2010-09-20, 02:37 PM
Ses yeux brillèrent d'enthousiasme : Il se transforma en divinité païenne de la connaissance à qui on venait de faire le sacrifice d'un innocent ignorant.
Une trouvaille ? Non, une découverte fabuleuse. Les traces d'une civilisation ancienne, antique, qui parcourait les étoiles alors que l'homo sapiens sapiens n'existait pas encore, que nos ancêtres primates qui puaient des pieds, observaient les oiseaux en ne pensant qu'à faire un bon repas ...
Et … il chuchota : je serais en mesure d’apporter la preuve qu’ils se déplaçaient plus vite que la lumière ou tout du moins qu’ils avaient au moins découvert la transmission par hyper-onde.
Notre civilisation dont nous sommes si fier n’a rien à leur envier … Mais … Je ne veux pas vous gâcher la surprise. La conférence de ce soir vous éclairera plus avant.
En attendant peut être pourriez-vous nous montrer les artéfacts que vous avez découvert suggéra monsieur Baser.
Visiblement embêté. C’est que … nous avons ne les avons pas encore mis en place. Il y en a certains qui sont d’une grande fragilité, au vu de leur technologie biologique ce n’est pas étonnant. Oui ? Oui. Je disais donc que nous attendons la fin de l’installation de la salle pour faire la mise en place.
Mais vous pourriez nous faire visiter les réserves ? Cela nous permettrait de nous faire une idée en avant première ? Glissa d’un ton léger monsieur Baser.
C’est que … normalement ce n’est pas possible, mais je pense pouvoir faire une exception pour vous rajouta précipitamment monsieur Leblun en voyant passer l’ombre d’une contrariété sur le visage de son interlocuteur. Maintenant ?
Maintenant serait l’idéal : je dois moi-même me changer afin de faire honneur à votre conférence et au vernissage … La pince de force échappa à ce moment là à l’étudiant, créant un jet d’eau puissant qui s’écrasa sur le mur opposé, créant un bref mouvement de panique avant que quelqu’un n’isole et ne commande la valve d’arrêt.
Le docteur soupira : Excusez moi ; je reviens dans une seconde. Monsieur Leblun les quitta brièvement pour gérer les dégâts.
Une trouvaille ? Non, une découverte fabuleuse. Les traces d'une civilisation ancienne, antique, qui parcourait les étoiles alors que l'homo sapiens sapiens n'existait pas encore, que nos ancêtres primates qui puaient des pieds, observaient les oiseaux en ne pensant qu'à faire un bon repas ...
Et … il chuchota : je serais en mesure d’apporter la preuve qu’ils se déplaçaient plus vite que la lumière ou tout du moins qu’ils avaient au moins découvert la transmission par hyper-onde.
Notre civilisation dont nous sommes si fier n’a rien à leur envier … Mais … Je ne veux pas vous gâcher la surprise. La conférence de ce soir vous éclairera plus avant.
En attendant peut être pourriez-vous nous montrer les artéfacts que vous avez découvert suggéra monsieur Baser.
Visiblement embêté. C’est que … nous avons ne les avons pas encore mis en place. Il y en a certains qui sont d’une grande fragilité, au vu de leur technologie biologique ce n’est pas étonnant. Oui ? Oui. Je disais donc que nous attendons la fin de l’installation de la salle pour faire la mise en place.
Mais vous pourriez nous faire visiter les réserves ? Cela nous permettrait de nous faire une idée en avant première ? Glissa d’un ton léger monsieur Baser.
C’est que … normalement ce n’est pas possible, mais je pense pouvoir faire une exception pour vous rajouta précipitamment monsieur Leblun en voyant passer l’ombre d’une contrariété sur le visage de son interlocuteur. Maintenant ?
Maintenant serait l’idéal : je dois moi-même me changer afin de faire honneur à votre conférence et au vernissage … La pince de force échappa à ce moment là à l’étudiant, créant un jet d’eau puissant qui s’écrasa sur le mur opposé, créant un bref mouvement de panique avant que quelqu’un n’isole et ne commande la valve d’arrêt.
Le docteur soupira : Excusez moi ; je reviens dans une seconde. Monsieur Leblun les quitta brièvement pour gérer les dégâts.