2011-03-08, 09:54 PM
Oberon Carkaron se glissa à l’intérieur de la boutique, étroitement surveillé par Djal qui entra à sa suite.
La boutique était encombrée par des masses de livres imprimés sur papier, parfois enluminés à la main, mais le plus souvent imprimés en quadrichromie. Les ouvrages étaient reliés plein cuir et il flottait une odeur très particulière dans l’étroit local éclairé par les couleurs vives qui filtraient en rayons colorés des vitraux grossiers.
Khaadaric surveillait du dehors, attentif à la rue. Gurvan avait libéré son petit logimec qui au sein de son champ de furtivité survolait de manière concentrique les rues, programmé pour repérer les rapiéçages jaune et les types patibulaires. Si ces derniers ne manquaient pas, il ne repéra pour l’instant rien de particulier.
Les rues se remplissaient doucement, les navires déhalaient emplis de marchandises ou riches d’espoir de profits.
A l’intérieur de la boutique ce mélange étrange d’odeur de vieux cuir, de papier moisi, de poussière et de crasse s’expliqua bientôt. Un homme aux cheveux gris marron raides de saleté, portant une robe dégageant une odeur fétide surgit de l’arrière boutique. Il sourit à Carkaron révélant un bosquet de chicots noircis. Avec un infime mouvement de recul celui-ci demanda s’il disposait d’un exemplaire du « Psaumes des cantiques employés dans l'Office divin selon le Bréviaire de Sens » … Il eut bientôt entre les mains le livre et après l’avoir feuilleté il remercia le libraire et ressortit.
Il sortit avec Djal sur ses talons, ce dernier étant peu désireux de bénéficier des conseils personnalisés du libraire.
Carkaron se dirigea vers un braséro situé non loin sur lequel chauffait un seau de goudron de calfatage. Ils virent brièvement celui-ci tendre un papier devant les flammes, le lire et le jeter dans le feu.
D’un pas nonchalant il se dirigea vers Khaadaric, Gurvan, bientôt rejoint par Djal.
Le rendez-vous se situe dans les chantiers navals, dans une forme de radoub, un navire à sec. La Jolimome. Je crois que mon boulot à moi s’arrête là : Je vais vous souhaitez bonne chasse. Quand vous aurez terminé … je vous retrouverai.
Pendant ce temps Khrys buvait, mangeait, prenait du bon temps … Une fille ? Plus tard peu être ? Au bout d’un certain temps il eut conscience que l’on l’observait. L’homme qui avait prit contact avec Khaadaric l’observait du bout de la pièce à la dérobade. Visiblement il avait l’air vaguement intrigué. Khrys cru voir poindre sur son front une ride de préoccupation.
La boutique était encombrée par des masses de livres imprimés sur papier, parfois enluminés à la main, mais le plus souvent imprimés en quadrichromie. Les ouvrages étaient reliés plein cuir et il flottait une odeur très particulière dans l’étroit local éclairé par les couleurs vives qui filtraient en rayons colorés des vitraux grossiers.
Khaadaric surveillait du dehors, attentif à la rue. Gurvan avait libéré son petit logimec qui au sein de son champ de furtivité survolait de manière concentrique les rues, programmé pour repérer les rapiéçages jaune et les types patibulaires. Si ces derniers ne manquaient pas, il ne repéra pour l’instant rien de particulier.
Les rues se remplissaient doucement, les navires déhalaient emplis de marchandises ou riches d’espoir de profits.
A l’intérieur de la boutique ce mélange étrange d’odeur de vieux cuir, de papier moisi, de poussière et de crasse s’expliqua bientôt. Un homme aux cheveux gris marron raides de saleté, portant une robe dégageant une odeur fétide surgit de l’arrière boutique. Il sourit à Carkaron révélant un bosquet de chicots noircis. Avec un infime mouvement de recul celui-ci demanda s’il disposait d’un exemplaire du « Psaumes des cantiques employés dans l'Office divin selon le Bréviaire de Sens » … Il eut bientôt entre les mains le livre et après l’avoir feuilleté il remercia le libraire et ressortit.
Il sortit avec Djal sur ses talons, ce dernier étant peu désireux de bénéficier des conseils personnalisés du libraire.
Carkaron se dirigea vers un braséro situé non loin sur lequel chauffait un seau de goudron de calfatage. Ils virent brièvement celui-ci tendre un papier devant les flammes, le lire et le jeter dans le feu.
D’un pas nonchalant il se dirigea vers Khaadaric, Gurvan, bientôt rejoint par Djal.
Le rendez-vous se situe dans les chantiers navals, dans une forme de radoub, un navire à sec. La Jolimome. Je crois que mon boulot à moi s’arrête là : Je vais vous souhaitez bonne chasse. Quand vous aurez terminé … je vous retrouverai.
Pendant ce temps Khrys buvait, mangeait, prenait du bon temps … Une fille ? Plus tard peu être ? Au bout d’un certain temps il eut conscience que l’on l’observait. L’homme qui avait prit contact avec Khaadaric l’observait du bout de la pièce à la dérobade. Visiblement il avait l’air vaguement intrigué. Khrys cru voir poindre sur son front une ride de préoccupation.