2010-06-04, 08:52 PM
Sémirande et Khrys passèrent un sas secondaire et se glissèrent tel des rats cybernétiques à la recherche d’un fromage de silicium dans le dédale de galeries techniques.
L’essentiel du navire avait été dépressurisé pour éviter une décompression explosive, pour limiter les risques d’incendie : procédure standard.
Ils se guidaient grâce à leur pad. L’on leur avait envoyé les plans des parties techniques de la Durandale.
Ils avaient presque quitté la zone du hangar ou les combats se déroulaient : ils passèrent devant une porte anti-explosion fermée : elle rougeoyait … leur combinaison leur signalèrent que la température était de plus de 400 ° et ce même en se glissant contre la paroi. Ca irait, mais de l’autre coté de la porte ce devait être les feux de l’enfer.
Ils finirent par arriver à une trappe de visite qui débouchait dans le second hangar bâbord.
Au prix d’une courte escalade ils ouvrirent la trappe et débouchèrent dans le vaste abri. Il y régnait une activité soutenue : comme des fourmis affairées autour d’un criquet des techs en tenue orange s’affairaient autour du chasseur.
Son pilote était déjà assis dans son siège et donnait des coups de poings de frustration sur la verrière : une équipe était en train de découper purement et simplement à la lance à plasma la porte du hangar visiblement gauchie.
Les techs avaient fait les trois quart du boulot …
L’essentiel du navire avait été dépressurisé pour éviter une décompression explosive, pour limiter les risques d’incendie : procédure standard.
Ils se guidaient grâce à leur pad. L’on leur avait envoyé les plans des parties techniques de la Durandale.
Ils avaient presque quitté la zone du hangar ou les combats se déroulaient : ils passèrent devant une porte anti-explosion fermée : elle rougeoyait … leur combinaison leur signalèrent que la température était de plus de 400 ° et ce même en se glissant contre la paroi. Ca irait, mais de l’autre coté de la porte ce devait être les feux de l’enfer.
Ils finirent par arriver à une trappe de visite qui débouchait dans le second hangar bâbord.
Au prix d’une courte escalade ils ouvrirent la trappe et débouchèrent dans le vaste abri. Il y régnait une activité soutenue : comme des fourmis affairées autour d’un criquet des techs en tenue orange s’affairaient autour du chasseur.
Son pilote était déjà assis dans son siège et donnait des coups de poings de frustration sur la verrière : une équipe était en train de découper purement et simplement à la lance à plasma la porte du hangar visiblement gauchie.
Les techs avaient fait les trois quart du boulot …