2011-06-08, 11:11 AM
Ma vision d’Empire Galactique n’est pas forcément tranchée.
Nous avons à faire à un Empire millénaire, qui s’est largement étendu à travers la galaxie, qui a expérimenté de nombreuses guerres, de nombreux types de gouvernements, de nombreuses révolutions et s’est toujours reconstruit sous une forme ou une autre, renaissant de ses cendres après chaque épreuve.
Cette apparence d’unité politique masque en fait de grandes disparités en pratique. Des disparités de niveau technologique, de droit, sociales. Un kaléidoscope, qui dessine en définitive un ensemble cohérent, basé sur le système des guildes, de l’autorité de l’Empereur et dans des lois minimales universelles au sein des frontières.
A la manière de certains Empires terrestres le centre de l’Empire, la section se trouvant autour de Prima et celle du berceau historique de la Fédération qui l’a précédé sont sans doute les mondes les plus développés, les plus anciens, qui drainent à eux richesses, biens et exportent savoir, recherche, art. Bref une majorité de mondes NT6 voir NT6+. Quelle est la vie des habitants de ces mondes ? Une vie urbaine dans tous les sens du terme, calme, civilisée, largement assistée par les machines, ou l’on trouvera essentiellement des personnes du secteur tertiaire. Des mondes ennuyeux pour certains, sans imprévu.
Plus loin se trouve les mondes qui bien que situés au cœur de l’Empire on un intérêt économique à la production, tant industrielle qu’agricole, pour fournir à la bordure externe et au cœur de l’Empire des biens technologique et de quoi subsister. Ce sont des mondes riches eux aussi, qui emploient aussi largement les machines, bénéficient d’un niveau technologique nt6 ou 5 et au taux de criminalité réduit.
Il y a ensuite des mondes qui bien que situés au sein de l’Empire sont éloignés des routes commerciales principales. Ces mondes peuvent être des havres de paix, des planètes décharges, des lieux de villégiature, des planètes minières, des planètes garnison … On peut tout imaginer (sachant bien entendu qu’une planète est rarement totalement spécialisée). Ces mondes bénéficient aussi d’un niveau technologique élevé, d’un accès à l’éducation peut être un peu plus difficile. Une criminalité peut être un peu plus élevée, peut être avec des lois et des forces de police locales.
Nous en arrivons enfin aux frontières, par définition les plus éloignées du centre de l’Empire. Des planètes coloniales, intégrées, fondées sous l’influence des guildes, d’aventuriers passés, colonisées en raison de leur richesse, de leur implantation stratégique sur une voix commerciale vers l’extérieur, des mondes redécouverts après l’essaimage NT5, des mondes étrangers qui ont souhaités un rattachement Impérial ou qui y on été contraint (persuadés). Des mondes d’une technologie variable, NT4-5 avec des technologies importées NT6 qui font encore appel lourdement à l’être humain comme force de travail. Un foisonnement de mondes d’où naissent la plus grande variété culturelle, mais aussi de grandes inégalités. C’est néanmoins le poumon de l’Empire, ce qui renouvèle son sang vieillissant, par des idées, des fortunes, une dynamique nouvelle. Une jachère volontaire où la main de l’Empire se fait plus légère et ou ses éléments les plus turbulents trouvent à exprimer leur énergie. Des mondes parfois violent, âpres, plein de potentiels, mais où se nouent parfois des drames personnels, où la loi est le plus souvent locale qu’Impériale, même s’il existe des bornes diplomatiques.
Enfin l’extérieur, l’autre coté des frontières. Là tout est possible, même si l’on peut imaginer d’autres états constitués, des bulles de civilisation pour l’A12S ou la république du cygne, des états livrés à la guerre civile comme les territoires kiffish et foncièrement xénophobes, des planètes indépendantes … Là c’est le territoire des pirates, des aventuriers border line à la recherche de richesse et de gloire, des criminels en fuite, des soldats de fortune, d’explorateurs, de la lie des étoiles, mais aussi le sel de la terre, des bâtisseurs d’empires.
Il ya là de tout les niveaux technologique, des réalisations Xéno dont on serait bien en peine de donner un niveau technologique tant leur développement a été différent de celui de l’Empire. Pas de loi Impériale, si ce n’est celle apportée avec elle par des patrouilles préemptive de la division Nova. Des lois locales à la surface des planètes ou dans l’espace contrôlé. Celle du plus fort, du plus malin, de celui qui tirera son épingle du jeu partout ailleurs. Un univers où la technologie impériale doit être importée, mais où des solutions locales alternatives se présentent parfois. Un espace où la débrouillardise et l’homme dans ce qu’il a de plus humain s’exprime totalement.
Dans ses cotés les plus sombres mais aussi dans son aspiration aux étoiles.
Nous avons à faire à un Empire millénaire, qui s’est largement étendu à travers la galaxie, qui a expérimenté de nombreuses guerres, de nombreux types de gouvernements, de nombreuses révolutions et s’est toujours reconstruit sous une forme ou une autre, renaissant de ses cendres après chaque épreuve.
Cette apparence d’unité politique masque en fait de grandes disparités en pratique. Des disparités de niveau technologique, de droit, sociales. Un kaléidoscope, qui dessine en définitive un ensemble cohérent, basé sur le système des guildes, de l’autorité de l’Empereur et dans des lois minimales universelles au sein des frontières.
A la manière de certains Empires terrestres le centre de l’Empire, la section se trouvant autour de Prima et celle du berceau historique de la Fédération qui l’a précédé sont sans doute les mondes les plus développés, les plus anciens, qui drainent à eux richesses, biens et exportent savoir, recherche, art. Bref une majorité de mondes NT6 voir NT6+. Quelle est la vie des habitants de ces mondes ? Une vie urbaine dans tous les sens du terme, calme, civilisée, largement assistée par les machines, ou l’on trouvera essentiellement des personnes du secteur tertiaire. Des mondes ennuyeux pour certains, sans imprévu.
Plus loin se trouve les mondes qui bien que situés au cœur de l’Empire on un intérêt économique à la production, tant industrielle qu’agricole, pour fournir à la bordure externe et au cœur de l’Empire des biens technologique et de quoi subsister. Ce sont des mondes riches eux aussi, qui emploient aussi largement les machines, bénéficient d’un niveau technologique nt6 ou 5 et au taux de criminalité réduit.
Il y a ensuite des mondes qui bien que situés au sein de l’Empire sont éloignés des routes commerciales principales. Ces mondes peuvent être des havres de paix, des planètes décharges, des lieux de villégiature, des planètes minières, des planètes garnison … On peut tout imaginer (sachant bien entendu qu’une planète est rarement totalement spécialisée). Ces mondes bénéficient aussi d’un niveau technologique élevé, d’un accès à l’éducation peut être un peu plus difficile. Une criminalité peut être un peu plus élevée, peut être avec des lois et des forces de police locales.
Nous en arrivons enfin aux frontières, par définition les plus éloignées du centre de l’Empire. Des planètes coloniales, intégrées, fondées sous l’influence des guildes, d’aventuriers passés, colonisées en raison de leur richesse, de leur implantation stratégique sur une voix commerciale vers l’extérieur, des mondes redécouverts après l’essaimage NT5, des mondes étrangers qui ont souhaités un rattachement Impérial ou qui y on été contraint (persuadés). Des mondes d’une technologie variable, NT4-5 avec des technologies importées NT6 qui font encore appel lourdement à l’être humain comme force de travail. Un foisonnement de mondes d’où naissent la plus grande variété culturelle, mais aussi de grandes inégalités. C’est néanmoins le poumon de l’Empire, ce qui renouvèle son sang vieillissant, par des idées, des fortunes, une dynamique nouvelle. Une jachère volontaire où la main de l’Empire se fait plus légère et ou ses éléments les plus turbulents trouvent à exprimer leur énergie. Des mondes parfois violent, âpres, plein de potentiels, mais où se nouent parfois des drames personnels, où la loi est le plus souvent locale qu’Impériale, même s’il existe des bornes diplomatiques.
Enfin l’extérieur, l’autre coté des frontières. Là tout est possible, même si l’on peut imaginer d’autres états constitués, des bulles de civilisation pour l’A12S ou la république du cygne, des états livrés à la guerre civile comme les territoires kiffish et foncièrement xénophobes, des planètes indépendantes … Là c’est le territoire des pirates, des aventuriers border line à la recherche de richesse et de gloire, des criminels en fuite, des soldats de fortune, d’explorateurs, de la lie des étoiles, mais aussi le sel de la terre, des bâtisseurs d’empires.
Il ya là de tout les niveaux technologique, des réalisations Xéno dont on serait bien en peine de donner un niveau technologique tant leur développement a été différent de celui de l’Empire. Pas de loi Impériale, si ce n’est celle apportée avec elle par des patrouilles préemptive de la division Nova. Des lois locales à la surface des planètes ou dans l’espace contrôlé. Celle du plus fort, du plus malin, de celui qui tirera son épingle du jeu partout ailleurs. Un univers où la technologie impériale doit être importée, mais où des solutions locales alternatives se présentent parfois. Un espace où la débrouillardise et l’homme dans ce qu’il a de plus humain s’exprime totalement.
Dans ses cotés les plus sombres mais aussi dans son aspiration aux étoiles.