2010-10-05, 07:42 PM
[Sémirande]
... La République du Cygne n'entretenait aucun préjugé quant à l'homosexualité ou la bisexualité. Et là ce fut un coup de chance. La jeune femme se retourna vers elle. Elle même avait de grand yeux verts dans lesquelles on pouvait se noyer, de petites lèvres rouges et, au vu de son cou dénudé, devait être intégralement tatouée. Des fleurs naturelles avaient été sacrifiées à sa beauté, s'accrochant à ses cheveux courts. Elle cligna des yeux doucement, spéculant, hésitant ... Mais le trouble était visible sur son visage de lutin.
Pourquoi pas ? Elle lui tendit le bras pour l'escorter.
Au sous sol la grande galerie les accueillit. Quel changement : plus d'étudiant excité, plus de trappe ouverte, plus de professeur catastrophé ... Les objets qu'elle avait vu dans la réserve étaient en place dans les vitrines, certains flottaient sur un champs antigrav, d'autres avaient été disposés dans leur condition de découvertes, l'arborium était en place et des holo-projections recréaient l'horizon. Il n'y avait pour l'instant que peu d'invités. Un étudiant, jeune, visiblement mal à l'aise dans un kimono de cérémonie au col haut lui remit une plaquette explicative. Un plateau antigrav passa, couvert de petits canapés en forme de roses multicolores. Deux étudiantes s'occupaient d'un petit bar aménagé dans un coin de la galerie ...
Sémirande Wrote:Madame Chalmak se tourna vers une fort gironde Garde-Cygne ... et lui tint à peu près ce langage : "Je suis la pilote principale de l'honorable Jilm Baser. Il est un peu retardé. Je ne vais pas l'attendre ici comme une vulgaire volupe ; monter seule est de très mauvais goût : pouvez-vous m'escorter jusqu'à la fête ?" En lui mettant sous le nez des mirettes vert frais au regard étrange et attirant.
... La République du Cygne n'entretenait aucun préjugé quant à l'homosexualité ou la bisexualité. Et là ce fut un coup de chance. La jeune femme se retourna vers elle. Elle même avait de grand yeux verts dans lesquelles on pouvait se noyer, de petites lèvres rouges et, au vu de son cou dénudé, devait être intégralement tatouée. Des fleurs naturelles avaient été sacrifiées à sa beauté, s'accrochant à ses cheveux courts. Elle cligna des yeux doucement, spéculant, hésitant ... Mais le trouble était visible sur son visage de lutin.
Pourquoi pas ? Elle lui tendit le bras pour l'escorter.
Au sous sol la grande galerie les accueillit. Quel changement : plus d'étudiant excité, plus de trappe ouverte, plus de professeur catastrophé ... Les objets qu'elle avait vu dans la réserve étaient en place dans les vitrines, certains flottaient sur un champs antigrav, d'autres avaient été disposés dans leur condition de découvertes, l'arborium était en place et des holo-projections recréaient l'horizon. Il n'y avait pour l'instant que peu d'invités. Un étudiant, jeune, visiblement mal à l'aise dans un kimono de cérémonie au col haut lui remit une plaquette explicative. Un plateau antigrav passa, couvert de petits canapés en forme de roses multicolores. Deux étudiantes s'occupaient d'un petit bar aménagé dans un coin de la galerie ...