2011-01-22, 08:35 PM
Monsieur Baser n’hésita qu’une fraction de seconde. Il attrapa le jeune Meldior par le bras, et le jeta quasiment dans les bras de Djal : Mettez vous à l’abri, c’est un ordre.
Il n’eut pas le temps d’en dire plus : un des moinillons se précipita sur lui. Avec l’élégance d’un danseur classique, il esquiva la hampe, saisit celle-ci et de sa main libre assena un coup de poing à la gorge de son assaillant. Un mouvement d’une précision chirurgical. L’homme lâcha son drapeau en gargouillant, se tenant la gorge.
Aragorn s’envola juste avant que son premier adversaire arrive sur Gurvan : il faisait face à deux hommes. L’homme essaya de l’embrocher sur la pointe de son drapeau, l’autre gêné, tenta de le contourner en sautant sur un étal … et trébucha, basculant derrière la planche sur tréteaux. Il disparu de leur vue avec un juron, derrière les coussins qui constituait les marchandises.
Son assaillant déconcentré par ce qui arrivait à son camarade manqua son coup, il accrocha au passage la veste de Gurvan, mais manqua sa poitrine.
Du coin de l’œil Gurvan cherchait de l’aide : à l’autre bout du marché des hommes en uniforme de la prévôté se rassemblaient, un officier pointant le doigt dans leur direction, mais il aurait le temps de se faire embroché avant qu’ils ne soient là.
Sémirande quant à elle, tournait le dos à ses adversaires. Bizarrement ça avait l’air de décontenancer ses agresseurs. Ceux-ci s’étaient précipités, mais voyant que la femme ne se retournait pas, ne s’enfuyait pas, ils s’approchaient avec un peu de circonspection … le plus courageux des deux, le plus classe aussi, en ricanant, piqua avec son drapeaux les fesses de la pilote. Hé, femelle ?! Tu vas morfler ! Retourne toi.
Djal avait récupéré le gamin, qui entreprit de s’enfuir, le laissant sur place s’il ne le suivait pas.
Khaadaric jeta à la tête de ses ennemis le sac au moment où ils arrivaient. Bonne pioche : l’air s’emplit d’une poussière verte qui s’avéra être de la poudre d’asperis pimentée. Une petite cuillère dans un plat suffisait à emporter la bouche … Tout le monde se mit à tousser, cracher, pleurer. Khaadaric, un peu tard, se dit qu’il aurait du brancher sa combinaison énergétique : il était en plein nuage.
Il n’eut pas le temps d’en dire plus : un des moinillons se précipita sur lui. Avec l’élégance d’un danseur classique, il esquiva la hampe, saisit celle-ci et de sa main libre assena un coup de poing à la gorge de son assaillant. Un mouvement d’une précision chirurgical. L’homme lâcha son drapeau en gargouillant, se tenant la gorge.
Aragorn s’envola juste avant que son premier adversaire arrive sur Gurvan : il faisait face à deux hommes. L’homme essaya de l’embrocher sur la pointe de son drapeau, l’autre gêné, tenta de le contourner en sautant sur un étal … et trébucha, basculant derrière la planche sur tréteaux. Il disparu de leur vue avec un juron, derrière les coussins qui constituait les marchandises.
Son assaillant déconcentré par ce qui arrivait à son camarade manqua son coup, il accrocha au passage la veste de Gurvan, mais manqua sa poitrine.
Du coin de l’œil Gurvan cherchait de l’aide : à l’autre bout du marché des hommes en uniforme de la prévôté se rassemblaient, un officier pointant le doigt dans leur direction, mais il aurait le temps de se faire embroché avant qu’ils ne soient là.
Sémirande quant à elle, tournait le dos à ses adversaires. Bizarrement ça avait l’air de décontenancer ses agresseurs. Ceux-ci s’étaient précipités, mais voyant que la femme ne se retournait pas, ne s’enfuyait pas, ils s’approchaient avec un peu de circonspection … le plus courageux des deux, le plus classe aussi, en ricanant, piqua avec son drapeaux les fesses de la pilote. Hé, femelle ?! Tu vas morfler ! Retourne toi.
Djal avait récupéré le gamin, qui entreprit de s’enfuir, le laissant sur place s’il ne le suivait pas.
Khaadaric jeta à la tête de ses ennemis le sac au moment où ils arrivaient. Bonne pioche : l’air s’emplit d’une poussière verte qui s’avéra être de la poudre d’asperis pimentée. Une petite cuillère dans un plat suffisait à emporter la bouche … Tout le monde se mit à tousser, cracher, pleurer. Khaadaric, un peu tard, se dit qu’il aurait du brancher sa combinaison énergétique : il était en plein nuage.