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Jonction – 28 Kepler 1505 TUP
Zelda manipula son communico...
Kald,peux tu ouvrir un canal sécurisé avec Théo, Jim, Brise, Bruhuk et Spoutkin...!
Une fois la ligne établie, Zelda transmit ce message :
Mam's arrive avec les tontons ! Bal trappe au 4ième top...

Ok, c'est parti..., dit elle en souriant...
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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Jim regarda les uns et les autres pour voir s'il n'y avait as eu de dégâts. apparemment personne n'était blessé. Il s se penchait sur Spoutkin quand le message de Zelda arriva.

Zelda Zonk Wrote:Mam's arrive avec les tontons ! Bal trappe au 4ième top...

"Debout mon ami, il faut toujours aller de l'avant. Allez Brise tu nous coupes tous ces fils?"
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[hrp]depuis quelques je ne reçois plus de mail du site pour les nouveaux post. Sans compter ma mauvaise connexion...la vie est dure mes amis Wink[/hrp]

Brise s'exécuta aussitôt. Il deploya tous ses bras armés chacun d'un decoupeur à plasma. Il les mis tous en défense excepté le prothèse arme qui sera pour l'attaque. Il se mis en position sur l'avant et commença à debrousser les lianes coulantes
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Brise déploya ses bras de sous sa soucoupe et activa les découpeur à plasma, arrachant de fugitives étoiles de lumière à chaque fois que la flamme frôlant les 18.000 degrés entrait en contact avec les monofils.

Les uns après les autres les fils se racornirent, s’enroulant sur eux même, dorénavant inoffensifs .

Pendant ce bref moment de calme, chacun put vérifier qu’ils avaient le bon compte de doigts et de membre : ils avaient échappé à un piège immonde et quelque peu aveugle. Pendant que son compagnon mécanicien découpait, Bruhuk se pencha sur le petit mécanisme enrouleur : de simple systèmes à commande volumétrique et optique. Aucune trace du moindre système pseudo intelligent : ça aurait découpé la première personne qui se serait glissé dans le conduit, technicien de maintenance, prêtre ou enfant qui serait venu jouer dans le coin.

Au fond de la poitrine du Ballik quelque chose vibrait maintenant à chaque bruit, au moindre tintement et lorsque qu’ils se remirent en marche, à la cadence de ses pas, quelque chose qui ne battait que pour tuer et qui serait fatal aux bourreaux de son sang : un cœur d’acier.

Ils se glissèrent donc dans le tunnel maintenant débarrassé de ses pièges et avancèrent dans la direction indiquée par Zelda pendant que celle-ci faisait de même, afin de pouvoir prendre la troupe de mercenaire à revers.

Les couloirs étaient tortueux, luisant d’humidité, emplis de tuyaux d’où s’égouttaient des liquides improbables, qui dans la lueur monochrome des éclairages de sécurité n’étaient pas sans rappeler les entrailles d’un Léviathan biblique.

Spoutkin n’était pas rassuré : ils entraient maintenant dans une zone peu fréquenté de la station et il savait qu’ils étaient sur la bonne piste : sur un des tuyaux il vit clairement une trace de main qui avait chassé la fine couche mousse qui s’y était accumulée. C’était récent : l’eau commençait tout juste à perler de nouveau à travers la matière composite que le temps et les radiations cosmique avait contribués à rendre poreux.

Jim quant à lui sentait les poils de son cou se hérisser. Une bête réaction mais qu’il avait déjà ressenti. On lui avait toujours assuré que son taux Psi n’avait rien d’exceptionnel, mais il avait appris à faire confiance à cette forme d’intuition. Ca lui avait sauvé la vie un certain nombre de fois, comme quand sur padak après une soirée bien arrosée trois cisailleurs l’avaient attendu à la sortie du bar avec leur lames en os. Ses poils s’étaient hérissés tout comme maintenant, lui donnant la poignée de seconde nécessaire à séparer la vie de la mort.

Théo enfin suivait les progrès de Zelda sur son scope. Elle progressait elle aussi, de plus en plus proche d’eux mais par des chemins détournés.

Le dénouement était proche maintenant.

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Pendant ce temps Zelda avait suivi des couloirs et des tunnels jusqu’à parvenir à un antique sas à double ouverture. C’était un spectacle assez désolant. Normalement le lieu aurait dut contenir scaphandre de secours, sac respirateurs d’urgence, impulseurs à ion pour se propulser dans l’espace, lance-grappins magnétique sur enrouleur monobrin … mais dans la salle ovale rien de tout cela ne subsistant : les placards étaient resté ouverts et vides de tout contenu : tout ce qui avait une certaine valeur avait disparu. Récupéré lors de la désaffection officiel de ce secteur d’habitation ? Ou volé peut être ?

Elle n’eut pas le temps de poser la question. Sur l’indication de Tres elle pénétra dans le sas. Ils s’y entassèrent tous. Après avoir vérifié que tout le monde portait bien une combinaison énergétique allumée Jeanjee commanda la vidange du sas … cela au moins fonctionnait encore et les bruits disparurent au fur et à mesure que l’air faisait de même.

C’est dans un silence absolu que Tres se pencha sur une écoutille de maintenance : il lui fallut une poignée de minute pour retirer avec soin les 8 visses qui retenaient la trappe … celle-ci menait à un espace étroit , a peine cinquante centimètre de large qui séparait la peau extérieure magnétisée de la station de la couche intérieure.

Cette dernière peau intérieure était verruqueuse, constellée de petits tas de matériaux globuleux. Une vieille technologie : tout trou dans cette peau faisait réagir une couche intermédiaire emplie de mousse auto-durcissante qui colmatait la brèche. Ça marchait bien, tant que le trou ne dépassait pas les cinq centimètres carrés. Ce n’était pas la seule défense de l’habitat contre le vide de l’espace : les deux peaux étaient délimitées par des cloisons en tissus élastique et collant, tout les 20 mètres. Des cellules isolant les secteurs, limitant en cas de rupture de l’une au l’autre peau les effets de la décompression.

Il était relativement facile de passer d’une cellule à l’autre : il suffisait de décoller la paroi souple et translucide, de l’écarter et de se glisser dessous : en la relâchant elle revenait à son emplacement d’origine.

Ils progressèrent donc dans un relatif silence peuplé de leur respiration, attentif sur les indications de Tres à ne pas heurter la paroi intérieure : en absence d’air ils avaient l’impression de ne faire aucun bruit, mais les sons se répercutaient très bien à l’intérieur de l’habitat qui lui était pressurisé.

Enfin ils s’immobilisèrent, se tenant à la coque extérieure.

Tres accrocha ses pieds à une barre de soutènement et croisa les bras, ses yeux de nuit semblant scruter quelque chose qui se trouvait au loin devant lui.

Il parla, utilisant le canal sécurisé mis en place par Kald à la demande de Zelda et chacun put l’entendre :

Ils sont juste devant nous. A environ quinze mètres. Quatre. Nous n’avons pas été repérés. Ils se concentrent sur l’arrivée de vos compagnons. Ils les ont suivi lors de leur progression et ils sont en position de tir dés que l’un d’entre eux franchira l’angle du couloir. Ils sont prévus de leur tirer dessus avec des fusils à fusion, puis au fusil Blaster. Ils ont deux de chaque et de terminer à la grenade à plasma. Ils ne comptent pas faire de prisonnier.

Un infime rictus souleva ses lèvres de nuit pour dévoiler un croc de jais. Ils se demandent quand même ou vous êtes passé et presse une seconde équipe de vous localiser. Tachons de faire de leur inquiétude une certitude.

Pendant ce temps avec une délicatesse qu’on ne lui soupçonnait pas Dos avait entrepris de pulvériser une sorte de mousse d’un rose écœurant sur un pourtour d’environ deux mètres sur deux sur la coque intérieure. La mousse dessinait maintenant une « porte » qu’il compléta en dessinant des croisillons.

Voyant que Zelda l’observer il ne put s’empêcher de ricaner et d’ouvrir la main en sa direction en prononçant
« Kaboum !!!! ».

Ce que veut dire mon frère Madame,
compléta Tres, c’est que nous allons ouvrir un passage en force : ça va créer une sacrée dépression limitée par le volume intérieur de notre cellule : ceux qui n’ont pas de combinaison vont y perdre leurs tympans et tout le monde va être secoué, voir tomber. Nous profiterons de ce moment de confusion pour entrer et ouvrir le feu.

S’ils se replient vos amis dans le couloir adjacent devraient pouvoir faire un carton : ils arriveront droit sur eux et ce sera à eux de jouer.

Surtout demandez leur de ne pas pénétrer dans le couloir principal : nous croiserions nos tirs et risquerions de nous entretuer par erreur.

Est-ce que cela vous convient madame ? Dos lança un stylo interrupteur que Tres tendit à Zelda : A votre initiative. Chacun s’était éloigné des explosifs et avait pris ancrage, qui en se tenant, qui en verrouillant ses semelles magnétiques sur la coque extérieure, mains posées sur les armes mais doigt loin de la détente.

JeanJee ajouta Un dernier point : quoiqu’il arrive nous devrons avoir dégagé dans les cinq minutes qui suivront cette explosion. La décompression va faire s’illuminer le contrôle environnemental de la station et nous aurons de la visite : il ne faudra plus se trouver dans le coin. Mais 5 minutes devraient largement suffire.


[hrp]Tout le monde a entendu les échanges de Zelda, de Tres, Dos, Jeanjee grâce au canal sécurisé par Kald.

Une dernière prière, une dernière action, un truc à préparer pour chacun ? Avant qu’on y aille ? Parce quand il faut y aller …[/hrp]
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Brise comprit rapidement que la patronne était de retour pour les sauver une fois de plus. Il se demandait ce qu'il avait bien pu encore casser pour que toutes les minutes des tas de gens leur courrent après. La trappe ? Le monofilament ? Ou plus tôt dans le sorte de bar clandestin ? M'enfin, c'était la routine pour lui ce ne sera point la dernière fois car il y a toujours des risques à bricoler et rester les bras dans leurs emplacements n'était certainement pas le tempérament de tout TpT qui se respecte et encore moins de BFM qui excellait dans le genre.
C'était de plus la première fois qu'il découpait des monofilaments. En cours il avait étudié ce genre d'outillage et notamment en cas de rupture du filament. Celui ci toujours tendu, lorsque le fil cassait les extrémités restaient mortellement dangereuses un court (..?) instant pendant lequel les extrémités fouettaient l'air en toute violence. Il devrait demander à Bruhuk de verifier l'intégrité de son scaphandre dès qu'ils auraient un moment.

Dans tous les cas suite aux propos du capitaine, Brise remplaça la lame à fusion de sa prothèse arme par le paralyseur puis rangea tous ses bras, régla sa cloche en position "vide" qu'il utilisait habituellement dans l'espace et qui fermait toute osmolarité avec l'environnement. Il positionna ses senseurs au minimum et attendit devant les autres (depuis le piège maléfique il devançait le groupe) juste avant de rentrer dans le tunnel où on les attendait pour cible.

ok check ready
Prêt attente étau
Surprendre ennemi good

La version audio passa par le canal privé

Tel est pris qui croyait prendre
Le juste retour
Des ennemis nuisibles
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Zelda pris la parole...
Vous avez bien compris les amis ! Personne dans le couloir principal... ça va faire un gros "boum" et on ouvre le bal... Soyez prêt à cueillir ceux qui se dirigerons vers vous pour échapper à notre feu...

Zelda leva un pouce en signe d'approbation et rendit à "Uno" son sourire carnassier... Flottant dans le vide de l'espace, elle s'agrippa, passant son bras dans un arceau de la structure... Elle compta :

1, 2, 3,... quatro. Son doigt effleura la commande du détonateur. La mousse rosâtre n'explosa pas immédiatement. Elle se mit tout d'abord à gonfler, comme une cloque effervescente, un bubon lumineux, une acné pachydermique... Puis, sans un bruit, le choc violent de l'explosion parcourut son bras, malmena son épaule et secoua sa colonne vertébrale...

La coque de la station fut projetée en de minuscules fragments épars, ne laissant qu'un trou parfaitement lisse... La dépressurisation violente expulsa également d'autres objets : coffrets de dérivations brisés, faisceaux de câbles sectionnés, plaques et grilles de maintenances arrachées... Tandis que l'air, et son contenu hétéroclite se déversait dans le néant du cosmos, Zelda donna le top départ.

Yep ! hurla t'elle en s'engouffrant à la suite du trio de frangins qui avait pris les devants...
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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Suivant les instructions transmises sur canal crypté par Uno, Dos, Tres et Zelda, Théo s'agenouilla dans la galerie annexe par laquelle leurs ennemis étaient sensés se replier, à moitié couvert par un boitier de relais énergétique. Il avait préalablement indiqué à Spoutkin comment régler son paralyseur sur puissance max, et l'avait fait allonger derrière lui. Le pilote serait ainsi protégé et offrirait une cible difficile à atteindre. Le fleuriste pointa quant à lui son blaster de poing, et évalua à l'aide de l'affichage tactique les endroits où il pourrait infléchir le faisceau de son arme pour abattre d'éventuels fuyards.
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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Jim sentait monter en lui l'adrénaline. Le dénouement de leur escapade était proche. Il est peu probable que leurs adversaires se laissent prendre vivant pourtant il y aurait bien quelques questions à leur poser.

Il tapota le dessus de la cloche de brise. descend un peu.

Ainsi positionnés, ils pouvaient croiser leur tirs avec ceux de Théo.

Bruhuk, surveille nos arrières on ne sait jamais.
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Contrairement à ce qu’avait craint Zelda la paroie extérieur de la station ne céda pas : la charge explosive avait été assez précisément calculée pour ne briser que la paroi intérieure.

Néanmoins cela ne changea rien à la formidable claque que chacun pris quand l’air s’échappa des installations dans le caisson de containement . Ils avaient beau être prévenu, Théo, Brise, Spoutkin, Bruhuk Furent projeté en avant, alors qu’était aspiré déchés, papiers gras et tout ce qui n’était pas solidement attaché. Cela ne dura qu’un court instant : le temps que les portes anti-blast se ferment, condamnant la section dépressurisée ; La lumière passag au rouge alors que dans l’air raréfiée résonnait un avertissement dans les sept langues principales de cette région galactique : « attention – attention : la section dans laquelle vous vous trouvez subie une dépressurisation accidentelle. Mettez immédiatement votre combinaison de survie et dirigez vous dans le calme vers le sas le plus proche … le message se répétait dans une autre langue cliquetante, du kiffish. Mais cela leur échappa : il y avait plus urgent.

De l’autre coté de la paroi, Zelda, Jeanjee et les frangins avaient été bein secoués eux aussi et frapés par divers morceaux de paroi et pièces d’équipement arrachés, sans grand dommage heureusement : Uno et Dos s’étaient jeté en avant, pénétrant dans la coursive tout en ouvrant le feu. Très restait en retrait pour l’instant.

Zleda jeta un coup d’œil rapide : le groupe de mercenaire ennemi était sous le feu du lance flamme à plasma et du fusil laser : leur armure énergétique brillait de manière aveuglante, saturé par le flot d’énergie continu, alors qu’ils tentaient de se replier : Zelda tira, une fois, deux fois alors que Jeanjee faisait de même de son coté. Un des mercenaire fut couché au sol par un tir, qui transperça son armure énergétique, carbonisa son abesto et creusa un trou fumant de part en part dans la poitrine.

Dans le couloir qui leur faisait face Théo et les autres avaient perçu sans les voir les échanges de tir, avant de voir le couloir adjacent se remplir des flammes bleues presque transparentes du lance flamme à plasma.

Soudain deux silhouette se rattachèrent face à eux si l’un des hommes était tourné en arrière l’autre leur faisait face, fusil pointé dans leur direction.

[hrp]A vous : je gère le tir de Jim, les autres annoncez vos intentions (tir en se cachant, en se déplaçant, une autre idée, si quelqu’un part pour les affronter au contact …) Je vous donne ensuite le degrés de difficulté et les jets à faire.[/hrp]
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Avant l'explosion Brise se trouvait à ras du couloir adjacent où les mercenaires attendaient de faire un carton. Mais après l'explosion il se retrouva propulsé dans ce même couloir car il avait oublié de fixer ses patins magnétiques. D'un côté c'était pas plus mal car ses camarades se seraient écrasés contre lui.
C'est alors qu'un vilain pas beau avec une mine agressive se pointe fusil en avant. Là dessus je regarde mon minable paralyseur... Tout en degainant mes 3 autres bras munis de la soudure à fusion.
D'un coup la moutarde me monte au nez et celui ci va payer pour tous les autres. Je m'ébranle à pleine vitesse pour aller le percuter de plein fouet en pointant vers lui mes lames en fusion et en tirant du paralyseur.

[hrp]J'ai arme de tir 1 combat robot 0 et j'ai pas combat mains nues-propriétaires[/hrp]
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