2008-08-24, 10:02 PM
[La suite]
Ils devisèrent agréablement une bonne heure tous les quatre. Cyclamen avait oublié son coup de spleen, Fénilara leur parla de Prima, qu'ils ne verraient certainement jamais, Makzinéro montra son génie dans l'art de tenir des propos plaisants sans toutefois livrer quoique ce soit d'elle, de son travail ou de sa patronne. Le Guérisseur fit de la Magie, et tout le monde rit de bon coeur, dans une plaine froide, sous la lumière d'une jovienne et des étoiles, à deux cent mètres de leur Cobra, au repos. Cela dit, Makzinéro et Monsieur Fénilara avaient leurs armes sur eux.
Ils allèrent se reposer quelques courtes heures, puis se levèrent pour voir le soleil se lever. Ils décollèrent aux antigravs et mirent le cap sur le campement qu'ils atteignirent au bout de deux heures trente de vol.
Une dizaine de très grosses caravanes sur chenilles étaient arrêtées en cercle. C'étaient des engins monumentaux, composés d'une plate-forme et de chenilles en métal sur lesquels étaient construits des palais d'opérette en bois, tout de pastels et de clochetons. Ils étaient armés de gros lasers antiques, mais les silhouettes qui s'affairaient dans le camp ne semblaient pas plus stressées que cela. Ils durent attendre qu'une grosse barge pataude surchargée de billes de bois (construction ? chauffage ?) ne se pose sur un emplacement qui rappelait celui de Caltradazome, et ne rampe ensuite vers une caravane sur des roues ... impressionnantes. Ils allèrent donc se poser à leur tour, après quinze minutes d'attente. Cela dit, c'était bien pour faire plaisir aux Akims qu'ils ne n'étaient pas posé à ailleurs : il y avait des milliers d'hectares disponibles !
Ils étaient attendus par un curieux bus découvet, mi antigrav mi engin roulant. Cinq types très costauds, torse nus et tatoués comme des guerriers NT1 les accueillirent, la mine sombre.
(a suivre)
Ils devisèrent agréablement une bonne heure tous les quatre. Cyclamen avait oublié son coup de spleen, Fénilara leur parla de Prima, qu'ils ne verraient certainement jamais, Makzinéro montra son génie dans l'art de tenir des propos plaisants sans toutefois livrer quoique ce soit d'elle, de son travail ou de sa patronne. Le Guérisseur fit de la Magie, et tout le monde rit de bon coeur, dans une plaine froide, sous la lumière d'une jovienne et des étoiles, à deux cent mètres de leur Cobra, au repos. Cela dit, Makzinéro et Monsieur Fénilara avaient leurs armes sur eux.
Ils allèrent se reposer quelques courtes heures, puis se levèrent pour voir le soleil se lever. Ils décollèrent aux antigravs et mirent le cap sur le campement qu'ils atteignirent au bout de deux heures trente de vol.
Une dizaine de très grosses caravanes sur chenilles étaient arrêtées en cercle. C'étaient des engins monumentaux, composés d'une plate-forme et de chenilles en métal sur lesquels étaient construits des palais d'opérette en bois, tout de pastels et de clochetons. Ils étaient armés de gros lasers antiques, mais les silhouettes qui s'affairaient dans le camp ne semblaient pas plus stressées que cela. Ils durent attendre qu'une grosse barge pataude surchargée de billes de bois (construction ? chauffage ?) ne se pose sur un emplacement qui rappelait celui de Caltradazome, et ne rampe ensuite vers une caravane sur des roues ... impressionnantes. Ils allèrent donc se poser à leur tour, après quinze minutes d'attente. Cela dit, c'était bien pour faire plaisir aux Akims qu'ils ne n'étaient pas posé à ailleurs : il y avait des milliers d'hectares disponibles !
Ils étaient attendus par un curieux bus découvet, mi antigrav mi engin roulant. Cinq types très costauds, torse nus et tatoués comme des guerriers NT1 les accueillirent, la mine sombre.
(a suivre)