2010-07-26, 09:46 PM
… Ils se rendirent ensuite à la gare centrale de Port aux ombre. Monsieur Limo les avait informés qu’il fallait emprunter un long tunnel qui reliait Port aux ombres à Olympia. Le tunnel était sous vide et la propulsion des rames se faisait par l’intermédiaire du flux de plasma qui alimentait en lumière et en énergie les sphères.
C’était désuet, bizarre, mais somme toute efficace.
Leur bulle se posa sur le vaste toit circulaire de la gare centrale. A peine descendu de leur véhicule celui-ci repartait : toujours en pilotage automatique il se dirigeait vers un des garages de la gare où il attendrait sagement leur retour.
Ils se mêlèrent à la foule des touristes qui empruntait les tubes de descente pour parvenir dans le grand hall … Il y avait là de tout, de riches hommes d’affaire en goguette, des marchands qui serraient contre eux leur précieuse mallette d’échantillons, des vacanciers vêtus avec le mauvais gout que l’on ne pouvait se permettra qu’en étant certain que l’on ne rencontrerait aucune connaissance.
Des rames modulaires partaient toutes les minutes … dotées de système antigrav elle se dirigerait ensuite automatiquement à destination. Le Relais des Cimes se trouvait à Penas.
Une simple demande auprès d’une borne les informa que le prochain module partait dans quarante minutes. Ils devaient encore passer les contrôles de sécurité et pendre leur billet.
Les billets étaient cher : 400 crédits par personnes pour un voyage qui durerait une trentaine de minutes … et ça c’était en seconde classe, en wagon collectif. Un compartiment de 6 places en première valait 8.000 crédits.
// Merci de me dire quels billets vous prenez.
Ils prirent leurs billets et se retrouvèrent bientôt, individuellement, dans un réduit circulaire de sécurité. Des circuits semi-intelligents les scannèrent, de manière insistante. S’ils portaient encore des armes une trappe adaptée s’ouvrit leur demandant d’y mettre celles-ci. Elles leur seraient rendu à leur retour. Ce service était bien entendu payant : 50 crédits. Quant aux armes implantées elles furent neutralisées par un timbre de sécurité qui court-circuitait leur approvisionnement en énergie. On leur conseilla de ne pas tenter de le retirer.
Ils se retrouvèrent à la sortie. Un petit logimec guide, compris dans le prix du billet, les guida avec célérité en direction de leur rame : il ne leur restait que 10 minutes …
C’était désuet, bizarre, mais somme toute efficace.
Leur bulle se posa sur le vaste toit circulaire de la gare centrale. A peine descendu de leur véhicule celui-ci repartait : toujours en pilotage automatique il se dirigeait vers un des garages de la gare où il attendrait sagement leur retour.
Ils se mêlèrent à la foule des touristes qui empruntait les tubes de descente pour parvenir dans le grand hall … Il y avait là de tout, de riches hommes d’affaire en goguette, des marchands qui serraient contre eux leur précieuse mallette d’échantillons, des vacanciers vêtus avec le mauvais gout que l’on ne pouvait se permettra qu’en étant certain que l’on ne rencontrerait aucune connaissance.
Des rames modulaires partaient toutes les minutes … dotées de système antigrav elle se dirigerait ensuite automatiquement à destination. Le Relais des Cimes se trouvait à Penas.
Une simple demande auprès d’une borne les informa que le prochain module partait dans quarante minutes. Ils devaient encore passer les contrôles de sécurité et pendre leur billet.
Les billets étaient cher : 400 crédits par personnes pour un voyage qui durerait une trentaine de minutes … et ça c’était en seconde classe, en wagon collectif. Un compartiment de 6 places en première valait 8.000 crédits.
// Merci de me dire quels billets vous prenez.
Ils prirent leurs billets et se retrouvèrent bientôt, individuellement, dans un réduit circulaire de sécurité. Des circuits semi-intelligents les scannèrent, de manière insistante. S’ils portaient encore des armes une trappe adaptée s’ouvrit leur demandant d’y mettre celles-ci. Elles leur seraient rendu à leur retour. Ce service était bien entendu payant : 50 crédits. Quant aux armes implantées elles furent neutralisées par un timbre de sécurité qui court-circuitait leur approvisionnement en énergie. On leur conseilla de ne pas tenter de le retirer.
Ils se retrouvèrent à la sortie. Un petit logimec guide, compris dans le prix du billet, les guida avec célérité en direction de leur rame : il ne leur restait que 10 minutes …