2011-08-02, 10:01 PM
Certains de leurs navires ont littéralement éperonnés les nôtres, à pleine vitesse. Je ne sais pas ce qui est arrivé exactement au navire que vous citez.
Elle grimaça et jeta un coup d’œil au chrono intégré dans la table.
Mais je vous propose de poser la question à l’officier de liaison du Cygne qui ne manquera pas d’être présent à la réunion.
Elle éteignit la console et récupéra sur le dossier de son fauteuil sa vareuse qu’elle échangea avec sa blouse.
Je vous propose d’y aller : en arrivant avec un peu d’avance vous pourrez faire connaissance avec les autres membres de l’Etat Major Interalliés.
Elle les invita à sortir. Alors qu’ils traversaient le laboratoire principal ils furent rejoints par le Karia qui lui tendit un porte tablettes et qui resta ensuite sur ses talons.
Un véhicule les attendait dehors dans lequel ils s’engouffrèrent tous. L’amirale s’assit confortablement pendant les quelques minutes que dura le transfert en direction du quai d’appontage numéro III. Alors que défilait dans la lueur immaculée des couloirs du léhouine des visages flous, des silhouettes en uniforme, elle en profita pour prendre connaissance des tablettes qu’on venait de lui remettre.
Ils pénétrèrent sur le quai, une installation destinée à accueillir les navettes de débarquement de la division intervention. Leur navette blindée les attendait. Ils montèrent à bord accueillit par le copilote au seuil du large sas permettant l’embarquement des engins lourds de la division. Celui-ci les guida dans le ventre de la bête au confort relatif : une rangée de siège à harnais les attendait. C’était une installation standard destinée à transporter le maximum de soldats avec leur matériel en optimisant leurs chances de survie en cas d’impact ou d’accident.
Une fois assis, sanglé par le copilote, ce dernier les abandonna, se rendant dans la cabine, mais laissant le sas de communication ouvert.
Quelques instants plus tard ils glissaient sur le velours noir piqueté d’argent de l’espace …
Elle grimaça et jeta un coup d’œil au chrono intégré dans la table.
Mais je vous propose de poser la question à l’officier de liaison du Cygne qui ne manquera pas d’être présent à la réunion.
Elle éteignit la console et récupéra sur le dossier de son fauteuil sa vareuse qu’elle échangea avec sa blouse.
Je vous propose d’y aller : en arrivant avec un peu d’avance vous pourrez faire connaissance avec les autres membres de l’Etat Major Interalliés.
Elle les invita à sortir. Alors qu’ils traversaient le laboratoire principal ils furent rejoints par le Karia qui lui tendit un porte tablettes et qui resta ensuite sur ses talons.
Un véhicule les attendait dehors dans lequel ils s’engouffrèrent tous. L’amirale s’assit confortablement pendant les quelques minutes que dura le transfert en direction du quai d’appontage numéro III. Alors que défilait dans la lueur immaculée des couloirs du léhouine des visages flous, des silhouettes en uniforme, elle en profita pour prendre connaissance des tablettes qu’on venait de lui remettre.
Ils pénétrèrent sur le quai, une installation destinée à accueillir les navettes de débarquement de la division intervention. Leur navette blindée les attendait. Ils montèrent à bord accueillit par le copilote au seuil du large sas permettant l’embarquement des engins lourds de la division. Celui-ci les guida dans le ventre de la bête au confort relatif : une rangée de siège à harnais les attendait. C’était une installation standard destinée à transporter le maximum de soldats avec leur matériel en optimisant leurs chances de survie en cas d’impact ou d’accident.
Une fois assis, sanglé par le copilote, ce dernier les abandonna, se rendant dans la cabine, mais laissant le sas de communication ouvert.
Quelques instants plus tard ils glissaient sur le velours noir piqueté d’argent de l’espace …