2010-06-09, 03:34 PM
Quote:"Les dieux aient pitié de nos âmes."
[In Petto]
"Et que Sainte Rosalia me protège"
[Garde à vous]
"Madame, je suis honorée, Madame. Il me faut sept minute, Madame." Elle salua, monta finir ce qu'elle avait à faire, passa la consigna à cette femme qui s'appelait Mayse et fila chercher les éléments et objets dont elle avait besoin auprès du Lieutenant Commandeur Hunt. Puis, lui promettant bien d'aller se reposer, elle partit pour se rendre à la première cale, où monsieur Edelman et elle même avaient travaillé. "Vous venez, Monsieur le Commissaire ?" Elle n'avait pas pu résister.
Elle voulait y retourner par le même chemin. Avant de s'engager dans le boyau technique, elle se concentra et son micro-régène envoya dans son système nerveux une de ces drogues qu'elle détestait et n'utilisait que de façon rarissime. La fatigue s'envola, le stress tomba, pour quelques heures, elle aurait les idées claires. Elle s'engagea dans la galerie. Du point qui avait atteint les 400°Celsius émanaient encore 280 bon degrés. Elle s'empressa de s'en éloigner. Elle arriva à la cale. La première chose qu'elle fit fut de regarder si l'araignée était encore dans son cocon. Puis elle finit sa réparation afin, comme elle l'avait dit, qu'il n'y eut pas d'accident. Et maintenant, au Lieutenant Jaradan Lapura.
"Et qu'est-ce que vous fichiez ici, monsieur le Prévôt, dans une zone où l'incendie venait de s'éteindre et dans laquelle vous n'étiez pas sensé vous trouver seul ?" Elle fouilla soigneusement chaque quart de cadavre, puis les affaires du ruffian que monsieur Edelman avait laissé.
Il y avait forcément quelque chose ici (quoiqu'avec le b..... consécutif à la remise de la gravité, ses chances de trouver quelque chose étaient plus minces que mince).