2011-02-07, 09:49 PM
Khaadaric observait sa proie …
Sémirande pendant ce temps sautait, antigrav au maximum, de part et d’autre du puits de chargement, s’aidant du câble central afin de gravir au plus vite les étages. Elle ralenti alors qu’elle était sur le point d’arriver au quatrième et dernier étage … elle chercha un éventuel piège, d’autres soudards … Personne. Elle leva la tête et essaya de percevoir ce qui se passait sur le toit.
Pas simple : quelques poêles de céramiques chauffaient le vaste bâtiment. Bien qu’éteints pendant la nuit la chaleur résiduelle continuait de monter le long des conduits de cheminée. L’image n’était pas claire, brouillée. Néanmoins…. Elle perçu le vasistas ouvert qui laissait s’engouffrer l’air froid à l’intérieur du bâtiment. La tache chaude non loin ce devait être le tireur que Khaadaric guettait. Le soldat en lui-même devait être invisible, protégé par son champ de furtivité … alors quel était cette tache chaude qui était située à quelques mètres seulement du sommet du toit et qui se déplaçait avec une infinie lenteur ?
Bizarrement c’est à ce moment la qu’elle se souvint que le grand canal faisait une bonne soixantaine de mètre de largeur : les ponts qui l’enjambaient étaient basculant afin de permettre aux navires venant de la mer intérieure de circuler jusqu’en amont du fleuve. Il devait faire au moins une dizaine de mètres de profondeur dans sa partie centrale et entre six et huit au plus prés des quais.
…
Khaadaric vit brusquement l’homme au fusil se plaquer la main sur l’oreille. Immédiatement il leva son fusil, l’épaula et fit décrire par celui-ci, œil rivé sur la lunette, un arc de cercle balayant le toit. Le bougre était diablement rapide.
Sémirande pendant ce temps sautait, antigrav au maximum, de part et d’autre du puits de chargement, s’aidant du câble central afin de gravir au plus vite les étages. Elle ralenti alors qu’elle était sur le point d’arriver au quatrième et dernier étage … elle chercha un éventuel piège, d’autres soudards … Personne. Elle leva la tête et essaya de percevoir ce qui se passait sur le toit.
Pas simple : quelques poêles de céramiques chauffaient le vaste bâtiment. Bien qu’éteints pendant la nuit la chaleur résiduelle continuait de monter le long des conduits de cheminée. L’image n’était pas claire, brouillée. Néanmoins…. Elle perçu le vasistas ouvert qui laissait s’engouffrer l’air froid à l’intérieur du bâtiment. La tache chaude non loin ce devait être le tireur que Khaadaric guettait. Le soldat en lui-même devait être invisible, protégé par son champ de furtivité … alors quel était cette tache chaude qui était située à quelques mètres seulement du sommet du toit et qui se déplaçait avec une infinie lenteur ?
Bizarrement c’est à ce moment la qu’elle se souvint que le grand canal faisait une bonne soixantaine de mètre de largeur : les ponts qui l’enjambaient étaient basculant afin de permettre aux navires venant de la mer intérieure de circuler jusqu’en amont du fleuve. Il devait faire au moins une dizaine de mètres de profondeur dans sa partie centrale et entre six et huit au plus prés des quais.
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Khaadaric vit brusquement l’homme au fusil se plaquer la main sur l’oreille. Immédiatement il leva son fusil, l’épaula et fit décrire par celui-ci, œil rivé sur la lunette, un arc de cercle balayant le toit. Le bougre était diablement rapide.