2010-07-19, 12:25 PM
Le contrat signé, le contrôle de vol prévenu, il fallut moins de 3 minutes pour leur trouver un créneau.
Tout se déroula en automatique sous la direction des ordinateurs du trafic aérien interne de port des Ombres.
Le méphisto décolla doucement, uniquement sur ses antigravs et se dirigea à une petite centaine de km/h vers le chantier.
Celui-ci se trouvait dans une partie ancienne, presque en bordure extérieure de la cavité hémisphérique qu'était port aux ombres ... Plusieurs emplacements étaient disponibles, un d'entre eux, un haut silo vertical les attendait. En passant ils purent entrapercevoir d'autres emplacements de tailles variables occupées : un classe I dans celui-ci dont il ne restait plus que la structure interne, trois chasseurs atmosphérique dans celui-là, chasseurs qui disparaissaient sous une nuée de logimecs affairées. Un des silo qu'ils survolèrent était couvert par un champ de confidentialité grisâtre : quoiqu'il s'y passait l'on avait pas envie que ce soit publique.
Le Méphisto descendit en tournant sur lui même dans le tube de béton à surdensité moléculaire avant de se positionner avec précision à 60 cm du sol. Des patins sortirent de la piste et prirent place sur les points d'ancrage structurels de la coque.
Avec un bourdonnement décroissant les antigrav du Méphisto se coupèrent, la structure reposait maintenant entièrement sur les patins d'ancrage. Ils étaient arrivés. Plusieurs plateformes antigrav se détachèrent des parois et se posèrent en corole autour du navire.
La petite équipe d’ingénieurs entra, ils étaient trois, accompagné de quatre fois plus de logimecs spécialisés. Ils se présentèrent rapidement, firent le point avec les mécaniciens de bord et leur demandèrent de sortir leurs effets personnels, objets de valeur, éléments organiques ou fragile du navire : un local sécurisé, gardé, assuré, attenant au silo fut mis à leur disposition.
On les pria ensuite de quitter le bord. Des rendez-vous intermédiaires avaient été pris avec les mécaniciens du bord et ceux-ci assurèrent rester disponible, d’alerte pourrait-on dire, dans leur chambre d’hôtel.
Avant le vol Sémirande avait contacté Madame Hunt … Son com avait bourdonné un long moment avant que celle-ci accepte de répondre. Elle se trouvait dans la cabine confortable d’un véhicule de transport indéterminé dont les verrières avaient étaient occultées. Elle était assise sur une banquette tandis qu’un homme à ses cotés lisait tranquillement une holo-tablette. Elle-même semblait être en train d’écrire à l’ancienne, avec du papier et un stylet à encre, quand l’appel l’avait rattrapé. Elle était vêtue en civil, d’un pantalon crème, d’un chemisier lilas et une veste de cuir fourrée était pendue à coté d’elle. Son compagnon leva un œil en direction de la caméra avant de retourner à la lecture de son journal. Il était d’une beauté à couper le souffle : brun, ténébreux, une mâchoire volontaire, adoucie par des traits fin et une carrure d’athlète, sans tomber dans le délire de pousseur de fonte.
… Elle échangea quelques mots avec Sémirande, et convint de retrouver celle-ci au relais des cimes dans quelques heures. Un hôtel de Paradisio.
Monsieur Haliks Limo Ab M’latech se tenait à leur disposition pour peaufiner leur(s) visite(s) Que faites-vous ?
Tout se déroula en automatique sous la direction des ordinateurs du trafic aérien interne de port des Ombres.
Le méphisto décolla doucement, uniquement sur ses antigravs et se dirigea à une petite centaine de km/h vers le chantier.
Celui-ci se trouvait dans une partie ancienne, presque en bordure extérieure de la cavité hémisphérique qu'était port aux ombres ... Plusieurs emplacements étaient disponibles, un d'entre eux, un haut silo vertical les attendait. En passant ils purent entrapercevoir d'autres emplacements de tailles variables occupées : un classe I dans celui-ci dont il ne restait plus que la structure interne, trois chasseurs atmosphérique dans celui-là, chasseurs qui disparaissaient sous une nuée de logimecs affairées. Un des silo qu'ils survolèrent était couvert par un champ de confidentialité grisâtre : quoiqu'il s'y passait l'on avait pas envie que ce soit publique.
Le Méphisto descendit en tournant sur lui même dans le tube de béton à surdensité moléculaire avant de se positionner avec précision à 60 cm du sol. Des patins sortirent de la piste et prirent place sur les points d'ancrage structurels de la coque.
Avec un bourdonnement décroissant les antigrav du Méphisto se coupèrent, la structure reposait maintenant entièrement sur les patins d'ancrage. Ils étaient arrivés. Plusieurs plateformes antigrav se détachèrent des parois et se posèrent en corole autour du navire.
La petite équipe d’ingénieurs entra, ils étaient trois, accompagné de quatre fois plus de logimecs spécialisés. Ils se présentèrent rapidement, firent le point avec les mécaniciens de bord et leur demandèrent de sortir leurs effets personnels, objets de valeur, éléments organiques ou fragile du navire : un local sécurisé, gardé, assuré, attenant au silo fut mis à leur disposition.
On les pria ensuite de quitter le bord. Des rendez-vous intermédiaires avaient été pris avec les mécaniciens du bord et ceux-ci assurèrent rester disponible, d’alerte pourrait-on dire, dans leur chambre d’hôtel.
Avant le vol Sémirande avait contacté Madame Hunt … Son com avait bourdonné un long moment avant que celle-ci accepte de répondre. Elle se trouvait dans la cabine confortable d’un véhicule de transport indéterminé dont les verrières avaient étaient occultées. Elle était assise sur une banquette tandis qu’un homme à ses cotés lisait tranquillement une holo-tablette. Elle-même semblait être en train d’écrire à l’ancienne, avec du papier et un stylet à encre, quand l’appel l’avait rattrapé. Elle était vêtue en civil, d’un pantalon crème, d’un chemisier lilas et une veste de cuir fourrée était pendue à coté d’elle. Son compagnon leva un œil en direction de la caméra avant de retourner à la lecture de son journal. Il était d’une beauté à couper le souffle : brun, ténébreux, une mâchoire volontaire, adoucie par des traits fin et une carrure d’athlète, sans tomber dans le délire de pousseur de fonte.
… Elle échangea quelques mots avec Sémirande, et convint de retrouver celle-ci au relais des cimes dans quelques heures. Un hôtel de Paradisio.
Monsieur Haliks Limo Ab M’latech se tenait à leur disposition pour peaufiner leur(s) visite(s) Que faites-vous ?