2011-07-25, 04:41 PM
// En attendant d’éventuelles réactions je continue.
L’amirale releva un sourcil ? Visiblement elle se demandait si c’était du lard ou du cochon … Elle répondit néanmoins.
A vrai dire, je ne crois pas que ce soit une solution : les machines de guerre, l’équivalent de leurs fantassins, sont protégés par des champs de force individuels. Vous verrez demain les quelques enregistrements transmis par nos commandos avant leur … Elle secoua la tête refusant de prononcer le mot. C’est assez terrifiant.
En fait nous étudions une solution pour toucher la partie « organique » de leurs navires. Nous avons d’assez bonnes connaissances dans ce domaine, ce qui n’est pas le cas concernant leur technologie.
Elle demanda un nouveau café en bu une gorgée et reprit.
Si nous parvenons à éliminer ces organes biologiques, leurs navires seront encalminés dans l’espace newtonnien, ce qui nous laissera le temps de préparer notre contre-offensive, d’effectuer les recherches nécessaires, tout en maintenant une zone d’exclusion afin de ne pas risquer de nouvelle contamination.
Pour l’instant c’est le vecteur de pénétration qui nous pose problème. Nous n’avons aucune certitude sur la structure interne de leurs navires, sur la protection des entités biologiques à leur bord et ce d’autant plus que des informations de première importance sont thésaurisées par certains. Elle jeta un regard assassin en direction du général.
Son attention revint sur eux.
Néanmoins il semble que vous nous apportiez une solution inédite ? Pensez-vous qu’il soit possible d’effectuer quelques prélèvements sur l’entité biologique que vous transportez ? Songer aux perspectives que cela nous ouvrirait, perspectives immédiates et futures.
L’amirale releva un sourcil ? Visiblement elle se demandait si c’était du lard ou du cochon … Elle répondit néanmoins.
A vrai dire, je ne crois pas que ce soit une solution : les machines de guerre, l’équivalent de leurs fantassins, sont protégés par des champs de force individuels. Vous verrez demain les quelques enregistrements transmis par nos commandos avant leur … Elle secoua la tête refusant de prononcer le mot. C’est assez terrifiant.
En fait nous étudions une solution pour toucher la partie « organique » de leurs navires. Nous avons d’assez bonnes connaissances dans ce domaine, ce qui n’est pas le cas concernant leur technologie.
Elle demanda un nouveau café en bu une gorgée et reprit.
Si nous parvenons à éliminer ces organes biologiques, leurs navires seront encalminés dans l’espace newtonnien, ce qui nous laissera le temps de préparer notre contre-offensive, d’effectuer les recherches nécessaires, tout en maintenant une zone d’exclusion afin de ne pas risquer de nouvelle contamination.
Pour l’instant c’est le vecteur de pénétration qui nous pose problème. Nous n’avons aucune certitude sur la structure interne de leurs navires, sur la protection des entités biologiques à leur bord et ce d’autant plus que des informations de première importance sont thésaurisées par certains. Elle jeta un regard assassin en direction du général.
Son attention revint sur eux.
Néanmoins il semble que vous nous apportiez une solution inédite ? Pensez-vous qu’il soit possible d’effectuer quelques prélèvements sur l’entité biologique que vous transportez ? Songer aux perspectives que cela nous ouvrirait, perspectives immédiates et futures.