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Oz 12 Kleper 1505 TUP
#11
Je levais la tête tenant toujours ma fourchette dans ma grosse main
Hochant la tête en guise de salutation
[color=#00BF00]
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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#12
Théo Calderon indiqua l'une des deux places restantes à la table en souriant :

"Bien sûr, Spoutkin. Installe-toi !"

Il montra la tasse encore fumante en secouant négativement la tête le plus discrètement possible :

"Tu veux finir mon café ? C'est la recette personnelle de Bruhuk..."

Puis il poussa un sifflement d'admiration lorsque Spoutkin leur annonça son niveau de compétence en propulsion :

"Tu as un quatrième degré en ingénierie Varlet ? Attends voir... Ca te qualifie pour tenir le poste de Chef sur un Classe I, ça ?" (un clin d'oeil au ballik) "A mon avis, tu as trouvé ton assistant, Bruhuk..."

Il hésita quelques secondes :

"Excuses-moi si je suis trop indiscret, mais il y a une raison particulière pour que tu préfères le surnom de Spoutkin à ton vrai patronyme ? Cornélius d'Alembert, c'est bien ça ?"
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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#13
Je tournai le visage vers spoutkin tout en hochant la tête signe que je validais l'idée de Théo.
en le grattant la tête < je reste perplexe et je m'interroge de ce qui c'est passé. Tu en pense quoi spoutkin?>
Puis un petit moment d'absence
% vraiment envie de botter des culs avec élan foutu mecaniciens....%
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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#14
Merci pour le café Messire Théo, mais euh... j'ai déjà déjeuné ?
Spoutkin retint de justesse le sourire qu'il sentit poindre sur son visage.
Jetant un oeil discret vers le Ballik, il poursuivit.
Je n'ai pas de mérite Messire Théo. J'ai souvent piloté seul et longtemps. C'était donc une obligation pour moi de connaître quelques trucs histoire de ne pas "rester en carafe" comme on dit.

Après une profonde inspiration, il ajouta
Quant à mon nom, je le tiens de ma famille et elle a disparu. Il disparaît donc avec elle.
Vous comprendrez pourquoi je ne souhaite pas développer le sujet.


Il enchaîna immédiatement...
J'ai cru comprendre que les fleurs de la mort n'avaient pas de secret pour vous, et j'ai toujours adoré les armes... bien lourdes. Auriez-vous du temps à l'occasion pour m'en faire une présentation. J'ai beaucoup travaillé sur les canaondes mais pas assez sur les fleurs.... à mon goût

L'intervention de Bruhuk le fit s'interrompre
Oh je vous avoue ne pas encore avoir creusé du côté des Varlet Messire Bruhuk. J'étais obnubilé par le système de pilotage et les découvertes successives de Kald et du Chant-Cloche - vous savez ce qu'en a fait Messire Dom au fait ?

Revenant au sujet du Ballik
Je serais ravi de vous suivre dans la salle des moteurs afin que nous en discutions plus avant.
La cathédrale sentait le chocolat
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#15
Je regardai étrangement spoutkin
[color=#00BF00]
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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#16
D'un seul coup, Spoutkin se leva d'un bond, mis un bonnet (cf mon avatar) et cria :
OH OH OOOOOOOOOOOH Bonne année à tous !!!!

Et se rassit tout rouge

Pardon, si j'avais mis ça en HRP, ça aurait pas fait pareil :mrgreen:
J'autorise le MJ à rayer ce message, une fois que tous le monde aura bien ri !
La cathédrale sentait le chocolat
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#17
Théo opina du chef :

"Bruhuk a raison, Spoutkin. Laisse tomber les messires... Ca fait un peu trop Vieil Empire pour moi. Enfin je suppose que ça viendra tout seul quand on se connaîtra mieux."

Ses yeux commencèrent à briller lorsqu'il parla de l'armement :

"J'ai obtenu une autorisation de tir en conditions réelles dès que le Songe aura obtenu sa certification de vol. On fera un saut de puce dans le halo cométaire du système. La Division Nova y entretient plusieurs bases automatiques dans des astéroïdes creux, qui peuvent larguer des drones-cibles. On pourra tester nos tourelles grasers, étalonner les buses à canalisation entropique des deux fleurs de la mort, recalibrer les détecteurs et ajuster les routines d'acquisition de cibles de l'infotir, ..."

Il réalisa soudain qu'il s'enflammait et son débit se ralentit tandis qu'il retrouvait sa contenance :

"Bref, je te montrerai tout ça dès qu'on pourra reprendre l'espace."

Il se leva à son tour et fit un salut de la tête à Spoutkin et au bariolé ballik :

"Je descends à la passerelle pour travailler dans l'armurerie. On se voit tout à l'heure."
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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#18
Dom était debout depuis bien avant l'aube et après un très rapide déjeuner il se dirigea vers son infirmerie.

Enfin ... la pièce qui était sensé servir d'un infirmerie. Il passait son temps à essayer de débarrasser l'infirmerie de tous ses débris. Son efficacité était très relative, il tentait de préserver les parois pour éviter de toucher à tout ce qui pouvait bien avoir derrière.

Bon y en a marre là ... Je vais y passer la semaine si je continue comme ça. On va revenir à la bonne vieille méthode pour faire place nette. Façon Daisy Cutter.

Il farfouilla dans les divers placards de la salle des machines et trouva l'objet de ses rêves : une scie laser avec une batterie pleine. Il retourna sur son chantier avec un sourire aux lèvres.

10 minutes plus tard tout était terminé : la totalité de ce qui se trouvait dans l'infirmerie, murs, sol et plafond compris était découpés en petits bouts et reposait sur la charpente énergisée du vaisseau. Dom passa ensuite une bonne partie de la matinée à évacuer tout ça et en prenant une pause, il monta vers la cuisine pour prendre un Quafé.

Bonjour M. Spoutkin

Quoi de neuf aujourd'hui ? Joli chapeau par ailleurs, une fête particulière de votre planète natale ?
Je dirigerai les soins des malades dans leur intérêt et m'abstiendrai de tout mal - Médicalserment de Bo Sheng
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#19
Tout l’équipage du Songe s’était mis au travail, à un niveau ou à un autre, pour remettre en état leur navire.

Le petit déjeuner avait été l’occasion de faire un point sur les réparations à venir et de réunir ceux qui le souhaitaient.

Au sein de la caverne d’acier, ils prirent donc en commun leur premier repas. Le paysage était nul, mais au moins, grâce au remplacement de filtres il ne flottait plus dans l’air l’odeur de composantes brulé qui les avait pris à la gorge les premières heures.

Ils purent dresser une liste des taches qui les attendait dans les jours à venir.

Ils finirent par dresser deux listes. Une concernant l’essentiel, qui leur serait demandé lors afin de leur délivrer un certificat de conformité au vol en bon et due forme. Une concernant le superflu, ce qui nécessitait des ajustements ou des aménagements au cours du vol et qui rendrait leur navire et leurs conditions de vie à bord plus confortable si ne n’est plus sures.

Sur la liste « essentiel »
- remplacement des capteurs optiques sur la coque, plaques et divers éléments : environ 50 heures de travail. Ces travaux nécessitaient une connaissance en mécanique de base. Si l’on commandait l’ensemble de pièces neuves il y en aurait pour environ 70.000 crédits.
- Vérification des systèmes environnementaux intérieurs : il faudrait compter 12 heures et un spécialiste du maintien de la vie serait requis pour étalonner les systèmes. Le cout estimatif du remplacement de certains filtres, de plaque de gravité artificielle était d’environ 20.000 crédits.
- Vérification des sas, ouvertures, filtres opacifiant : une simple question de mécanique là encore, demandant une 20 h environ.
- Vérification des systèmes de détection, de localisation et de communication intérieurs et extérieurs : 12 heures de test à prévoir avec un spécialiste des communications 3D.
- Remise en état des installations intérieures de sécurité : cela comprenait la remise en place des trousses de soin obligatoires, des kits de premiers secours et la vérification des dates de péremption du matériel existant. Des compétences de médecine étaient nécessaires. Un grand nombre des kits existants avaient été utilisés par feu monsieur Jones et il faudrait au moins en acheter 6 nouveaux.
- Vérification des moteurs Varlet et étalonnages de ceux-ci. 8 heures de travail pour un spécialiste des moteurs auquel il faudrait ajouter un vol d’essai de deux heures pour vérifier le bon fonctionnement de ceux-ci.
- Vérification des systèmes antigrav d’atterrissage et de décollage : 10 heures pour un pilote NT6
- Vérification des ordinateurs de bord : 24 heures pour un diagnostique complet par un informaticien compétent. Les mémoires utilisées seraient à remplacer à un cout de 20.000 crédits pièces.
- Vérification des systèmes info-pilote et infotir : 12 heures pour un spécialiste de la robotique. Et il faudrait ensuite effectuer une série de tirs et de pilotage en grandeur réelle pendant deux petites heures au minimum

… la liste des essentiels s’arrêtait là ...

Sur la liste des superflus se trouvaient :
- la réfection de l’infirmerie. Curieusement celle-ci n’était pas exigée par les règlement de la guilde : seuls la présence de kits d’urgence étaient nécessaires. Dom avait déjà une idée de combien pourrait couter un nouvel autodoc. La remise en état pas elle-même de la pièce, d’espace de rangements allait prendre une trentaine d’heure a qui maitriserait la technologie universelle ou la mécanique. Et couter une dizaine de milliers de crédits.
- La réfection de l’armurerie, avec ses portes blindées, ses caissons anti explosions, ses parois renforcés allait prendre quarante heure et couter 30.000 crédits.
- La reprogrammation et remise en état de l’autocook : 4 heures à qui maitrisait l’informatique. Pour 4.000 crédits il serait possible d’upgrader le logiciel par l’adjonction de recettes typiquement ballik.
- Nettoyage de l’ensemble de l’intérieur du navire. Aucune compétence n’était nécessaire, mais il faudrait compter environ 40 heures pour faire disparaître les derniers résidus de suie et de poussières de carbone.
- Peinture extérieure de la coque. Aucune compétence particulière ne serait nécessaire non plus. Néanmoins 20 heures de travail seraient nécessaires pour un cout de 2.000 crédit pour une peinture basique et simple à 120.000 crédits pour une peinture mimétique programmable.
- remise en état du jardin d'agrément : il fallait compter une dizaine d'heure, 5.000 crédits et un peu de talent en écologie pour cela.

[hrp]Je joue le perso de Jim, vu qu’il n’est pas là pour l’instant[/hrp]

Jim en profita pour faire part à ceux qui partageaient le petit déj du résultat de ses recherches concernant Klérom Bold, nom figurant sur la carte de visite qu’il avait trouvé dans la cabine de Jimmy.

Restait maintenant à déterminer qui faisait quoi.

[hrp]Pour tout ce qui est fournitures de base (sauf logiciels, peinture, autodoc, trousses de soins, mémoire) il est possible de faire un jet de conversion réussi pour trouver des pièces moins chères et les adapter à l’utilisation que vous comptez en faire. Chaque test sous habileté + conversion prend 5 heures. S’il est réussi sous trois dés le prix est divisé par deux : sous quatre dés, par trois ; sous cinq dés par quatre. Il vous faut choisir avant de les faire le niveau de difficulté que vous souhaitez atteindre.

Edit : le jardin d'agrément que j'avais oublié.[/hrp]
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#20
Voyant que le skipper Zelda n'était pas disponible sur le pont je fis demi tour en haussant les épaules en me disant tant pis elle rappellera. Je pris la direction de la salle des machines afin de me faire une idée de ce qu'il y avait à faire. j'allumai les lumières des sas menant à la salle d'ingénierie humant l'air afin de faire affluer un monceau de souvenir de l'époque où je fus à bord du songe. Tout en me dandinant vers les terminaux de contrôle afin de m’atteler à cette tache de recalibrer les barres de fusions
Je lance le programme mes yeux globuleux fixant les données défilant devant moi.
Je cherchais le programme afin d'accomplir le process informatique à faire .....
%enfin le voici son programme il va avoir du boulot au moins huit heures pour remettre çà aux nomes...%
puis sur un autre moniteur je mis en route les programmes des pompes electro-statiques
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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