2011-01-03, 10:24 PM
Djal fut conduit, escorté, guidé par un Khaadaric qui prenait son rôle très au sérieux en direction de la soucoupe passagers.
Celle-ci était bien plus vaste que celle dédiée à l’équipage. Ils descendirent par le tube de descente antigrav avant de traverser un espace technique, réservé aux moteurs, aux réserves. Des cheminements holographiques indiquaient l’emplacement des capsules d’évacuation de l’équipage, le chemin des réserves de pièces détachés, de la salle des machines. Ils empruntèrent une ultime porte et débouchèrent … à l’air libre ?
Non : ils étaient bien dans les limites de la coque, mais la projection holographique à la quelle se mêlait adroitement des éléments de décor réels était de très bonne qualité. C’était la reproduction d’une planète froide, à la végétation subarctique.
Dans une petite clairière, assis sur une pierre recouvert d’une peau, vêtu chaudement d’un manteau de laine finement tissé au col de fourrure, se tenait monsieur Baser. Il lisait. Ses yeux couleur glacier sautaient d’information en information sur la petite tablette sécurisée. A leur approche il l’éteignit, la posa à coté de lui. Il salua Khaadaric d’un signe de tête formel et tendit sa main ganté en direction d’un autre rocher qu’il avait préalablement recouvert d’un carré de fourrure. Asseyez-vous monsieur Gorda.
Vous fumez ? Proposa-t-il en ouvrant son étui à cigarette. Il alluma une cigarette et s’assis.
Monsieur Khaadaric ? Je ne pense pas que notre invité ait l’intention de m’assassiner, mais si vous le désirez vous pouvez rester à proximité … Il inclina la tête sur le coté, regardant dans les yeux le jeune techno … en avez-vous l’intention de me nuire monsieur Gorda ? Seriez-vous un infâme assassin placé subtilement sur notre chemin avec toute l’apparence du hasard afin de pouvoir m’atteindre ?
… plaisantait-il ? Difficile à dire, en tout cas son regard le fixait sans ciller, attendant une réponse ou une réaction.
Celle-ci était bien plus vaste que celle dédiée à l’équipage. Ils descendirent par le tube de descente antigrav avant de traverser un espace technique, réservé aux moteurs, aux réserves. Des cheminements holographiques indiquaient l’emplacement des capsules d’évacuation de l’équipage, le chemin des réserves de pièces détachés, de la salle des machines. Ils empruntèrent une ultime porte et débouchèrent … à l’air libre ?
Non : ils étaient bien dans les limites de la coque, mais la projection holographique à la quelle se mêlait adroitement des éléments de décor réels était de très bonne qualité. C’était la reproduction d’une planète froide, à la végétation subarctique.
Dans une petite clairière, assis sur une pierre recouvert d’une peau, vêtu chaudement d’un manteau de laine finement tissé au col de fourrure, se tenait monsieur Baser. Il lisait. Ses yeux couleur glacier sautaient d’information en information sur la petite tablette sécurisée. A leur approche il l’éteignit, la posa à coté de lui. Il salua Khaadaric d’un signe de tête formel et tendit sa main ganté en direction d’un autre rocher qu’il avait préalablement recouvert d’un carré de fourrure. Asseyez-vous monsieur Gorda.
Vous fumez ? Proposa-t-il en ouvrant son étui à cigarette. Il alluma une cigarette et s’assis.
Monsieur Khaadaric ? Je ne pense pas que notre invité ait l’intention de m’assassiner, mais si vous le désirez vous pouvez rester à proximité … Il inclina la tête sur le coté, regardant dans les yeux le jeune techno … en avez-vous l’intention de me nuire monsieur Gorda ? Seriez-vous un infâme assassin placé subtilement sur notre chemin avec toute l’apparence du hasard afin de pouvoir m’atteindre ?
… plaisantait-il ? Difficile à dire, en tout cas son regard le fixait sans ciller, attendant une réponse ou une réaction.