2010-07-04, 05:07 PM
Bien.
Monsieur Ngü reçu ensuite le commissaire de bord qui vint lui apporter le paiement. Il lui donna un reçu sur une tablette non connecté avant de dissimuler les espèces, bons au porteur ou autre dans le double fond d’une mallette réfrigérée à échantillon. Un de ces aides vint prendre quelques minutes plus tard la dite mallette qui fut chargée à bord de la navette. Cette dernière ferma les sas, se désarrima avant de se diriger vers port des ombres.
Pendant ce temps le Méphisto, toujours en pilotage automatique, se dirigeait vers un des bunkers à la surface de Tortuga. C’était une installation isolée, pouvant être « stérilisée » si besoin à l’aide de charges à plasma. Néanmoins il y avait là un centre de quarantaine médicale équipé et prêt à fonctionner.
Le Méphisto fut mis sur berceau antigrav pendant que sa coque extérieure était aspergée de mousse par de petits logimecs spécialisées.
Les examens continuaient à bord du Méphisto : des équipes médicales, parfois avec l’aide de minuscules logimecs de la taille d’ne grosse noix, passaient tout au crible.
Pendant que les passagers étaient désinfectés, examinés, sondés par imagerie non invasive, leurs effets personnels subissaient le même traitement avant d’être enfermé dans des caissons étanches et scellés par les équipes de quarantaine.
Afin de ne pas attirer les soupçons l’équipage subit le même traitement.
Le cas de Sémirande pris le plus de temps. On vérifia avec soin son schém de fonctionnement, on lança quelques tests fort désagréable, pas tant au sens physique, mais psychologique : elle avait l’impression d’être une marionnette qui pliait les doigts, levait la main, tournait les yeux, sans que sa volonté ou son cerveau ait son mot à dire. Est-ce que les gens contrôlés psychiquement avaient la même impression ? Sans doute. Un cauchemar éveillé.
Toutes les objets mobiles avaient été examinés, stérilisés, enfermés dans des pièces préalablement nettoyés. « L’infirmière » qu’avait vu Gurvan pendant son entretient passait son temps devant son ordinateur à saisir, semble-t-il les résultats, des diverses investigations.
Les heures s’écoulaient lentement.
Deux incidents se produisirent pendant leur enquête : la jeune femme qui avait subi l’accident de combinaison NT6 fut prise de vertige et dut être traité en urgence. Elle se remit un peu quand on lui annonça qu’il ne s’agissait nullement d’un symptôme, mais bel et bien d’un peu de stress.
Le courrier diplomatique posa problème : L’haécar refusa d’ouvrir la mallette en question. Celle-ci était couverte par les traités en vigueur et n’avait à aucun moment été ouverte pendant le voyage. Il était donc impossible que son contenu ait été souillé par une contamination biologique. Il était difficile de lui donner tort. On dut se contenter d’examiner l’extérieur de celle-ci et de la nettoyer.
A la fin l’on fit sortir l’ensemble de l’équipage, des passagers, des marchandises, des effets personnels et des caissons cryogéniques pour permettre à des logimecs spécialisés de stériliser l’ensemble de l’intérieur du navire. On installa le plus confortablement possible au sein du bunker les passagers au sein d’une petite salle d’attente, pendant que tous les membres d’équipage se retrouvaient dans une autre salle, un petit bureau meublé de manière spartiate, avec monsieur Ngü. La stérilisation allait durer une trentaine de minutes.
Celui-ci s’adossa au mur et déclara :
Cette pièce n’est pas sous écoute. Vous êtes tous « clean » d’un point de vue mouchard. Nous pouvons donc parler librement.
Je peux vous faire part dés maintenant des résultats de mon enquête et il y a une bonne et mauvaise nouvelle. Laquelle vous voulez en premier ?
Monsieur Ngü reçu ensuite le commissaire de bord qui vint lui apporter le paiement. Il lui donna un reçu sur une tablette non connecté avant de dissimuler les espèces, bons au porteur ou autre dans le double fond d’une mallette réfrigérée à échantillon. Un de ces aides vint prendre quelques minutes plus tard la dite mallette qui fut chargée à bord de la navette. Cette dernière ferma les sas, se désarrima avant de se diriger vers port des ombres.
Pendant ce temps le Méphisto, toujours en pilotage automatique, se dirigeait vers un des bunkers à la surface de Tortuga. C’était une installation isolée, pouvant être « stérilisée » si besoin à l’aide de charges à plasma. Néanmoins il y avait là un centre de quarantaine médicale équipé et prêt à fonctionner.
Le Méphisto fut mis sur berceau antigrav pendant que sa coque extérieure était aspergée de mousse par de petits logimecs spécialisées.
Les examens continuaient à bord du Méphisto : des équipes médicales, parfois avec l’aide de minuscules logimecs de la taille d’ne grosse noix, passaient tout au crible.
Pendant que les passagers étaient désinfectés, examinés, sondés par imagerie non invasive, leurs effets personnels subissaient le même traitement avant d’être enfermé dans des caissons étanches et scellés par les équipes de quarantaine.
Afin de ne pas attirer les soupçons l’équipage subit le même traitement.
Le cas de Sémirande pris le plus de temps. On vérifia avec soin son schém de fonctionnement, on lança quelques tests fort désagréable, pas tant au sens physique, mais psychologique : elle avait l’impression d’être une marionnette qui pliait les doigts, levait la main, tournait les yeux, sans que sa volonté ou son cerveau ait son mot à dire. Est-ce que les gens contrôlés psychiquement avaient la même impression ? Sans doute. Un cauchemar éveillé.
Toutes les objets mobiles avaient été examinés, stérilisés, enfermés dans des pièces préalablement nettoyés. « L’infirmière » qu’avait vu Gurvan pendant son entretient passait son temps devant son ordinateur à saisir, semble-t-il les résultats, des diverses investigations.
Les heures s’écoulaient lentement.
Deux incidents se produisirent pendant leur enquête : la jeune femme qui avait subi l’accident de combinaison NT6 fut prise de vertige et dut être traité en urgence. Elle se remit un peu quand on lui annonça qu’il ne s’agissait nullement d’un symptôme, mais bel et bien d’un peu de stress.
Le courrier diplomatique posa problème : L’haécar refusa d’ouvrir la mallette en question. Celle-ci était couverte par les traités en vigueur et n’avait à aucun moment été ouverte pendant le voyage. Il était donc impossible que son contenu ait été souillé par une contamination biologique. Il était difficile de lui donner tort. On dut se contenter d’examiner l’extérieur de celle-ci et de la nettoyer.
A la fin l’on fit sortir l’ensemble de l’équipage, des passagers, des marchandises, des effets personnels et des caissons cryogéniques pour permettre à des logimecs spécialisés de stériliser l’ensemble de l’intérieur du navire. On installa le plus confortablement possible au sein du bunker les passagers au sein d’une petite salle d’attente, pendant que tous les membres d’équipage se retrouvaient dans une autre salle, un petit bureau meublé de manière spartiate, avec monsieur Ngü. La stérilisation allait durer une trentaine de minutes.
Celui-ci s’adossa au mur et déclara :
Cette pièce n’est pas sous écoute. Vous êtes tous « clean » d’un point de vue mouchard. Nous pouvons donc parler librement.
Je peux vous faire part dés maintenant des résultats de mon enquête et il y a une bonne et mauvaise nouvelle. Laquelle vous voulez en premier ?