2010-09-17, 07:09 AM
[hasard et chance]
Khaadaric pesta en voyant le gerfaut de Gurvan, ailes repliées, passer au dessus de sa tête, à une centaine de mètres d'altitude ... un peu haut pour sauter. Il se précipita en direction d'une station de taxi bulle, bouscula les touristes sur le point d'embarquer et hurla au navypilote tout en désignant le planeur : suivez ce véhicule.
[Gurvan]
A pleine vitesse Gurvan obliqua en direction d'un des couloirs de navigation principaux, une grande artère aérienne qui traversait le ciel de Rempart sur plusieurs niveaux. Ses caméras arrières lui retransmettaient l'image de la bulle de ses poursuivant qui se rapprochait.
A travers la verrière il devinait monsieur Lapsig, un magnifique bleu en train de grandir sur sa joue, et son acolyte le coureur aux places avant.
Il essaya de se dissimuler dans le flux des véhicules, zigzaguant, essayant d'utiliser une barge chargée de poutrelles métalliques comme masque. Il crut un instant qu'il les avait perdu ... Non : ils venaient de se présenter dans ses six heures.
Ils s'approchèrent : le moteur antigrav du gerfaut était fait pour l'amener en douceur jusqu'à une altitude convenable, mais certainement pas à jouer les chasseurs. La bulle de ses poursuivants le surclassait sur ce terrain.
Puis ... La bulle ralentit brusquement, elle obliqua et entreprit de se diriger vers un des couloirs de sortie le plus proche. La raison de ce renoncement ne se fit pas attendre : une bulle rapide, bleu et blanche, illuminée par le logo holographique de la milice municipale de Rempart remontait la file des véhicules, se dirigeant vers le gerfaut ...
Khaadarci était à deux cents mètres derrière eux quand il vit la scène : la bulle de monsieur Lapsig se dirigeait vers le sol, en direction d'un quartier d'habitation. La police était sur le point de rejoindre le planeur de Gurvan. Que fait-il ?
Pendant ce temps Sémirande, Khrys, Monsieur Baser étaient confortablement assis dans un taxi bulle et se dirigeaient en direction de l'université. Au bout d'un moment monsieur Baser demanda : comment ça se passe ? Vous avez des nouvelles ?
Khaadaric pesta en voyant le gerfaut de Gurvan, ailes repliées, passer au dessus de sa tête, à une centaine de mètres d'altitude ... un peu haut pour sauter. Il se précipita en direction d'une station de taxi bulle, bouscula les touristes sur le point d'embarquer et hurla au navypilote tout en désignant le planeur : suivez ce véhicule.
[Gurvan]
A pleine vitesse Gurvan obliqua en direction d'un des couloirs de navigation principaux, une grande artère aérienne qui traversait le ciel de Rempart sur plusieurs niveaux. Ses caméras arrières lui retransmettaient l'image de la bulle de ses poursuivant qui se rapprochait.
A travers la verrière il devinait monsieur Lapsig, un magnifique bleu en train de grandir sur sa joue, et son acolyte le coureur aux places avant.
Il essaya de se dissimuler dans le flux des véhicules, zigzaguant, essayant d'utiliser une barge chargée de poutrelles métalliques comme masque. Il crut un instant qu'il les avait perdu ... Non : ils venaient de se présenter dans ses six heures.
Ils s'approchèrent : le moteur antigrav du gerfaut était fait pour l'amener en douceur jusqu'à une altitude convenable, mais certainement pas à jouer les chasseurs. La bulle de ses poursuivants le surclassait sur ce terrain.
Puis ... La bulle ralentit brusquement, elle obliqua et entreprit de se diriger vers un des couloirs de sortie le plus proche. La raison de ce renoncement ne se fit pas attendre : une bulle rapide, bleu et blanche, illuminée par le logo holographique de la milice municipale de Rempart remontait la file des véhicules, se dirigeant vers le gerfaut ...
Khaadarci était à deux cents mètres derrière eux quand il vit la scène : la bulle de monsieur Lapsig se dirigeait vers le sol, en direction d'un quartier d'habitation. La police était sur le point de rejoindre le planeur de Gurvan. Que fait-il ?
Pendant ce temps Sémirande, Khrys, Monsieur Baser étaient confortablement assis dans un taxi bulle et se dirigeaient en direction de l'université. Au bout d'un moment monsieur Baser demanda : comment ça se passe ? Vous avez des nouvelles ?