2008-08-30, 08:39 PM
[Suffisait de demander ...]
C'est les bras bien chargés que le Guérisseur monta dans le Cobra. Il avait aussi les poches pleines : quand il avait eu les mains prises, les Akims les avaient bourré d'autres cigarillos. Et une ou deux boîtes de conserve. Et un saucisson sous le bras. Et un jambon habilement noué autour du cou. Quand il monta la coupée, Makzinéro éclata de rire. Furieux, il fit un pas en avant, et entendit un bruit sourd derrière lui. Fénilara, lui aussi chargé comme une mule, venait de s'étaler sur le tapis, et quatre beaux pains ronds et chauds achevaient de rouler devant lui. Cyclamen s'était vu offrir une belle veste de cuir, très finement travaillée, un peu grande, mais quelque chose disait au Prêtre que ce devait être volontaire. C'était le vêtement d'une vie, même avec pérédène.
Makzinéro lança le Cobra dans l'espace, le stoppa à la verticale du point de collecte du premier étudiant, et piqua vers le sol. Ils embarquèrent une sympathique jeune fille qui n'en menait pas large. Dame ! Triple Grâce ... Le Cobra fit le même saut pour aller aux antipodes, où c'était le plein hiver. C'était un jeune garçon cette fois. Tous deux devaient avoir dix-sept ans, et étaient visiblement des bosseurs ; de la tête et des jambes. Nad Cyclamen se joignit à eux, leur parla de ce qu'ils allaient percevoir et ce furent trois nouveaux copains qui ouvrirent leurs sens quand la merveille technologique propriété de Constantine Thelma Norjansk passa dans le Triche-Lumière.
"On en a pour une douzaine d'heures, en trois étapes de quatre heures. Vous me faites une tartine de saucisson, mon Père ?" Tout comme si elle ne venait pas de manquer de tuer un homme :?
Le premier transit en Triche-Lumière se passa bien. C'est au milieu du second passage que cela se produisit. Ils passaient contre des volutes qui sentaient bon, mais bon, et les lumières du vaisseau passèrent au rouge et ils se retrouvèrent dans l'Espace. "Du gros. Du très gros. Qu'est-ce qu'il fiche dans ce bled ? On va attendre un quart d'heure puis on mettra les Varlet en veille. On patientera trois heures de plus sur batteries."
Un quart d'heure plus tard, ni-madame ni-mademoiselle demanda à Fénilara de passer en batteries. Elle descendit de son siège, et s'assit auprès du Prêtre. Tu me passes un cigare ? Un vert, ils ne sont pas stupéfiants. Puis. "Qu'est-ce qu'il faudrait que je fasse pour qu'on soit de nouveau amis ?"
C'est les bras bien chargés que le Guérisseur monta dans le Cobra. Il avait aussi les poches pleines : quand il avait eu les mains prises, les Akims les avaient bourré d'autres cigarillos. Et une ou deux boîtes de conserve. Et un saucisson sous le bras. Et un jambon habilement noué autour du cou. Quand il monta la coupée, Makzinéro éclata de rire. Furieux, il fit un pas en avant, et entendit un bruit sourd derrière lui. Fénilara, lui aussi chargé comme une mule, venait de s'étaler sur le tapis, et quatre beaux pains ronds et chauds achevaient de rouler devant lui. Cyclamen s'était vu offrir une belle veste de cuir, très finement travaillée, un peu grande, mais quelque chose disait au Prêtre que ce devait être volontaire. C'était le vêtement d'une vie, même avec pérédène.
Makzinéro lança le Cobra dans l'espace, le stoppa à la verticale du point de collecte du premier étudiant, et piqua vers le sol. Ils embarquèrent une sympathique jeune fille qui n'en menait pas large. Dame ! Triple Grâce ... Le Cobra fit le même saut pour aller aux antipodes, où c'était le plein hiver. C'était un jeune garçon cette fois. Tous deux devaient avoir dix-sept ans, et étaient visiblement des bosseurs ; de la tête et des jambes. Nad Cyclamen se joignit à eux, leur parla de ce qu'ils allaient percevoir et ce furent trois nouveaux copains qui ouvrirent leurs sens quand la merveille technologique propriété de Constantine Thelma Norjansk passa dans le Triche-Lumière.
"On en a pour une douzaine d'heures, en trois étapes de quatre heures. Vous me faites une tartine de saucisson, mon Père ?" Tout comme si elle ne venait pas de manquer de tuer un homme :?
Le premier transit en Triche-Lumière se passa bien. C'est au milieu du second passage que cela se produisit. Ils passaient contre des volutes qui sentaient bon, mais bon, et les lumières du vaisseau passèrent au rouge et ils se retrouvèrent dans l'Espace. "Du gros. Du très gros. Qu'est-ce qu'il fiche dans ce bled ? On va attendre un quart d'heure puis on mettra les Varlet en veille. On patientera trois heures de plus sur batteries."
Un quart d'heure plus tard, ni-madame ni-mademoiselle demanda à Fénilara de passer en batteries. Elle descendit de son siège, et s'assit auprès du Prêtre. Tu me passes un cigare ? Un vert, ils ne sont pas stupéfiants. Puis. "Qu'est-ce qu'il faudrait que je fasse pour qu'on soit de nouveau amis ?"