2011-03-14, 10:52 PM
[Khrys]
L’homme qui avait interrogé Khrys dans l’auberge se nommait le lieutenant Perosky. Il avait accompagné Khrys d’un pas décidé, lui faisant emprunter des passages étroits jusqu’à un quai discret où attendait une vedette rapide des forces armées. Une antique mitrailleuse à refroidissement à eau était montée sur un affut à l’avant.
C’est assis dans celle-ci que Khrys avait reçu l’appel de Manchu. Visiblement le lieutenant Perosky attendait quelqu’un. Aux fil des minutes la vedette se remplit : les troupes qui avaient été dispersées autour de l’auberge convergeaient vers eux.
// Tu as donc tout le temps pour ton entretien via com avec Manchu
Enfin l’enquêteur spécial Lorimo s’engouffra à bord. Il avait du faire vinaigre pour arriver aussi vite de l’astroport. Etait-il rouge de colère ou juste essoufflé ?
Il jeta un regard noir au marchand. Vous vous êtes bien foutu de ma gueule bande de fumier.
Une réplique ?
[Khaadaric]
Il lança d’une pichenette le synthétiseur devant son œil : Immédiatement le plan de la ville s’afficha, il vit le logimec intégré rechercher plusieurs solutions de trajet, le comparer avec le chemin probable du commando des fils de l’homme. Le résultat tomba : impossible d’arriver avant eux par des moyens normaux.
Il activa son champ d’occultation, disparaissant presque, ne laissa à la place qu’il occupait qu’une diffraction lumineuse presque invisible s’il ne bougeait pas. Mais il lui fallait bouger et vite : D’un coup de talon il se lança en l’air, décrivant une trajectoire parabolique au dessus des bâtiments, évitant un vol d’oiseau de mer noir. Moins de deux minutes après il approchait de la forme de radoub.
C’était une vaste forme en gradin creusée dans le soc rocheux de la rive, fermé sur l’un des cotés par un barrage temporaire de rondin.
En son centre, étayé par des solives la coque d’un navire était en cours de réparation : on avait retiré les mats, une grande partie de ses superstructures et on avait rangé tout cela dans les vastes entrepôts bas qui entouraient la cuvette de pierre. Il régnait un grand calme … Pas un chat à l’horizon. Visiblement le chantier était abandonné depuis un certain temps. Problème d’argent ? Peut-être.
Khaadaric vit cela alors qu’il descendait à vitesse réduite vers le sol. D’un œil il consulta son synthéviseur : il avait six minutes trente secondes avant que le commando des affreux n’arrive en vue du chantier.
Des actions ?
[Les autres ?]
Monsieur Baser demanda : On y va ? On prend un navire taxi ?
L’homme qui avait interrogé Khrys dans l’auberge se nommait le lieutenant Perosky. Il avait accompagné Khrys d’un pas décidé, lui faisant emprunter des passages étroits jusqu’à un quai discret où attendait une vedette rapide des forces armées. Une antique mitrailleuse à refroidissement à eau était montée sur un affut à l’avant.
C’est assis dans celle-ci que Khrys avait reçu l’appel de Manchu. Visiblement le lieutenant Perosky attendait quelqu’un. Aux fil des minutes la vedette se remplit : les troupes qui avaient été dispersées autour de l’auberge convergeaient vers eux.
// Tu as donc tout le temps pour ton entretien via com avec Manchu
Enfin l’enquêteur spécial Lorimo s’engouffra à bord. Il avait du faire vinaigre pour arriver aussi vite de l’astroport. Etait-il rouge de colère ou juste essoufflé ?
Il jeta un regard noir au marchand. Vous vous êtes bien foutu de ma gueule bande de fumier.
Une réplique ?
[Khaadaric]
Il lança d’une pichenette le synthétiseur devant son œil : Immédiatement le plan de la ville s’afficha, il vit le logimec intégré rechercher plusieurs solutions de trajet, le comparer avec le chemin probable du commando des fils de l’homme. Le résultat tomba : impossible d’arriver avant eux par des moyens normaux.
Il activa son champ d’occultation, disparaissant presque, ne laissa à la place qu’il occupait qu’une diffraction lumineuse presque invisible s’il ne bougeait pas. Mais il lui fallait bouger et vite : D’un coup de talon il se lança en l’air, décrivant une trajectoire parabolique au dessus des bâtiments, évitant un vol d’oiseau de mer noir. Moins de deux minutes après il approchait de la forme de radoub.
C’était une vaste forme en gradin creusée dans le soc rocheux de la rive, fermé sur l’un des cotés par un barrage temporaire de rondin.
En son centre, étayé par des solives la coque d’un navire était en cours de réparation : on avait retiré les mats, une grande partie de ses superstructures et on avait rangé tout cela dans les vastes entrepôts bas qui entouraient la cuvette de pierre. Il régnait un grand calme … Pas un chat à l’horizon. Visiblement le chantier était abandonné depuis un certain temps. Problème d’argent ? Peut-être.
Khaadaric vit cela alors qu’il descendait à vitesse réduite vers le sol. D’un œil il consulta son synthéviseur : il avait six minutes trente secondes avant que le commando des affreux n’arrive en vue du chantier.
Des actions ?
[Les autres ?]
Monsieur Baser demanda : On y va ? On prend un navire taxi ?