2015-11-04, 09:35 PM
Il profita du voyage pour procéder à l’entretien périodique de sa prothèse médicale. Son bras gauche ne différait du droit en apparence que d’un tatouage sur l’épaule en forme de triangle contenant un holocode multidimensionnel. Identifiant unique de la prothèse, son cryptage multi niveau certifiait l’implant comme ayant reçu la sanction de la loge techno.
Dépliant son bras sous l’éclairage vif de l’infirmerie, il format dans son esprit le schéma mental qu’on lui avait implanté dans l’esprit par hypnose en même temps que l’on formait par nanochirurgie les multiples connexion neurales supplémentaire que ce nouveau bras nécessitait. Ce dernier, évolution de l’original devenu obsolète et « canibalisé »(c’était le terme utilisé par le docteur militaire qui l’avait opéré, celui dont il avait oublié le nom mais pas le sourire parfait blanc clinique) afin de fournir le matériel de base, n’avait même pas nécessité que l’on le sépare du moindre miligramme de sa chair. La procédure, indolore s’était faite de manière invisible, sous sa peau et n’avait prit en tout et pour tout que 6 heures.
Tel les pétales d’une fleur bioméchanique, les différents instruments de sa prothèse sortirent de leur logements autrement indétectables dans le silence presque complet du petit dispensaire, laissant a nu les fibres musculaires artificielles et les os en tungstène-ultracarbonide-titane. Il testa inlassablement les multiples nano-caméras de ses instruments, leurs outputs vidéo se substituant à sa vision. Ceci soit totalement en une transition douce lui permettant de ne pas être désorienté, soit en une vision supplémentaire en périphérie de sa vue tout en étant parfaitement nette. Contrairement aux anciennes prothèses des âges antérieurs qui nécessitaient le remplacement du globe oculaire pour accomplir une telle prouesse avec des résultats opérationnel bien moindres, les images apparaissaient et étaient traitées directement dans son cortex visuel, grâce en soit rendue au reroutage neuronal par nanites. Il vérifia et revérifia les procédure d’auto stérilisation des bistouris à lame unimoléculaire, aiguille d’injection nano et autres microeffecteurs…enfin ceci une fois fait, il remplaça les divers petits magasins de produits actifs par de nouvelles capsules prélevées dans les stocks de la base cométaire… une fois satisfait, il se concentra sur le schéma de fermeture de l’implant et le miracle s’accomplis une fois de plus, ce qui était il y a quelques seconde une œuvre d’art abstraites toute en pointes et lames chirurgicales redevint ce qu’il était avant tout….. son bras.
Dépliant son bras sous l’éclairage vif de l’infirmerie, il format dans son esprit le schéma mental qu’on lui avait implanté dans l’esprit par hypnose en même temps que l’on formait par nanochirurgie les multiples connexion neurales supplémentaire que ce nouveau bras nécessitait. Ce dernier, évolution de l’original devenu obsolète et « canibalisé »(c’était le terme utilisé par le docteur militaire qui l’avait opéré, celui dont il avait oublié le nom mais pas le sourire parfait blanc clinique) afin de fournir le matériel de base, n’avait même pas nécessité que l’on le sépare du moindre miligramme de sa chair. La procédure, indolore s’était faite de manière invisible, sous sa peau et n’avait prit en tout et pour tout que 6 heures.
Tel les pétales d’une fleur bioméchanique, les différents instruments de sa prothèse sortirent de leur logements autrement indétectables dans le silence presque complet du petit dispensaire, laissant a nu les fibres musculaires artificielles et les os en tungstène-ultracarbonide-titane. Il testa inlassablement les multiples nano-caméras de ses instruments, leurs outputs vidéo se substituant à sa vision. Ceci soit totalement en une transition douce lui permettant de ne pas être désorienté, soit en une vision supplémentaire en périphérie de sa vue tout en étant parfaitement nette. Contrairement aux anciennes prothèses des âges antérieurs qui nécessitaient le remplacement du globe oculaire pour accomplir une telle prouesse avec des résultats opérationnel bien moindres, les images apparaissaient et étaient traitées directement dans son cortex visuel, grâce en soit rendue au reroutage neuronal par nanites. Il vérifia et revérifia les procédure d’auto stérilisation des bistouris à lame unimoléculaire, aiguille d’injection nano et autres microeffecteurs…enfin ceci une fois fait, il remplaça les divers petits magasins de produits actifs par de nouvelles capsules prélevées dans les stocks de la base cométaire… une fois satisfait, il se concentra sur le schéma de fermeture de l’implant et le miracle s’accomplis une fois de plus, ce qui était il y a quelques seconde une œuvre d’art abstraites toute en pointes et lames chirurgicales redevint ce qu’il était avant tout….. son bras.