2011-02-27, 04:44 PM
Etrange cette sensation d’ubiquité qu’entretenait Gurvan en assistant d’un œil à l’interrogatoire tout en écoutant le débat qui agitait l’équipage et les passagers.
N’eut été son entrainement de navyborg, son habitude de prendre en compte de multiples paramètres il en aurait chopé un mal de crâne carabiné.
Ce n’était pas le cas : il suivait sans difficulté, gardant un troisième œil mental sur ce qui se passait à l’extérieur. L’orage était en train de diminuer d’intensité, le rideau de pluie perdait d’intensité, les éclairs et leur roulement de tonnerre s’éloignaient …
A l’infirmerie le prisonnier, une pommette rougie par la claque que lui avait administré Khaadaric, sortait de sa transe, papillonnant des yeux, raccrochant le wagon de la conversation et des promesses variées du commandant de bord.
Oui ? Nous avons donc un accord. Je crains de devoir me contenter de votre parole, je vais donc me conduire en allié avec vous : je suis en votre pouvoir, j’ai tout à gagner par une collaboration complète.
Il regarda Khaadaric.
Je suis Oberon Carkaron, je suis un agent des services secrets de sa sainteté
L’archiprêtre. Nous sommes arrivés il y a deux semaines de Liota. Nous étions quatre, nous avons chacun emprunté des chemins différents avant de nous retrouver en ville après le temps necessaire à nous assurer que nous ne faisions pas l’objet d’une surveillance de la part des autorités de la Paraji. Notre matériel, nos explosifs nous ont été fourni par un contact local, un marchand qui assure le transport de certaines marchandises sensibles pour nous.
Notre mission ? Capturer le nommé Djal Gorda pour le ramener à Liota. L’éliminer si cela est impossible.
Nous avons divers lieux de rendez-vous, des méthodes de contact qui varient en fonction de l’heure, du jour et des circonstances.
Actuellement, puisque vous m’avez capturé … Les coordonnées du prochain rendez-vous si je parviens à m’échapper se trouvent dans un livre chez un libraire du quai les lettres. Le libraire se nomme Kolim et il vent des ouvrages religieux dans une petite échoppe. Il nous sert de boite aux lettres. Vous trouverez dans le « Psaumes des cantiques employés dans l'Office divin selon le Bréviaire de Sens » à la page 110 un marque page en papier. La chaleur d’une flamme permettra de révéler une série de chiffres qui donnent l’heure et le lieu du rendez-vous. Il sera nécessaire que ce soit moi qui y aille afin de le décoder. Il faudra aussi que je me rende en personne au lieu de rendez-vous pour rencontrer la personne qu’ils m’enverront afin de reprendre contact.
Nous étions quatre, nous sommes originaires de Liota, mais nous avons tous été formés à Tortuga dans tout ce qui concerne les techniques galactiques. Vous avez eu Pavoli, le gars au fusil. Je suis votre prisonnier, il reste donc Otilus et Dokcar. Otilus est notre chef, c’est un officier très expériementé. Si vous faites un faux pas, il vous aura et moi avec vous. Dockar est notre artificier.
Notre matériel ? Quelques armes énergétiques, des communicateurs NT5 et NT4, des grenades et des explosifs locaux. Je suis persuadé que Otilus est plus lourdement équipé, mais sans que je puisse vous donner de précisions. Il ne s’est pas confié à moi ; pas son genre.
Pendant ce temps Djal se lança dans une opération de piratage des installations astroportuaires en bonne et due forme.
// 4 dés sous informatique + intelligence ? Avec un bonus de +3 grace aux ordinateurs du Méphisto et de sa connection par PV ? 5 dés s’il tente de s’introduire dans le système des tourelles avec le même bonus de +3.
N’eut été son entrainement de navyborg, son habitude de prendre en compte de multiples paramètres il en aurait chopé un mal de crâne carabiné.
Ce n’était pas le cas : il suivait sans difficulté, gardant un troisième œil mental sur ce qui se passait à l’extérieur. L’orage était en train de diminuer d’intensité, le rideau de pluie perdait d’intensité, les éclairs et leur roulement de tonnerre s’éloignaient …
A l’infirmerie le prisonnier, une pommette rougie par la claque que lui avait administré Khaadaric, sortait de sa transe, papillonnant des yeux, raccrochant le wagon de la conversation et des promesses variées du commandant de bord.
Gurvan Wrote:"Arrêtes ça, mon pote. Tu veux qu'on t'emmène quand on quittera cette planète de merde ? On va t'emmener. Mais en échange, tu vas nous dire ton nom, d'où tu viens, et tout ce que tu sais sur Dokcar, Borken et cette organisation qui a mis un contrat sur la tête du ressortissant impérial que nous avons pris à notre bord. Si moi ou mon collègue ici présent avons le moindre doute sur ta franchise, on arrêtera l'autodoc et on balancera tes morceaux sur le tarmac. On t'écoute."
Oui ? Nous avons donc un accord. Je crains de devoir me contenter de votre parole, je vais donc me conduire en allié avec vous : je suis en votre pouvoir, j’ai tout à gagner par une collaboration complète.
Il regarda Khaadaric.
Je suis Oberon Carkaron, je suis un agent des services secrets de sa sainteté
L’archiprêtre. Nous sommes arrivés il y a deux semaines de Liota. Nous étions quatre, nous avons chacun emprunté des chemins différents avant de nous retrouver en ville après le temps necessaire à nous assurer que nous ne faisions pas l’objet d’une surveillance de la part des autorités de la Paraji. Notre matériel, nos explosifs nous ont été fourni par un contact local, un marchand qui assure le transport de certaines marchandises sensibles pour nous.
Notre mission ? Capturer le nommé Djal Gorda pour le ramener à Liota. L’éliminer si cela est impossible.
Nous avons divers lieux de rendez-vous, des méthodes de contact qui varient en fonction de l’heure, du jour et des circonstances.
Actuellement, puisque vous m’avez capturé … Les coordonnées du prochain rendez-vous si je parviens à m’échapper se trouvent dans un livre chez un libraire du quai les lettres. Le libraire se nomme Kolim et il vent des ouvrages religieux dans une petite échoppe. Il nous sert de boite aux lettres. Vous trouverez dans le « Psaumes des cantiques employés dans l'Office divin selon le Bréviaire de Sens » à la page 110 un marque page en papier. La chaleur d’une flamme permettra de révéler une série de chiffres qui donnent l’heure et le lieu du rendez-vous. Il sera nécessaire que ce soit moi qui y aille afin de le décoder. Il faudra aussi que je me rende en personne au lieu de rendez-vous pour rencontrer la personne qu’ils m’enverront afin de reprendre contact.
Nous étions quatre, nous sommes originaires de Liota, mais nous avons tous été formés à Tortuga dans tout ce qui concerne les techniques galactiques. Vous avez eu Pavoli, le gars au fusil. Je suis votre prisonnier, il reste donc Otilus et Dokcar. Otilus est notre chef, c’est un officier très expériementé. Si vous faites un faux pas, il vous aura et moi avec vous. Dockar est notre artificier.
Notre matériel ? Quelques armes énergétiques, des communicateurs NT5 et NT4, des grenades et des explosifs locaux. Je suis persuadé que Otilus est plus lourdement équipé, mais sans que je puisse vous donner de précisions. Il ne s’est pas confié à moi ; pas son genre.
Pendant ce temps Djal se lança dans une opération de piratage des installations astroportuaires en bonne et due forme.
// 4 dés sous informatique + intelligence ? Avec un bonus de +3 grace aux ordinateurs du Méphisto et de sa connection par PV ? 5 dés s’il tente de s’introduire dans le système des tourelles avec le même bonus de +3.