2011-02-06, 09:07 PM
[Sémirande]
… regarda l’engin : une charge d’un explosif inconnu, compact, relié à un détonateur à mercure semblait-il … une technologie locale sans le moindre doute.
Monsieur Skribllz, peut être était-ce monsieur Skrubllz, répondit : Le chargement de la bulle est terminé. Nous la guidons en automatique vers les coordonnées approximatives de votre hostellerie. Nous la poserons devant celle-ci. Terminé.
Elle redressa la tête, fit passer ses optiques par divers cycles. Elle était au rez-de-chaussée au dessus elle il y avait quatre étages, des planchers de bois massifs capable de supporter plusieurs tonnes de marchandises, des caisses, des ballots de grain, des rouleaux de tissus ; un fatras impressionnant.
Elle acquit la certitude qu’il n’y avait personne au premier étage et pensa qu’il n’y avait personne au second …
[Khaadaric]
… se posa sur le toit …et manqua de se vautrer. Les tuiles de bois étaient extrêmement glissantes, couvertes de mousse par endroit. Il observa : pas de passage, de vasistas providentiel sur cette pente de la toiture. Avec prudence, zigzagant entre les cheminées, il se hissa au sommet et jeta un coup d’œil de l’autre coté et se figea.
Oui, il y avait bien un vasistas, mais celui-ci était ouvert. La mousse qui poussait sur du toit autour de celui-ci avait été arrachée par un passage plus que récent.
Il vit deux mains se positionner de part et d’autre de l’ouverture et avec un infime grognement un homme, vêtu de noir, portant en bandoulière un long fusil laser de précision, se hisser, s’asseoir sur le bord et se redresser à moitié, précautionneusement. C’était un des trois hommes qu’il avait vu sur la retransmission d’Aragorn : la dernière fois il était habillé en marin.
L’homme, regardait de droite et de gauche semblant chercher quelque-chose, pendant qu’il récupérait son fusil …
[Gurvan – Khrys – Djal – Monsieur Baser]
Djal fit abstraction des pas qui s’approchaient : Gurvan nécessitait toute son attention, Grace à l’injection de Khrys son cœur s’était calmé et il put inciser avec un peu plus de calme, essayant de ne pas trembler. Dieux de l’infi, qu’il était loin les cours de médecine universelle qu’il avait suivi chez les technos. Il se maudit pour avoir pensé à l’époque qu’il n’en aurait jamais besoin. Il stérilisa le narguilé et entreprit de commencer à opérer.
Surgissant de l’escalier une escouade de quatre membres des services de prévôté municipale fit irruption. Ils portaient pour deux d’entre eux à la main un sabre et les deux suivants des armes de poing, d’antiques pétoires NT3 à projectile, semi-automatiques. L’homme de tête, un officier, mal rasé, légèrement essoufflé, pointant son sabre vers le bas demanda d’une voix forte : On nous a signalé un incident ! Je suis là pour vous aider. Nous allons vous évacuer et vous trouver un médecin. Il regarda monsieur Baser qui avait son fusil à la hanche : baissez votre arme monsieur ! S’adressant à Khrys qui avait tourné la tête vers lui : Où sont les deux autres ?
… regarda l’engin : une charge d’un explosif inconnu, compact, relié à un détonateur à mercure semblait-il … une technologie locale sans le moindre doute.
Monsieur Skribllz, peut être était-ce monsieur Skrubllz, répondit : Le chargement de la bulle est terminé. Nous la guidons en automatique vers les coordonnées approximatives de votre hostellerie. Nous la poserons devant celle-ci. Terminé.
Elle redressa la tête, fit passer ses optiques par divers cycles. Elle était au rez-de-chaussée au dessus elle il y avait quatre étages, des planchers de bois massifs capable de supporter plusieurs tonnes de marchandises, des caisses, des ballots de grain, des rouleaux de tissus ; un fatras impressionnant.
Elle acquit la certitude qu’il n’y avait personne au premier étage et pensa qu’il n’y avait personne au second …
[Khaadaric]
… se posa sur le toit …et manqua de se vautrer. Les tuiles de bois étaient extrêmement glissantes, couvertes de mousse par endroit. Il observa : pas de passage, de vasistas providentiel sur cette pente de la toiture. Avec prudence, zigzagant entre les cheminées, il se hissa au sommet et jeta un coup d’œil de l’autre coté et se figea.
Oui, il y avait bien un vasistas, mais celui-ci était ouvert. La mousse qui poussait sur du toit autour de celui-ci avait été arrachée par un passage plus que récent.
Il vit deux mains se positionner de part et d’autre de l’ouverture et avec un infime grognement un homme, vêtu de noir, portant en bandoulière un long fusil laser de précision, se hisser, s’asseoir sur le bord et se redresser à moitié, précautionneusement. C’était un des trois hommes qu’il avait vu sur la retransmission d’Aragorn : la dernière fois il était habillé en marin.
L’homme, regardait de droite et de gauche semblant chercher quelque-chose, pendant qu’il récupérait son fusil …
[Gurvan – Khrys – Djal – Monsieur Baser]
Djal fit abstraction des pas qui s’approchaient : Gurvan nécessitait toute son attention, Grace à l’injection de Khrys son cœur s’était calmé et il put inciser avec un peu plus de calme, essayant de ne pas trembler. Dieux de l’infi, qu’il était loin les cours de médecine universelle qu’il avait suivi chez les technos. Il se maudit pour avoir pensé à l’époque qu’il n’en aurait jamais besoin. Il stérilisa le narguilé et entreprit de commencer à opérer.
Surgissant de l’escalier une escouade de quatre membres des services de prévôté municipale fit irruption. Ils portaient pour deux d’entre eux à la main un sabre et les deux suivants des armes de poing, d’antiques pétoires NT3 à projectile, semi-automatiques. L’homme de tête, un officier, mal rasé, légèrement essoufflé, pointant son sabre vers le bas demanda d’une voix forte : On nous a signalé un incident ! Je suis là pour vous aider. Nous allons vous évacuer et vous trouver un médecin. Il regarda monsieur Baser qui avait son fusil à la hanche : baissez votre arme monsieur ! S’adressant à Khrys qui avait tourné la tête vers lui : Où sont les deux autres ?