2006-09-25, 10:26 AM
Insensible aux interrogations qui secouent le Zion et le poste de commandement du Mephisto, Arcus continue d’être absorbé par les données recueillies par Chubby à bord du Classe I. D’abord dépité par l’absence des habituelles informations légales sur le pavillon, l’armateur… , Arcus se demande s’il ne tient pas là une information importante : en cherchant des informations sur l’Antimatière à bord du Zion, il repère une série d’informations qui pourraient bien correspondre au dernier avitaillement en carburant du Classe I. Il s’agit d’informations difficiles à utiliser en l’état, sans doute bancaires. Mais un peu de recherches par quelqu’un qui maîtrise bien ce genre de transactions ou par un expert de la Toile pourrait sûrement déboucher sur de précieuses informations sur le passé et le présent du Zion.
Arcus est tiré de ses supputations par une floppée d’ordres et de recommandations des plus confuses qui visent à le pousser à s’intéresser plus aux Malachites qu’aux données techniques. Soit. Faisant quelques pas vers le carré des passagers, il tombe justement sur une discussion animée mettant en scène l’ensemble de la famille Malachite. Le premier avis, simple à synthétiser, que repère Arcus est celui des petits jumeaux qui, en chœur :
« Ouaaah, Papa, c’est nul. C’est quand qu’on repart dans le Triche-Lumière ?? »
Leur sœur, plus âgée mais aussi souvent plus discrète, prend la parole pour parler pour la première fois d’autres choses que de salopette de soirée ou de maquillage à museau :
« Petits crétins, vous ne voyez pas qu’il y a de pauvres naufragés dans ce vaisseau ? Nos courageux employés sont en train de leur sauver la vie au péril de la leur. Forcément, ça vous échappe, pas vrai ? »
La grand-mère la reprend aussitôt de volée :
« Allons, ma fille, reste polie avec tes frères. Certes avec leurs mots d’enfants, n’ont-ils pas raison finalement ? L’Empire dispose de toutes sortes de moyen de venir en aide à ces gens. Il n’ait qu’à envoyer un message à un vaisseau militaire ou autre croisant dans les parages. Nous, nous avons une croisière pour laquelle ton père s’est saigné aux 4 veines qui nous attend. »
Pour une fois, la femme du Marchand Malachite, semble d’accord avec sa belle-mère :
« Ooh, c’est vrai, mon loukoum : tu m’avais promis que nous irions voir LulaB et ses drôles de bêtes… hmmmff (moue et soupir en même temps) »
Le chef de famille regarde tout ça d’un air un peu désemparé, quand son regard rencontre celui, légèrement halluciné de son fils Pardang :
« J’te jure, ‘pa, c’est pas moi, j’y suis pour rien… cette fois-ci. »
[note : la suite dans la foulée, je fractionne les messages en fonction des lieux/actions pour une meilleure lisibilité]
Arcus est tiré de ses supputations par une floppée d’ordres et de recommandations des plus confuses qui visent à le pousser à s’intéresser plus aux Malachites qu’aux données techniques. Soit. Faisant quelques pas vers le carré des passagers, il tombe justement sur une discussion animée mettant en scène l’ensemble de la famille Malachite. Le premier avis, simple à synthétiser, que repère Arcus est celui des petits jumeaux qui, en chœur :
« Ouaaah, Papa, c’est nul. C’est quand qu’on repart dans le Triche-Lumière ?? »
Leur sœur, plus âgée mais aussi souvent plus discrète, prend la parole pour parler pour la première fois d’autres choses que de salopette de soirée ou de maquillage à museau :
« Petits crétins, vous ne voyez pas qu’il y a de pauvres naufragés dans ce vaisseau ? Nos courageux employés sont en train de leur sauver la vie au péril de la leur. Forcément, ça vous échappe, pas vrai ? »
La grand-mère la reprend aussitôt de volée :
« Allons, ma fille, reste polie avec tes frères. Certes avec leurs mots d’enfants, n’ont-ils pas raison finalement ? L’Empire dispose de toutes sortes de moyen de venir en aide à ces gens. Il n’ait qu’à envoyer un message à un vaisseau militaire ou autre croisant dans les parages. Nous, nous avons une croisière pour laquelle ton père s’est saigné aux 4 veines qui nous attend. »
Pour une fois, la femme du Marchand Malachite, semble d’accord avec sa belle-mère :
« Ooh, c’est vrai, mon loukoum : tu m’avais promis que nous irions voir LulaB et ses drôles de bêtes… hmmmff (moue et soupir en même temps) »
Le chef de famille regarde tout ça d’un air un peu désemparé, quand son regard rencontre celui, légèrement halluciné de son fils Pardang :
« J’te jure, ‘pa, c’est pas moi, j’y suis pour rien… cette fois-ci. »
[note : la suite dans la foulée, je fractionne les messages en fonction des lieux/actions pour une meilleure lisibilité]