2011-02-23, 08:49 PM
[Sentiment de déjà vu … ]
… Une fois de plus, comme lorsqu’ils avaient interrogé le Kiff et le pirate capturé non loin de Tortuga, le logimec de l’infirmerie fit de l’obstruction pour fournir des doses de divrai. Il dérangea Gurvan, interrompant sa rêverie, lui posant exactement les mêmes questions. Sauf que cette fois ci ils ne bénéficiaient d’aucun verni de légalité pour agir. Gurvan mentit-il ?
En attendant Kolab donnait des noms. Il en ressorti qu’ils étaient dix en tout et pour tout, lui y compris. C’était des spadassins, des gens qui gagnaient leur vie en louant leurs talents d’assassins. Des anciens soldats, des mercenaires occasionnels de la cité qui en temps de paix vendaient leurs services aux plus offrants.
Les autres devaient leur tendre une embuscade sur le pont d’accès à l’astroport avec le dénommé Dokcar : … comprenez si vous vous échappiez on devait vous pousser vers le pont et ils vous auraient chopé par surprise là bas. J’suis pas certain qu’ils avaient prévu le coup de la bulle.
L’autre prisonnier se tenait tranquille pour l’instant. Il observait le plafond. Néanmoins à ces derniers mots, l’illusion d’un rictus releva sa lèvre supérieure.
… La requête de Khaadaric parvint à Djal. Il était bien placé pour savoir que ce bled n’était pas doté du moindre réseau informatique sorti de l’astroport. Il pourrait à la limite écouter les rares communications hertziennes. L’armée, quelques administrations de la cité, les lignes de dirigeables, quelques navires et de riches commerçants s’en servaient.
Pour savoir où se trouvait précisément le navire le plus simple serait sans doute de contacter les services des taxes portuaires : ils tenaient registre des navires accostant, de la durée, du tonnage afin de se faire payer.
… Une fois de plus, comme lorsqu’ils avaient interrogé le Kiff et le pirate capturé non loin de Tortuga, le logimec de l’infirmerie fit de l’obstruction pour fournir des doses de divrai. Il dérangea Gurvan, interrompant sa rêverie, lui posant exactement les mêmes questions. Sauf que cette fois ci ils ne bénéficiaient d’aucun verni de légalité pour agir. Gurvan mentit-il ?
En attendant Kolab donnait des noms. Il en ressorti qu’ils étaient dix en tout et pour tout, lui y compris. C’était des spadassins, des gens qui gagnaient leur vie en louant leurs talents d’assassins. Des anciens soldats, des mercenaires occasionnels de la cité qui en temps de paix vendaient leurs services aux plus offrants.
Les autres devaient leur tendre une embuscade sur le pont d’accès à l’astroport avec le dénommé Dokcar : … comprenez si vous vous échappiez on devait vous pousser vers le pont et ils vous auraient chopé par surprise là bas. J’suis pas certain qu’ils avaient prévu le coup de la bulle.
L’autre prisonnier se tenait tranquille pour l’instant. Il observait le plafond. Néanmoins à ces derniers mots, l’illusion d’un rictus releva sa lèvre supérieure.
… La requête de Khaadaric parvint à Djal. Il était bien placé pour savoir que ce bled n’était pas doté du moindre réseau informatique sorti de l’astroport. Il pourrait à la limite écouter les rares communications hertziennes. L’armée, quelques administrations de la cité, les lignes de dirigeables, quelques navires et de riches commerçants s’en servaient.
Pour savoir où se trouvait précisément le navire le plus simple serait sans doute de contacter les services des taxes portuaires : ils tenaient registre des navires accostant, de la durée, du tonnage afin de se faire payer.