2005-11-14, 09:14 PM
A la Malachite : « Mo… *après une demi seconde de réflexion, il se reprend* Madame, je vous en prie… Je n’ai fait que mon… que ce que je pensais être mon devoir. »
*Il jette un regard désolé à la jeune fille tandis que la police syndicale la met en état d’arrestation mais se fend cependant d‘une révérence lorsque la Malachite a fini ses démonstrations émotives… Ne sachant trop comment réagir, il laisse l‘homme au costume (presque) aussi beau que le sien répondre aux questions de ce qu‘il nommerait probablement des "gens d‘arme" et pénètre à la suite des autres dans la bulle (ce n‘est pas comme s‘il avait vraiment le choix à moins qu‘il ne décide de se ronger l‘épaule pour partir en courant, la Malachite semblant ne pas vouloir lui rendre son bras gauche sauf sous la menace d‘une arme… et encore !).*
Maintenant que vous avez l’occasion de l’observer de plus près, l’étranger a l’air d’être au milieu de la vingtaine d’année standard. Approchant probablement les deux mètres de haut, ses vêtements amples dissimulaient jusque là une musculature athlétique, sans pour autant pouvoir rivaliser avec celle d’un de ces fanas d’anabolisants, de levage de poids et/ou de chirurgie structurelle.
Son teint blanc et ses cheveux châtains attachés en catogan semblent tout comme ses vêtements sortir d’un autre temps tandis que ses yeux verts vont et viennent sur tout ce qui l’entoure comme si c’était la première fois qu’il le voyait…
Debout, il se tient toujours droit comme un I, les mains croisés dans son dos, sauf quand il parle, où celles-ci se mettent à tourbillonner en divers effets de manches complexes, peut-être inconscients.
Lorsqu’il se déplace, sa démarche est assurée, mais légèrement sinueuse et ses jambes plus arquées que nécessaire. Lorsqu’il avance sur une surface instable (véhicule sans compensateur de gravité, etc), il semble plus à l’aise que la plupart des gens.
Quant à ses armes, elle sont en adéquation avec le personnage : deux lames aux gardes finement ouvragées et de tailles différentes attendent sagement rangées dans leurs fourreaux, eux même attachés de part et d’autre d’un baudrier de cuir… Il vous semble également que la forme dépassant d’une autre ceinture de cuir passée en travers de son torse est la crosse en bois d’un antique pistolet à poudre noire, dont les plus attentifs d‘entre vous auront reconnu la senteur de poudre à canon rustique si caractéristique.
Il transporte également sur son dos un sac de toile fermé par un cordon en resserrant l’unique extrémité.
A Semirande : « Vous vous moquez madame… Je suis fort peiné de m’être ainsi donné en spectacle… "Force sans discernement est ruine de l’âme" ainsi que disent les anciens : onc ne saurait point m‘accorder mérite pour un acte si indélicat… Cependant vous me voyez fort aise d’avoir pu vous être d’une quelconque aide, cependant m’est avis que votre homme de lame aurait certainement pu maîtriser la situation à lui seul.
Mais pardonnez ma grossièreté madame, je me plains tel le dernier des fâcheux et manque à la plus élémentaire courtoisie : Marco Mac Silbert, enchanté de faire votre connaissance. »
*La bulle lui en laissant la place, il esquisse à nouveau une révérence et dans le même geste, tend la main en direction de celle de la Navyborg, mais arrête son geste, hésite et finalement se contente de plaquer son bras contre son propre torse avant de se rasseoir.*
« Je vous remercie également de m’offrir ainsi transport dans votre véhicule… M’est avis que je m’étais égaré à la sortie de "l‘astre-port". Si je ne craignais d’abuser de votre bonté, pourrais-je vous demander de me recommander une hostellerie où passer la nuit ? J’avoue, à ma grande honte, fort mal connaître votre planète, ainsi que ses us et coutumes…»
[EDIT : clarification]
*Il jette un regard désolé à la jeune fille tandis que la police syndicale la met en état d’arrestation mais se fend cependant d‘une révérence lorsque la Malachite a fini ses démonstrations émotives… Ne sachant trop comment réagir, il laisse l‘homme au costume (presque) aussi beau que le sien répondre aux questions de ce qu‘il nommerait probablement des "gens d‘arme" et pénètre à la suite des autres dans la bulle (ce n‘est pas comme s‘il avait vraiment le choix à moins qu‘il ne décide de se ronger l‘épaule pour partir en courant, la Malachite semblant ne pas vouloir lui rendre son bras gauche sauf sous la menace d‘une arme… et encore !).*
Maintenant que vous avez l’occasion de l’observer de plus près, l’étranger a l’air d’être au milieu de la vingtaine d’année standard. Approchant probablement les deux mètres de haut, ses vêtements amples dissimulaient jusque là une musculature athlétique, sans pour autant pouvoir rivaliser avec celle d’un de ces fanas d’anabolisants, de levage de poids et/ou de chirurgie structurelle.
Son teint blanc et ses cheveux châtains attachés en catogan semblent tout comme ses vêtements sortir d’un autre temps tandis que ses yeux verts vont et viennent sur tout ce qui l’entoure comme si c’était la première fois qu’il le voyait…
Debout, il se tient toujours droit comme un I, les mains croisés dans son dos, sauf quand il parle, où celles-ci se mettent à tourbillonner en divers effets de manches complexes, peut-être inconscients.
Lorsqu’il se déplace, sa démarche est assurée, mais légèrement sinueuse et ses jambes plus arquées que nécessaire. Lorsqu’il avance sur une surface instable (véhicule sans compensateur de gravité, etc), il semble plus à l’aise que la plupart des gens.
Quant à ses armes, elle sont en adéquation avec le personnage : deux lames aux gardes finement ouvragées et de tailles différentes attendent sagement rangées dans leurs fourreaux, eux même attachés de part et d’autre d’un baudrier de cuir… Il vous semble également que la forme dépassant d’une autre ceinture de cuir passée en travers de son torse est la crosse en bois d’un antique pistolet à poudre noire, dont les plus attentifs d‘entre vous auront reconnu la senteur de poudre à canon rustique si caractéristique.
Il transporte également sur son dos un sac de toile fermé par un cordon en resserrant l’unique extrémité.
A Semirande : « Vous vous moquez madame… Je suis fort peiné de m’être ainsi donné en spectacle… "Force sans discernement est ruine de l’âme" ainsi que disent les anciens : onc ne saurait point m‘accorder mérite pour un acte si indélicat… Cependant vous me voyez fort aise d’avoir pu vous être d’une quelconque aide, cependant m’est avis que votre homme de lame aurait certainement pu maîtriser la situation à lui seul.
Mais pardonnez ma grossièreté madame, je me plains tel le dernier des fâcheux et manque à la plus élémentaire courtoisie : Marco Mac Silbert, enchanté de faire votre connaissance. »
*La bulle lui en laissant la place, il esquisse à nouveau une révérence et dans le même geste, tend la main en direction de celle de la Navyborg, mais arrête son geste, hésite et finalement se contente de plaquer son bras contre son propre torse avant de se rasseoir.*
« Je vous remercie également de m’offrir ainsi transport dans votre véhicule… M’est avis que je m’étais égaré à la sortie de "l‘astre-port". Si je ne craignais d’abuser de votre bonté, pourrais-je vous demander de me recommander une hostellerie où passer la nuit ? J’avoue, à ma grande honte, fort mal connaître votre planète, ainsi que ses us et coutumes…»
[EDIT : clarification]