2008-08-27, 10:20 PM
[Le lever des mââââles]
Le mécanicien sortirent ensemble des grandes et confortables tentes qui leur avaient été dressées à chacun. Ils savaient que Cyclament était allé dormir dans la chambre du fils du chef, et qu'il était allé se coucher crevé. On leur offrit un ... Kabor , qu'ils sifflèrent en attendant que la miss veuille bien émerger. Ce qui se produisit bientôt. Ou plutôt ...
Le rabat laissa d'abord passer un costaud. Il était hâve, avait des cernes, titubait ... son pantalon de cuir qu'il avait négligé de boucler glissa brutalement sur ses cuisses, et il se ficha la gueule par terre. Il y eut des rires, guère méchants.
Le rabat s'ouvrit de nouveau. Deux autres hommes sortirent, dans le même état que le premier, se tenant l'un à l'autre. Ils avaient les mêmes cernes, le même teint pâle, les mêmes épaules affaissées que le premier. Ils se dirigèrent clopin clopan vers un bac d'eau. Ils parvinrent à casser la couche de glace qui s'y était formée durant la nuit, et se plongèrent plusieurs fois la tête dedans, avec un soulagement évident.
Le rabat de la tente se souleva très légèrement : le quatrième homme sortait, à quatre pattes, épuisé. Lui rampa jusqu'à un foyer, tenta d'atteindre le pot à Kabor qui bouillottait dessus, et ne réussit qu'à s'en renverser sur les doigts. Aïyeuuu fit-il d'une voix pâteuse.
Dix minutes s'écoulèrent, durant lesquelles les quatre colosses fatigués se regroupèrent plus ou moins autour du bac d'eau très froide, et commencèrent à boire Kabor sur Kabor.
Le rabat de la tente se souleva une quatrième fois, laissant passer une Makzinéro sautillante, joyeuse, l'oeil vif, satisfaite. Elle s'arrêta au niveau des deux hommes. "J'ai faim !!!" Elle remercia d'un sourire la femme qui lui apporta de quoi se restaurer et continua : "Quelle nuit !!!" Elle jeta un coup d'oeil aux quatre malheureux qui se remettaient comme ils pouvaient, se tourna vers le Guérisseur et lui jeta : "Alors, toujours intéressé ?"
Le mécanicien sortirent ensemble des grandes et confortables tentes qui leur avaient été dressées à chacun. Ils savaient que Cyclament était allé dormir dans la chambre du fils du chef, et qu'il était allé se coucher crevé. On leur offrit un ... Kabor , qu'ils sifflèrent en attendant que la miss veuille bien émerger. Ce qui se produisit bientôt. Ou plutôt ...
Le rabat laissa d'abord passer un costaud. Il était hâve, avait des cernes, titubait ... son pantalon de cuir qu'il avait négligé de boucler glissa brutalement sur ses cuisses, et il se ficha la gueule par terre. Il y eut des rires, guère méchants.
Le rabat s'ouvrit de nouveau. Deux autres hommes sortirent, dans le même état que le premier, se tenant l'un à l'autre. Ils avaient les mêmes cernes, le même teint pâle, les mêmes épaules affaissées que le premier. Ils se dirigèrent clopin clopan vers un bac d'eau. Ils parvinrent à casser la couche de glace qui s'y était formée durant la nuit, et se plongèrent plusieurs fois la tête dedans, avec un soulagement évident.
Le rabat de la tente se souleva très légèrement : le quatrième homme sortait, à quatre pattes, épuisé. Lui rampa jusqu'à un foyer, tenta d'atteindre le pot à Kabor qui bouillottait dessus, et ne réussit qu'à s'en renverser sur les doigts. Aïyeuuu fit-il d'une voix pâteuse.
Dix minutes s'écoulèrent, durant lesquelles les quatre colosses fatigués se regroupèrent plus ou moins autour du bac d'eau très froide, et commencèrent à boire Kabor sur Kabor.
Le rabat de la tente se souleva une quatrième fois, laissant passer une Makzinéro sautillante, joyeuse, l'oeil vif, satisfaite. Elle s'arrêta au niveau des deux hommes. "J'ai faim !!!" Elle remercia d'un sourire la femme qui lui apporta de quoi se restaurer et continua : "Quelle nuit !!!" Elle jeta un coup d'oeil aux quatre malheureux qui se remettaient comme ils pouvaient, se tourna vers le Guérisseur et lui jeta : "Alors, toujours intéressé ?"