Jones Ball - 19 Laplace 1505 TUP

[Jim Highway]

Jim hocha de la tête pour marquer son accord au point de vue de Dom.

[Zelda Zonk]

Techniquement, et n'y voyez pas du pinaillage... si on a accepté son héritage, on a également accepté le passif de Jones, donc c'est un peu notre responsabilité de tenir compte de toutes les bétises qu'il a faite et de tenter de les réparer

Zelda n'était pas dupe... Mais elle n'était pas venue jusqu'ici pour repartir les mains vides oO(question de suivi). Et puis elle était là pour découvrir les assassins, ou les responsables de la mort, de Jones ! Négocier avec ces types était une façon efficace de récolter des informations...

[Theo Calderon]

Théo Calderon commençait à avoir les fesses et le dos endolori, les jambes ankylosée, et la céphalée due à la saturation de la liaison haut-débit qui le reliait au système infotir du navire ne s'arrangeait pas. Les systèmes automatiques d'acquisition de cibles lui affichaient dans sa vision virtuelle les solutions de tir qu'il avait programmé. L'objectif était de foudroyer l'ensemble des assaillants avec le moins de coups possibles, compte-tenu de la cadence des tourelles, afin de les empêcher de réagir.

"Je suggère de jouer carte sur table et de leur dire que Jones a été assassiné par des agresseurs de type mongoloïdes -- comme les habitants de Pellucidar -- à l'aide d'armes blanches..."

[Spoutkin]

Le groupe dans le temple, avait une vision de la rencontre holographique avec les "ninjas". La tension était bien palpable, mais la détresse qui pouvait se sentir non dans l'attitude, ni dans le ton de leur chef, mais bien dans ses propos, pinça le coeur de Spoutkin.

Dom, Jim et Théo ont raison à mon humble avis. Nous nous devons aux devoirs de notre ami Jimmy, et jouer carte sur table ne pourra que nous aider à en savoir plus sur la façon dont l'ex commandant de bord a disparu.

Le pilote observai Zelda, l'air interrogateur.

[Zelda Zonk]

Le pilote observai Zelda, l'air interrogateur.

En sous vocalisant elle répondit à Jim,Théo et Spoutkin...
Ne vous inquiétez donc pas. Je compte bien honorer les échéances de Jones. J'essai simplement d'en savoir un peu plus long avant de verser une larme !Et puis ils m'ont l'air plutôt sympa avec leur fusils Gauss et leurs yeux tous rouges !

Zelda fixa à nouveau le commandant de la troupe.
Je n'ai pas eu le plaisir de saisir votre nom !Vous êtes ?

[Brise de Feu Matinal]

Pendant les tractations Brise à l'aide de son équipement procédait à la maintenance de sa soucoupe graissant, huilant, nettoyant, lustrant, décapant.. tout en s'assurant de ne point être dérangé ou surpris par un hôte

Il suivait néanmoins le dialogue et gardait en observation les images venant du vaisseau

[MdJ]

Une vague sembla parcourir les hommes et, à ce qu'en devinait l'équipage du Songe à certaines formes des combinaisons, les femmes qui leur faisaient face. Chacune bougea imperceptiblement, posant le doigt sur une queue de détente, s'écartant imperceptiblement ... la tension était palpable.

Un rapide calcul mental, au nombre d'armes présentes multipliées par l'énergie moyenne unitaire laisser à penser que s'ils venaient à tirer tous ensemble les boucliers du Songe d'Arran risquaient de se voir percer ou tout du moins dépassés.

Je suis l'hetman de la tribu des Annebergs. Je parle pour mon peuple lorsque la guerre menace.

Nous avons payé ce que Jimmy nous a demandé, nous avons acheminé à son bord barre de métaux rares et c'est là son vaisseau que nous reconnaissons. Est-il comme tous ceux de l'extérieur un traitre ? Sa parole de miel s'est-elle transformée en fiel ?

Il fait signe à ses troupes de reculer.

Etrangers, nous vous accordons une heure pour obtenir une réponse. Le monde intérieur est une prison dont nous ne sommes pas les geôliers. Mais ici, dans ces lieux, nous sommes chez nous. Et ne croyez pas que vous puissiez nous voler sans payer le prix du sang.

il fit un signe, et lentement ses compagnons reculèrent, puis disparurent les uns après les autres alors qu'ils rallumaient leurs tenues furtives.

Nous reviendrons dans une heure. Pesez votre réponse dans temps impartie et prononcez vous prochaines paroles avec prudence.

Il entreprit de s'éloigner à son tour ... normalement le formec pourrait traverser et revenir au navire avant que l'heure ne soit écoulé.

[hrp]un truc à lui dire avant qu'il ne disparaisse à son tour ? vous attendez une heure ? Ou vous voulez faire un truc au temple ?[/hrp]

[Spoutkin]

- ATTENDEZ !! Cria Spoukin.
- Le capitaine James Jones est mort depuis plusieurs mois maintenant et nous ne sommes pas au courant de ces dernières transactions.

Alors que son appel stoppe net le départ du groupe armé, il poursuit :
- Cependant, nous avons tous à coeur de remplir les devoirs dont il s'était chargé.

- Nous ne vous demanderons rien de plus que ce que vous lui avez déjà "payé", mais pour honorer sa dette, il nous faut savoir ce qu'il vous a promis. Nous pourrons ainsi tenter de tenir cette promesse. Jimmy était un homme de parole, nous le sommes aussi.

Son discours terminé, il se rendit compte qu'il avait pris la parole sans l'aval de Zelda, mais la parole d'un homme est sacrée, et il ne supportai pas qu'on puisse mettre en doute ni celle de son ancien ami... ni la sienne !

[Zelda Zonk]

Zelda avait écouté le discours menaçant de l'hetman et la réponse de Spoutkin. Elle ajouta.

Je n'apprécie pas particulièrement vos menaces, Hetman... Mais, puisque vous avez payé d'avance, vous serez livré. Maintenant vous savez que Jones est mort... Sans doute pour honorer sa parole ! Il a été retrouvé sans vie à la barre de son navire après une attaque menée par des guerriers du monde intérieur... Nous soupçonnons une trahison ! Aussi comprenez-vous ma méfiance.

[MdJ]

Au cri de Spoutkin, les fantômes se figèrent et se retournèrent, reprenant plus ou moins leur position d'origine.

L'hetman croisa les bras sur sa poitrine.

Jimmy Jones nous avait promis des armes, des armures. Avant de repartir il devait prendre contact avec l'usurpatrice pour étudier les moyens de nous ouvrir un passage vers son royaume.

C'est elle qui a utiliser ses esclaves pour tuer le capitaine Jones.

Il sembla hésiter. Nous pensions lorsque son navire est reparti qu'il avait réussi à survivre à cette attaque et c'est une grande tristesse de savoir qu'il est mort.

Certains d'entre nous pensions qu'il nous avait trahis, qu'il avait renoncé à ses promesses.

Nous nous trompions.

Si vous êtes ses héritiers spirituels, nous aiderez-vous à faire cesser cette parodie de vie et de mort, ce jeu morbide auquel se livrent l'usurpatrice et ses laquais ?