Khrys Wrote:des "bobineuses" à hyperfilament vous tissent une coque, puis ce 'textile' mis en place est mis sous energie est devient aussi dur que n'importe quel materiau...
Dans ce cas, la coque des vaisseaux est legere et solide. On peut tres bien imaginer dans l'epaisseur de deux couches de textile, on puisse trouver plein de systemes annexes, gagnant du volume sur l'interieur de la coque.
J'ai une interprétation un rien différente, multi-couches.
1) Une coque de structure en hyperfilaments composites tissés : solide, légère.
Celle-ci a pour fonction d'être le support des autres couches et d'avoir un minimum de résistance physique si l'énergie venait à manquer pour protéger l'équipage dans l'espoir d'une solution à leurs problèmes.
Cette coque est composée de plusieurs éléments, chacun de ces éléments étant calibré pour ne laisser pas que la gamme de rayonnements voulue en fonction de l'usage : totalement opaque pour la majorité de la coque, transparent à la lumière visible pour une fenêtre ou un hublot.
2) Une couche composite d'hyperfilaments et de supraconducteurs plaquée sur la coque de structure.
De couleur sombre avec des motifs faisant penser à d'antiques circuits intégrés, celle-ci A plusieurs fonctions : dissipation d'énergie, transport de l'énergie aux modules concernés, transport des informations aux modules concernés, génération d'un champ magnétique.
3) Une couche de tuiles, modules de forme souvent hexagonales, qui est le revêtement externe.
Les tuiles sont de modèles différents pour des fonctions tout aussi différents : capteurs, générateurs de champs de force, générateurs AG, réparatrices, gestion de l'énergie, ...
Ces tuiles sont souvent standardisées et si individuellement leurs performances sont modestes, c'est l'union de celle-ci qui toute la puissance aux vaisseaux Varlets.
Lors de la mise sous tension du vaisseau varlet, les modules s’arriment fortement les uns aux autres et présente une surface lisse.