2010-09-22, 10:22 PM
S'il n'y avait plus de question le docteur Leblun referma les caissons et commanda leur rangement. Il sortit une petite liste sur film plastique des objets qui seraient présentés et la donna comme promis à monsieur Baser qui l'étudia avec soin avant de la ranger dans sa veste.
Il les raccompagna ensuite dans le l'espace d'exposition. Là il leur montra les emplacements réservés aux artefacts, leur exposa l'holoprojection de la scénographie qu'ils souhaitaient mettre en place.
Monsieur Baser finit par l'interrompre : tout cela sera très bien, j'ai hâte de voir cela de mes yeux et je sais que votre temps est précieux professeur, surtout en ce moment. Néanmoins j'aimerai vous faire une proposition.
Il lui sourit et ajouta : ne croyez nullement que je tente de faire pression sur vous, mais l'opportunité d'une exposition de ces artefacts sur tortuga est tout à fait enthousiasmante. Songez : un des espaces les plus sélects d'Olympus, des investisseurs passionnés, des contacts et des moyens pour vos recherches. Voila ce que je vous propose. Je suis même prêt à payer de ma poche cette exposition.
Mais ... le docteur fronça les sourcils ... j'imagine que ce sera possible de déplacer cette exposition une fois qu'elle sera terminée. A condition bien entendu que nos gouvernements donnent leur autorisation et que le "conseil", c'est bien comme ça que ça s'appelle sur Tortuga ? Garantisse qu'ils ne retiendrons pas ces objets sous un pretexte falacieux ...
Bien, bien. Nous avons donc un accord de principe docteur. Cependant j'ai des partenaires qui voudrons voir de visu quelques objets afin de se décider.
Je peux vous donner certaines de nos notes de recherches et des holos de haute définition ...
Monsieur Baser le coupa : ça ne sera pas suffisant je le crains. Si vous pouviez nous confier quelques objets, de ceux que vous n'exposez pas, je signerai les papiers nécessaires et je vous laisserai un dépôt de garantie plus que suffisant afin de vous rassurer. Vous pouvez même m'adjoindre un convoyeur si vous le souhaitez : un membre de l'université ? Un étudiant ?
Le docteur Leblun écoutait tout cela en s'assombrissant au fur et à mesure. Il finit par répondre : Ce n'est pas possible monsieur. Nous n'avons pas terminé d'examiner ces objets : il est trop tôt pour cela. Je ne saurai vous remercier, mais nous devrons envisager cette exposition ou le déplacement des artefact que dans un second temps. De plus je suis persuadé que mon gouvernement ne donnerait pas son aval.
Monsieur Baser haussa les épaules : je comprends. Ne craignez rien, cela ne remet pas en cause votre financement. Je reste persuader que vous pourriez lever beaucoup plus d'argent sur Tortuga, mais ... Il leva une main, paume vers le haut ... Je comprends votre point de vue.
Il ne me reste plus qu'à vous remercier et à nous dire à tout à l'heure.
Pendant que le docteur Leblun notait avec soin le nom de chacun afin de les faire ajouter à la liste des invité monsieur Baser prit dans sa poche son étui à cigarette commença à l'ouvrir et s'avisa des logos interdisant ce genre de vice placardés aux murs. En soupirant il remit l'étui dans sa poche, en sortit ses gants qu'il enfila.
Monsieur Leblun avait terminé. Il serra la main de chacun avant de les abandonner au turbo-lift : un des arbustes venait de tomber manquant de peu deux étudiants ...
Le tubolift les ramena à la surface.
Il les raccompagna ensuite dans le l'espace d'exposition. Là il leur montra les emplacements réservés aux artefacts, leur exposa l'holoprojection de la scénographie qu'ils souhaitaient mettre en place.
Monsieur Baser finit par l'interrompre : tout cela sera très bien, j'ai hâte de voir cela de mes yeux et je sais que votre temps est précieux professeur, surtout en ce moment. Néanmoins j'aimerai vous faire une proposition.
Il lui sourit et ajouta : ne croyez nullement que je tente de faire pression sur vous, mais l'opportunité d'une exposition de ces artefacts sur tortuga est tout à fait enthousiasmante. Songez : un des espaces les plus sélects d'Olympus, des investisseurs passionnés, des contacts et des moyens pour vos recherches. Voila ce que je vous propose. Je suis même prêt à payer de ma poche cette exposition.
Mais ... le docteur fronça les sourcils ... j'imagine que ce sera possible de déplacer cette exposition une fois qu'elle sera terminée. A condition bien entendu que nos gouvernements donnent leur autorisation et que le "conseil", c'est bien comme ça que ça s'appelle sur Tortuga ? Garantisse qu'ils ne retiendrons pas ces objets sous un pretexte falacieux ...
Bien, bien. Nous avons donc un accord de principe docteur. Cependant j'ai des partenaires qui voudrons voir de visu quelques objets afin de se décider.
Je peux vous donner certaines de nos notes de recherches et des holos de haute définition ...
Monsieur Baser le coupa : ça ne sera pas suffisant je le crains. Si vous pouviez nous confier quelques objets, de ceux que vous n'exposez pas, je signerai les papiers nécessaires et je vous laisserai un dépôt de garantie plus que suffisant afin de vous rassurer. Vous pouvez même m'adjoindre un convoyeur si vous le souhaitez : un membre de l'université ? Un étudiant ?
Le docteur Leblun écoutait tout cela en s'assombrissant au fur et à mesure. Il finit par répondre : Ce n'est pas possible monsieur. Nous n'avons pas terminé d'examiner ces objets : il est trop tôt pour cela. Je ne saurai vous remercier, mais nous devrons envisager cette exposition ou le déplacement des artefact que dans un second temps. De plus je suis persuadé que mon gouvernement ne donnerait pas son aval.
Monsieur Baser haussa les épaules : je comprends. Ne craignez rien, cela ne remet pas en cause votre financement. Je reste persuader que vous pourriez lever beaucoup plus d'argent sur Tortuga, mais ... Il leva une main, paume vers le haut ... Je comprends votre point de vue.
Il ne me reste plus qu'à vous remercier et à nous dire à tout à l'heure.
Pendant que le docteur Leblun notait avec soin le nom de chacun afin de les faire ajouter à la liste des invité monsieur Baser prit dans sa poche son étui à cigarette commença à l'ouvrir et s'avisa des logos interdisant ce genre de vice placardés aux murs. En soupirant il remit l'étui dans sa poche, en sortit ses gants qu'il enfila.
Monsieur Leblun avait terminé. Il serra la main de chacun avant de les abandonner au turbo-lift : un des arbustes venait de tomber manquant de peu deux étudiants ...
Le tubolift les ramena à la surface.