2011-07-01, 06:15 PM
… Djal avait échoué, certes. Il y reviendrait plus tard. S’il prenait son temps et s’acharnait il parviendrait sans doute à contourner les codes … // s’il ne fait que ça, le jet passe à 4d6 avec un mod de +1 … mais ça prendra plusieurs heures, voir jours …
Le Méphisto fit le saut de puce que lui demandait son commandant. Il s’enfonça dans le cône qui s’était ouvert sous leurs yeux.. C’était un cône étroit, nervuré, consolidé par une sorte de colle organique qui n’avait rien à envier au plastibéton aux normes militaires qu’utilisaient parfois les sapeurs de la division intervention.
Le diamètre se rétrécissait petit à petit, mais le Méphisto avait malgré tout les coudées franches. Trois cent mètres sous la surface il pénétra dans une vaste salle sphérique dont les parois étaient couvertes de ? ??? Squelettes ?
Des carcasses fossilisés de ce qui avaient dut être autrefois des organismes vivants, des navires sans doute, mais aussi d’autres engins dont la destination restait inconnue, étaient à moitié enchâssés dans les parois. Secs, morts depuis une éternité.
Il résignait en ce lieu une lumière diffuse émanant des parois couleurs crème. Un cercle de lumière brillait au sol, désignant sans le moindre doute le lieu destiné à leur navire.
Gurvan guida avec douceur son navire. Il eut un moment d’inquiétude quand les patins d’urgence s’enfoncèrent dans le sol … sur trente centimètres. Le sol s’était liquéfié avant de se solidifier de nouveau. Une version organique des clamps d’arrimage.
Non loin, au sein de la forteresse, le gardien désigna l’image projeté sur le mur du Méphisto : Votre navire est en sécurité et je vais pouvoir accomplir mon ultime mission. Il faudra trente de vos heures standards pour que je génère l’arme et que je la place à votre bord. Votre présence n’est plus nécessaire ici. Le porteur sera informé de l’usage de l’arme par le bracelet de commandement. Je ne vous reverrais pas. L’arme installée à bord, mes fonctions organiques cesseront dans les huit à douze minutes, ce qui vous laissera le temps de quitter le silo avant que celui-ci ne s’effondre. Puissiez-vous être digne de la mémoire de mes maîtres.
Ces paroles dites, il commença à se rétracter, fondant, attirant à lui les masses gélatineuses qui enserraient encore les petits logimecs qui churent au sol dans un bruit pathétique. Il se rétractait dans le trou qu’ils avaient creusé.
Le Méphisto fit le saut de puce que lui demandait son commandant. Il s’enfonça dans le cône qui s’était ouvert sous leurs yeux.. C’était un cône étroit, nervuré, consolidé par une sorte de colle organique qui n’avait rien à envier au plastibéton aux normes militaires qu’utilisaient parfois les sapeurs de la division intervention.
Le diamètre se rétrécissait petit à petit, mais le Méphisto avait malgré tout les coudées franches. Trois cent mètres sous la surface il pénétra dans une vaste salle sphérique dont les parois étaient couvertes de ? ??? Squelettes ?
Des carcasses fossilisés de ce qui avaient dut être autrefois des organismes vivants, des navires sans doute, mais aussi d’autres engins dont la destination restait inconnue, étaient à moitié enchâssés dans les parois. Secs, morts depuis une éternité.
Il résignait en ce lieu une lumière diffuse émanant des parois couleurs crème. Un cercle de lumière brillait au sol, désignant sans le moindre doute le lieu destiné à leur navire.
Gurvan guida avec douceur son navire. Il eut un moment d’inquiétude quand les patins d’urgence s’enfoncèrent dans le sol … sur trente centimètres. Le sol s’était liquéfié avant de se solidifier de nouveau. Une version organique des clamps d’arrimage.
Non loin, au sein de la forteresse, le gardien désigna l’image projeté sur le mur du Méphisto : Votre navire est en sécurité et je vais pouvoir accomplir mon ultime mission. Il faudra trente de vos heures standards pour que je génère l’arme et que je la place à votre bord. Votre présence n’est plus nécessaire ici. Le porteur sera informé de l’usage de l’arme par le bracelet de commandement. Je ne vous reverrais pas. L’arme installée à bord, mes fonctions organiques cesseront dans les huit à douze minutes, ce qui vous laissera le temps de quitter le silo avant que celui-ci ne s’effondre. Puissiez-vous être digne de la mémoire de mes maîtres.
Ces paroles dites, il commença à se rétracter, fondant, attirant à lui les masses gélatineuses qui enserraient encore les petits logimecs qui churent au sol dans un bruit pathétique. Il se rétractait dans le trou qu’ils avaient creusé.