serait commandée et offirait en retour une rétroaction sur l'esprit de l'utilisateur.
Ce qui implique effectivement la possibilité de vocaliser virtuellement et d'entendre de manière tout aussi virtuelle de plot à plot.
Par contre on peut s'interroger sur la portée actuelle des plots : elle me semble trés (trop ?) limitée. Peut être peut-on mettre ça sur le compte de la richesse des informations à faire passer ?
Un pilote de navire peut avoir l'impression, grace à ce systême, de voir son champ de vision d'élargir dans l'espace normal aux capteurs externe, à l'infrarouge, voir aux ondes radio, sentir la chaleur de la coque sur sa peau, agir sur moteur comme si il bougeait une jambe ... Bref ne faire plus qu'un avec la machine.
A ce moment là on peut aussi s'interroger sur la capacité, plongé dans une telle liaison, à percevoir le monde extérieur par ses sens propres : l'uivers virtuel du vaisseau est-il alors en surimpression ou cesse-t-il d'exister ?
C'est à mon avis en partant dans ce sens que l'on pourrait trouver une raison pour laquelle le plot vertébral n'est pas ultra répandu :
- il pourrait induire des maladies mentales (accoutumance ?)
- il pourrait être ardu de le maitriser (de sortir, de rentrer à volonté ou de maintenir la liaison à l'état de surimpression)
- il pourrait induire à terme une perte de sensibilité des sens classiques
- il pourrait être réservé légalement, en raison de ses risques particuliers, à certains corps de métier qui en ont un besoin impératifs.
Quand au fait qu'il soit visible ou non ... Je pense que c'est une question de mode. Je dirais qu'il n'est pas visible a priori, mais que certains, pour des raisons de reconnaissance sociale ou d'appartenance à un groupe peuvent choisir de l'afficher ostensiblement. D'autres peuvent aussi en porter des faux ....
Autre chose dans ce cas est la possibilité même minime, même trés difficile si c'est trés difficile de pirater un plot pour :
- causer un feed back dommageable à son porteur
- dérégler, griller, neutraliser celui-ci
- usurper l'identité du porteur (j'imagine mal que n'importe qui puisse prendre le contôle d'un vaisseau par ce biais : il y a forcément une identifiaction unique à chaque plot)
...
Et on peut aussi imaginer des corps de métier civils comme les Marionettistes cybernétiques de Labro la Belle qui enchantent les enfants avec leurs petits pantins télécommandés.
Où je serai appelé, je n'entrerai que pour le bien des êtres. Je m'interdirai d'être une cause de blessure ou d'atteinte aux personnes, ainsi que tout entreprise contraire à l'éthique à l'égard des hommes, femmes et tout être doué de raison.