2010-12-18, 08:11 PM
Les trois villes états sont distantes de quelques centaines de kilomètres chacune, dans le secteur équatorial de la planète. Chacune des ces cités a une identité, des coutumes, des habitudes qui leur sont propres.
Il ressortait néanmoins que globalement la vie y était rude, fortement marqué par des systèmes de caste et classe sociales.
Arnberg. La plus au nord est niché au sein d’une chaine de montagne froide. Elle regroupe la plus grande population, environ 8 millions d’habitants dans une centaine de cités fortifiées au sein de vallées ou accrochées à flanc de falaise. Son régime politique est féodale, avec à sa tête un roi Palkira IV qui gouverne en s’appuyant sur le conseil des ducs, chacun à la tête d’une cité féale. Son développement vient de la proximité relative du site de crash du chimp’s, qui fit pendant des années sa richesse. C’est sans doute la cité qui dispose du plus grand nombre de soldats.
Liota. C’est le grenier d’Estébois. Ses cités sont organisés autour de cultures en terrasse et tirent leur richesse des échanges céréaliers et alimentaires avec les autres cités états C’est toujours une théocratie, qui s’est maintenue ici contrairement aux autres cités ou elle a été renversée. L’archiprêtre est élu à vie par les membres de l’église des hommes. Pendant longtemps Liota a pratiqué l’esclave, mais sous l’influence de la République du Cygne a abolie celle-ci pour une forme de servitude contractuelle à durée limité.
Paraji. La plus au sud, à proximité d’une mer intérieure poissonneuse, elle est aussi la seule à bénéficier d’une certaine forme de démocratie. En effet les hommes de plus de trente ans, possédant une maison ou un bateau votent au sein de chaque cité pour des magistrats qui désignent à leur tour, pour une durée de dix ans un dictateur. L’esclavage ou toute forme de servage y est interdit, ce qui en fit pendant longtemps un lieu de fuite pour les esclaves de Liota.
Avant l’arrivée de la République du Cygne ces trois cités se livraient à des guerres, des coups de main réguliers. Si depuis plusieurs dizaines années il n’y a pas eut de conflit majeur les tensions existes, subsistent. Les cités états se regardent en chien de Faïence, veillant à maintenir le statu quo, à ce qu’aucune des cités ne reçoivent de l’extérieur un avantage quelconque.
Il ressortait néanmoins que globalement la vie y était rude, fortement marqué par des systèmes de caste et classe sociales.
Arnberg. La plus au nord est niché au sein d’une chaine de montagne froide. Elle regroupe la plus grande population, environ 8 millions d’habitants dans une centaine de cités fortifiées au sein de vallées ou accrochées à flanc de falaise. Son régime politique est féodale, avec à sa tête un roi Palkira IV qui gouverne en s’appuyant sur le conseil des ducs, chacun à la tête d’une cité féale. Son développement vient de la proximité relative du site de crash du chimp’s, qui fit pendant des années sa richesse. C’est sans doute la cité qui dispose du plus grand nombre de soldats.
Liota. C’est le grenier d’Estébois. Ses cités sont organisés autour de cultures en terrasse et tirent leur richesse des échanges céréaliers et alimentaires avec les autres cités états C’est toujours une théocratie, qui s’est maintenue ici contrairement aux autres cités ou elle a été renversée. L’archiprêtre est élu à vie par les membres de l’église des hommes. Pendant longtemps Liota a pratiqué l’esclave, mais sous l’influence de la République du Cygne a abolie celle-ci pour une forme de servitude contractuelle à durée limité.
Paraji. La plus au sud, à proximité d’une mer intérieure poissonneuse, elle est aussi la seule à bénéficier d’une certaine forme de démocratie. En effet les hommes de plus de trente ans, possédant une maison ou un bateau votent au sein de chaque cité pour des magistrats qui désignent à leur tour, pour une durée de dix ans un dictateur. L’esclavage ou toute forme de servage y est interdit, ce qui en fit pendant longtemps un lieu de fuite pour les esclaves de Liota.
Avant l’arrivée de la République du Cygne ces trois cités se livraient à des guerres, des coups de main réguliers. Si depuis plusieurs dizaines années il n’y a pas eut de conflit majeur les tensions existes, subsistent. Les cités états se regardent en chien de Faïence, veillant à maintenir le statu quo, à ce qu’aucune des cités ne reçoivent de l’extérieur un avantage quelconque.