2011-02-16, 12:40 AM
« Cela est parfaitement intolérable... »
Djal s’adressa à l’équipage du Méphisto et à M Baser. Il avait proféré cette courte phrase avec écœurement…
« Les autorités conviennent que nous avons agit en état de légitime défense, ils admettent sans discuter le principe d'une simple entorse pour les formalités douanières, ils agréent votre intervention relatif à l'incendie. En outre, ils sont fort embarrassés de savoir que le "sergent" de la prévôté est un homme de main en notre possession, et n’ont qu’une hâte : le récupérer… De surcroit ils sont surveillés par un observateur neutre inter-cité ! Je n’en crois pas un mot... Par l'Empire, je ne vois ce qui leur permet d’exiger la moindre concession… de vous demander de me livré, comme appât… »
Croisant les bras, Djal se tourna vers le vitrage cristallin de la salle de réunion et observa l’extérieur. Il poursuivit d’une voie basse, comme s’il se parlait à lui-même :
« Alors ! Pourquoi se comportent-ils comme des truands, des voyous : ils vous glissent une lame froide sous la gorge et font du chantage ! »
Djal pivota et dévisagea ses compagnons :
« Je ne sortirais pas de ce vaisseau... En tout cas pas après ce qui vient d’arrivé au Commandant... Je ne mettrais pas un pied dehors pour me faire abattre ! Ou alors, vous devrez le faire vous-même puis jeter mon cadavre sur le tarmac pour apaiser les tensions... »
Tournant un visage grave vers Khrys :
« Je ne comprends pas pourquoi vous leur avez dit qu'une collaboration était possible... Avez-vous perdu le sens des réalités M. Edelman... Les autorités de cette ville puante vous jouent la scène à l'envers, et cela vous semble normal... »
Il attendit…
Djal s’adressa à l’équipage du Méphisto et à M Baser. Il avait proféré cette courte phrase avec écœurement…
« Les autorités conviennent que nous avons agit en état de légitime défense, ils admettent sans discuter le principe d'une simple entorse pour les formalités douanières, ils agréent votre intervention relatif à l'incendie. En outre, ils sont fort embarrassés de savoir que le "sergent" de la prévôté est un homme de main en notre possession, et n’ont qu’une hâte : le récupérer… De surcroit ils sont surveillés par un observateur neutre inter-cité ! Je n’en crois pas un mot... Par l'Empire, je ne vois ce qui leur permet d’exiger la moindre concession… de vous demander de me livré, comme appât… »
Croisant les bras, Djal se tourna vers le vitrage cristallin de la salle de réunion et observa l’extérieur. Il poursuivit d’une voie basse, comme s’il se parlait à lui-même :
« Alors ! Pourquoi se comportent-ils comme des truands, des voyous : ils vous glissent une lame froide sous la gorge et font du chantage ! »
Djal pivota et dévisagea ses compagnons :
« Je ne sortirais pas de ce vaisseau... En tout cas pas après ce qui vient d’arrivé au Commandant... Je ne mettrais pas un pied dehors pour me faire abattre ! Ou alors, vous devrez le faire vous-même puis jeter mon cadavre sur le tarmac pour apaiser les tensions... »
Tournant un visage grave vers Khrys :
« Je ne comprends pas pourquoi vous leur avez dit qu'une collaboration était possible... Avez-vous perdu le sens des réalités M. Edelman... Les autorités de cette ville puante vous jouent la scène à l'envers, et cela vous semble normal... »
Il attendit…
"J’adorerais changer le monde, mais il ne veut pas me fournir son code source..."