2010-10-06, 07:41 PM
Les Gardes Cygne étaient le "petit nom" que l'on donnait aux gardes républicains, un corps d'élite de la République du Cygne qui n'était pas sans rappeler celui des Scorpionautes. La jeune femme en question était visiblement un sous officier, un adjudant, en tenue de sortie, d'une blancheur immaculée, gansée de noir dont le motif brodé de blanc brillant rappelait le dessin de plumes. Ses insignes de col, orangés, indiquait qu'elle était une spécialise : détection et communication.
Sémirande avait eu le temps de discuter un peu avec elle avant l'arrivée de ses compagnons. Bartke Kirsten était détachée pour un an auprès de l'université : elle continuait ses études, profitant d'une bourse qu'on lui accordait en échange d'un ré-engagement de quatre ans. Et ce soir elle avait un rendez-vous, pour sortir en ville avec "cette petite allumeuse de Cilia" qui visiblement lui avait posé un lapin. Elle n'était pas originaire de Redwone, elle venait d'une colonie minière orbitale aux frontières de la République. Elle était intelligente, mais manquait d'instruction pour embrasser la carrière d'officier qu'elle appelait de ses vœux. Le programme d'étude de l'armée lui avait permis d'être détaché de son unité pour suivre un cycle d'étude accéléré.
Visiblement la proposition de Sémirande tombait à pic et ... Sémirande pariait qu'elle avait déjà consommé une substance désinhibante avant qu'elle l'aborde dans le hall de l'université. Elle avait accepté la cigarette de Sémirande, interceptée un verre rempli d'un liquide rose dont les bulles bleu formaient une légère brume verte à la surface et avait fini par poser un main délicate sur la hanche de Sémirande. Main qu'elle retira quand ses compagnons arrivèrent.
Monsieur Baser lui baisa la main, comme à son habitude, et glissa quelques instants plus tard, discrètement alors que mademoiselle Kirsten écoutait les roucoulades de Khrys : Très belle et élégante. Je vous félicite. Je parle ... de votre toilette bien entendu. Je crains que nous ne puissions hélas pas rester au delà de cette soirée ... Deux heures tout au plus. Il regarda la jeune fille et soupira. Disons trois.
Mais qui voila ? Il désigna le docteur Leblun qui en kimono noir et argent qui lui donnait un air de croque mort bling bling, fendait la foule dans leur direction.
Cerlui-ci salua tout le monde et serra longuement la main de monsieur Baser, lui attrapant le bras pour le guider en direction des vitrines maintenant remplies : il brulait de montrer à quel point les fonds qu'on lui avait confié avaient été correctement utilisés.
Monsieur Baser finit par réussir à récupérer l'usage de sa main. En riant il interrompit les débordements d'enthousiasme du docte professeur : Monsieur Leblun, je suis certain que vous avez fait un excellent travail : c'est très ... instructif. Madame Chalmak a une invitée, pourriez vous leur faire faire la visite privée de l'exposition ? J'apprécierai. Quant à moi : je vais trainer un peu de ci, faire honneur à votre hospitalité. Ne vous inquiétez pas pour moi. Il se retourna en direction de Gurvan et de Khrys. Profitez-vous aussi de votre soirée : nous repartons ensuite pour Tortuga.
Il cueillit un verre qui passait sur un plateau et s'éloigna en direction d'une femme blonde, vêtue d'une ahurissante robe longue semi-transparente dont les ongles luminescents dessinaient dans la pré ombre des éclairs de lumière. Un petit cercle d'homme l'entourait attentifs, buvant ses paroles ...
Pendant ce temps, seul dans son cercueil de verre, tel une héroïne ayant mangé une pomme à la date de péremption dépassée, Khaadaric attendait que l'autodoc termine son boulot ... Une petite heure et il serait impéc, même sans bisou d'un prince charmant. En tordant le cou il pouvait voir un peu ce qui se passait dehors ... pas grand chose : le parking de l'université était vaste et il y avait pas mal de passage.
Autre chose messieurs dames ?
Sémirande avait eu le temps de discuter un peu avec elle avant l'arrivée de ses compagnons. Bartke Kirsten était détachée pour un an auprès de l'université : elle continuait ses études, profitant d'une bourse qu'on lui accordait en échange d'un ré-engagement de quatre ans. Et ce soir elle avait un rendez-vous, pour sortir en ville avec "cette petite allumeuse de Cilia" qui visiblement lui avait posé un lapin. Elle n'était pas originaire de Redwone, elle venait d'une colonie minière orbitale aux frontières de la République. Elle était intelligente, mais manquait d'instruction pour embrasser la carrière d'officier qu'elle appelait de ses vœux. Le programme d'étude de l'armée lui avait permis d'être détaché de son unité pour suivre un cycle d'étude accéléré.
Visiblement la proposition de Sémirande tombait à pic et ... Sémirande pariait qu'elle avait déjà consommé une substance désinhibante avant qu'elle l'aborde dans le hall de l'université. Elle avait accepté la cigarette de Sémirande, interceptée un verre rempli d'un liquide rose dont les bulles bleu formaient une légère brume verte à la surface et avait fini par poser un main délicate sur la hanche de Sémirande. Main qu'elle retira quand ses compagnons arrivèrent.
Monsieur Baser lui baisa la main, comme à son habitude, et glissa quelques instants plus tard, discrètement alors que mademoiselle Kirsten écoutait les roucoulades de Khrys : Très belle et élégante. Je vous félicite. Je parle ... de votre toilette bien entendu. Je crains que nous ne puissions hélas pas rester au delà de cette soirée ... Deux heures tout au plus. Il regarda la jeune fille et soupira. Disons trois.
Mais qui voila ? Il désigna le docteur Leblun qui en kimono noir et argent qui lui donnait un air de croque mort bling bling, fendait la foule dans leur direction.
Cerlui-ci salua tout le monde et serra longuement la main de monsieur Baser, lui attrapant le bras pour le guider en direction des vitrines maintenant remplies : il brulait de montrer à quel point les fonds qu'on lui avait confié avaient été correctement utilisés.
Monsieur Baser finit par réussir à récupérer l'usage de sa main. En riant il interrompit les débordements d'enthousiasme du docte professeur : Monsieur Leblun, je suis certain que vous avez fait un excellent travail : c'est très ... instructif. Madame Chalmak a une invitée, pourriez vous leur faire faire la visite privée de l'exposition ? J'apprécierai. Quant à moi : je vais trainer un peu de ci, faire honneur à votre hospitalité. Ne vous inquiétez pas pour moi. Il se retourna en direction de Gurvan et de Khrys. Profitez-vous aussi de votre soirée : nous repartons ensuite pour Tortuga.
Il cueillit un verre qui passait sur un plateau et s'éloigna en direction d'une femme blonde, vêtue d'une ahurissante robe longue semi-transparente dont les ongles luminescents dessinaient dans la pré ombre des éclairs de lumière. Un petit cercle d'homme l'entourait attentifs, buvant ses paroles ...
Pendant ce temps, seul dans son cercueil de verre, tel une héroïne ayant mangé une pomme à la date de péremption dépassée, Khaadaric attendait que l'autodoc termine son boulot ... Une petite heure et il serait impéc, même sans bisou d'un prince charmant. En tordant le cou il pouvait voir un peu ce qui se passait dehors ... pas grand chose : le parking de l'université était vaste et il y avait pas mal de passage.
Autre chose messieurs dames ?