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Re: Estébois - khaadaric - 2010-12-30 Sans une once de sourire sur mon visage.... Tu connais mon sens de l'hospitalité Gurvan. Promis, j'y cogne pas dessus si c'est ça que tu veux entendre, je vais même faire mieux, je vais filmer notre entretien. Ok? Et Globule pourra même venir si ça rassure tout le monde. Je passes quelques minutes seul avec lui ensuite on avisera. Je suis sur que l'on a affaire à un deuxième coco comme notre hôte, un chapardeur de relique. Re: Estébois - Khrys - 2010-12-30 Gurvan Wrote:khaadaric Wrote: Il faudra aussi le faire cohabiter avec le client ... Re: Estébois - MdJ - 2010-12-30 Le débarquement se fit sans problème. Il fallut certes passer les sempiternelles formalités de police et de douane, la pose de puces sur leurs armes intégrées, la mesure précise des métaux qu’ils avaient sur eux ainsi que le recensement des matériels de haute technologie … On vérifia leurs papiers, ils changèrent à une échoppe dument autorisée leurs crédits contre des petites pièces de fer, de cuivre et de bronze. // quelle somme changez vous ? Oufff ! ça n’avait pris qu’une petite heure. Gurvan et Khrys avaient profité de l’avance qu’ils avaient sur le soldat, qui passa en dernier, pour commander leur antimatière. Le maitre de l’astroport, un citoyen de Paraji, avec lequel ils avaient déjà été en contact par radio leur confirma les délais …Il observa l’horizon en se grattant la barbe … à condition que la tempête qui s’annonce passe bien au Sud comme prévu. Un ultime sas de sécurité leur permit de quitter l’enceinte de pierre. Ils empruntèrent un pont suspendu, large, au tissage arachnéen, dont le tablier de bois dominait de plusieurs dizaines de mètres les eaux marronnasses, limoneuse du fleuve. Il faisait froid, un froid humide que le jour naissant peinait à chasser. Posé sur les câbles de support des oiseaux, à la robe noir bleutée, au bec denté, tournèrent la tête à leur passage, nullement impressionnés, lâchant une sorte de croassement fluté avant de s’envoler quand ils s’approchaient de trop. L’air charriait, dans des volutes de brume qui donnaient un aspect fantomatique aux bâtiments encore lointains, une odeur de végétaux en décomposition, de poisson et de fumée de cheminée. Ils marchèrent ainsi une dizaine de minutes, croisant quelques autochtones qui étaient descendus le long des piliers et qui à l’aide de longues cannes, à califourchon sur les solives, péchaient. Un bref courant d’air chassa le brouillard : la ville se révéla à leur regard. Des bâtiments de bois, certains peints avec des fresques colorées qui s’avérèrent être des enseignes indiquant l’usage de chacun d’entre eux. Rapidement, alors qu’ils avançaient sur les quais longeant les canaux, ils furent entourés par des enfants, des marchands. Sollicités, pressés d’acheter des babioles, de prendre guide, de gouter une soupe de poisson locale délicieusement épicée … disons le, ils ne passaient pas inaperçus. Re: Estébois - Gurvan - 2010-12-30 Gurvan ressortit du bureau de change avec 100.000 crédits en monnaie locale dans son sac à dos. Il avait attaché son couteau de ranger à sa cuisse droite, cette fois-ci chargé avec les cellules énergétiques. Il portait sa ceinture dont la boucle abritait Aragorn. Il repoussa tant bien que mal les sollicitations de la foule qui les entourait tandis qu'ils cherchaient le chemin du centre de détention où le ressortissant impérial était retenu. Re: Estébois - Khrys - 2010-12-30 Khrys vérifia que les papiers de l'achat d'antimatière comprenaient bien le bon tonnage voulu. Il vérifia leur authenticité du mieux qu'il put, mais sans trop s'attarder. Enfin, surtout histoire de montrer qu'il ne fallait pas en jouer avec lui :mrgreen: Khrys avait comme Gurvan, pris un coup d'avance. Il vérifia sa vibrolame bien en place dans sa cachette habituelle, puis dissimula d'autres gemmes dans sa veste. Cette monnaie d'échange avait l'air valable sur ce monde. Il demanda d'ailleurs à l'échoppe de change d'estimer la valeur d'une gemme qu'ils avaient acheté à 50 000 crédits, et d'une autre achetée à 100 000 crédits. Il demanda aussi pourquoi l'or avait si peu de valeur aux yeux de ce monde? Est-ce parce qu'il y avait une abondance locale? 8) S'il avait encore un peu de temps, il demanda ce qui avait de la valeur marchande tout en étant assez commode à transporter comme les gemmes qu'il avait fait estimé quelques minutes auparavant... Enfin, il demanda comment un étranger pouvait commettre une erreur grave sur ce sol en faisant quelque chose d'inhabituel pour les gens d'ici. Cela pourrait aussi nous servir, car il valait autant éviter de se retrouver coincé ici et attendre le prochain passage d'un vaisseau Re: Estébois - MdJ - 2010-12-31 … Le plus simple s’avéra de prendre un guide local. C’est un jeune homme, un ado qui ne devait pas avoir plus de 15 ans qui les guida contre quelques pièces de cuivre. Comme ses compatriotes il portait des vêtements tissés. Une sorte de laine épaisse aux couleurs sombres, mainte fois reprisée. Des vêtements dont la coupe était archaïque, fermée par d’antiques boutons d’os. Comme tous les habitants il portait un couvre chef, un bonnet noir dans son cas. Le garçon, Meldior, une fois l’accord conclu, chassa la petite foule qui s’agglutinait autour d’eux, les pressant de quitter le quai aux poissons afin de gagner le niveau supérieur, une galerie située en hauteur qui desservait les boutiques et les habitations. Ils s’aperçurent bientôt, en marchant sur la passerelle en hauteur, que si l’or était présent, les bijoux étaient souvent en fer, du fer huilé, verni, traité … l’or n’était utilisé que pour quelques applications chimiques, pour ses propriété de conduction électriques, mais guère pour des fonctions décoratives. L’or ici avait la même valeur que partout ailleurs, mais le fer, le cuivre eux avaient une utilité « pratique » qui en faisait un matériau de choix. Gurvan avait empli son sac de petites pièces frappées aux armes de la cité état. Une petite pièce de fer valait à elle seule cent crédits, la plus petite unité étant la piécette d’étain qui valait un crédit. La prison ? Elle se situait non loin sur une petite ile, prés des terminaux des dirigeables qui pendant la bonne saison desservait les autres villes. Au terme d’un parcours à travers un dédale de pontons, de galeries suspendues, de ponts ils parvinrent à l’ile. Un rocher de pierre sur lequel se dressait un donjon patibulaire de pierre grise et moussue. Ils pénétrèrent par la porte de bois massive ouverte et furent accueillis par des soldats en arme : arbalète à tête explosive, cuirasse de cuir ornées de plaques de cuivre, casque de fer et sabre. Meldior quant à lui avait préféré attendre à l’extérieur. Un officier s’occupa d’eux. Lui portait un pistolet à la ceinture. Un antique pistolet semi-automatique dans un étui de cuir. Il les fit entrer dans un petit bureau faiblement éclairé par une lampe à incandescence suppléant à la lumière chassieuse qui se faufilait par une étroite meurtrière. L’homme leur proposa une tasse d’infusion qu’il tira d’un samovar dans un coin de la pièce. Il lut longuement les papiers que Gurvan et Khrys lui remirent. Il vérifia leur identité puis héla une estafette. Il rédigea un ordre sur du papier carbone, tamponna plusieurs feuilles, signa et donna la levée d’écrou à l’homme qui attendait au garde à vous. Ils attendirent plusieurs minutes … ********************************************************************************* Djal sommeillait enveloppé dans une couverture sentant la moisissure dans son cachot souterrain. Le bruit des loquets le réveilla, le tirant de l’univers onirique dans lequel il s’était réfugié. Le repas ? Non c’était trop tôt. Les reliefs de sa dernière soupe trainaient encore au sol et il n’avait pas entendu piquer l’heure de la relève du matin qui rythmait la vie de la prison. Il se redressa, une pique d’inquiétude/espoir le traversa. Le geôlier, un nommé Telmartier qu’il avait appris à connaitre l’interpela : Djal ! Debout mon gars : tu sorts, il y a des messieurs, des étrangers qui sont venus te chercher … Alors qu’il arpentait les couloirs sombres et humides, éclairés chichement il ne put que s’interroger : Des étrangers ? Des prêtres ? C’est avec soulagement qu’il découvrit dans le bureau du directeur de la prison des « étrangers ». Trois galactiques … L’officier lui tendit son sac, avec l’ensemble de ses effets personnels, lui fit signer un reçu et après avoir souhaité de ne jamais le revoir, il les reconduisit dehors, lui précisant qu’il était maintenant sous la garde de ces personnes et réciproquement que ses gardes assuraient maintenant sa responsabilité. // Je vous laisse faire connaissance et je vous dis à dimanche soir. :* :hai: Re: Estébois - Gurvan - 2010-12-31 Gurvan avait un bref salut de la tête et esquissé un léger sourire lorsque le prisonnier impérial avait été amené dans le bureau du directeur de la prison. Ils avaient pris congé et avaient retrouvé leur jeune guide à l'extérieur. Il demanda à Meldior de leur trouver une auberge non loin de l'astroport. Quelques minutes plus tard, ils s'installaient tous à une table de l'immense terrasse située au deuxième étage d'un établissement répondant au curieux nom de Poulenet Fougueux. L'établissement donnait sur les quais, le fleuve, et de leur place, on pouvait apercevoir l'astroport insulaire entouré de son enceinte de pierre. La coque du Méphisto, seul navire posé au centre du tarmac, brillait au soleil. Gurvan lança l'équivalent de 50 crédits à Meldior, le remercia, puis héla un serveur. Il commanda un thé à la menthe et interrogea du regard ses compagnons et leur "prisonnier" : "Qu'est-ce que vous prenez ?" Comme ils attendaient leurs consommations, il se tourna vers le nommé Djal, et tendit la main : "Lieutenant Gurvan Antillès. Je suis le commandant de bord du Méphisto, le vaisseau que vous voyez là-bas. Messieurs Orkalys et Edelman sont nos chefs de la sécurité et commissaire de bord. Les autorités locales nous ont demandé de vous faire quitter le sol d'Estébois. Alors, monsieur... Gorda ? Comment vous êtes-vous retrouvé dans les geôles de Paraji ?" Re: Estébois - Djal Gorda - 2010-12-31 Djal avait terriblement mal aux yeux. Son teint était laiteux... Il n'était pas rasé... Il se sentait sale... Il avait suivi ses sauveurs sans se poser de question, trop ravi de quitter sa cellule puante. Sans dire mot, il s'était retrouvé à l'extérieur... Inspirant une bonne goulée d'air pur, plissant les paupières, il fut néanmoins éblouit pas la lumière. D'un pas vacillant (un léger étourdissement le pris...) il accompagna les trois hommes vers une auberge proche : le Poulnet Fougueux... Étrange comme nom ! Une fois assis, il aperçut le vaisseau sur le tarmac... Qu'elle beau vaisseau... Enfin libre... Enfin les étoiles... Quitter cette planète pourrie... Terminer les intrigues, les prêtres malfaisants, les aristos arrogants... Ainsi les Prêtres de l'homme, les Aristos d'Arnberg et les "Libres" citoyens de Paraji avaient trouvé une solution pour se débarrasser de lui sans avoir recourt au peloton d’exécution, à la corde ou à la Guerre... Ces types tombent à poing nommé... J'espère qu'ils ont tiré un max de profit pour avoir démêler ce sac de nœud... Quant à moi, je leur dois une "fière chandelle"... Rassemblant ses esprits, Djal sourit tout en frottant machinalement sa nuque du plat de sa main gauche... "Eh ! Appelez-moi Djal... Capitaine Antillès je suis foutrement bien content de vous rencontrer... M'sieur Orkalys, m'sieur Edelman... ravi de vous parler..." Djal dévisagea ses hôtes... Ils avaient une allure plutôt sympathique... Genre baroudeur... Des types à qui ont ne la fait pas ! "Oui, merci... un grand merci... Pour moi c'était la potence, ou la potence... Ah, je déteste cette planète..." Djal s’interrompit car un jouvenceau apportait les breuvages commandés... Il s’emparra de son verre et porta un toast : " A la liberté… " Puis il vida son hanap... " Ah, ça fait du bien, non !" "Bon je vous doit quelques éclaircissements... Assurément on ne vous a pas mis au parfum !..." Djal posa son gobelet devant lui et mis lentement les mains à plat sur la table. Il fit mine de réfléchir… Par où commencer ! "Je m'appel Djal Gorda, tekno, grade trois, spécialiste « Infonaute »... Je suis arrivé ici un peu au hasard... Je voyage léger et j'ai la bougeotte... C'est de naissance !... Bref..." Djal repris : "Comme tout les errants de la galaxie, je me suis retrouvé à bord d'un vaisseau à destination de nul-part. Et ce nul-part ce fut Estébois ! Quelle aubaine... Je n'en demandais pas tant... "C'est alors que mes petites, et très attentives, oreilles entendirent parler des reliques numériques de l'antique Chimp's qui amena, voici plusieurs millénaires, les hommes de ce monde... « Alors ! Comment ne pas craquer ! Un Data-Fossile gorgé d'Infos... Un joyau pour qui sait en percer les secrets, et surtout, en commercialiser le contenu... Oui, je suis "Chercheur d'Antiquités Digitales et Numériques"... Les mauvaises langues préfèrent utiliser les vilains mots de "Pilleur de données"... "d'InfoPirate"... Des jaloux si vous voulez mon avis, oui ! Djal leva un sourcil lourd de signification. "Seulement voilà, pour accéder aux données du Chimp's, il me fallait pénétrer dans le sein du "saint", si je puis dire ! Le Chimp's... Les blocs mémos, les solénoïdes digitaux et autres pièces constituant l'antique machine sont "gardés" par les soldats d'Arnberg... et une autre parti, non des moindres, est une relique sacrée : "Le Coeur de l'Homme" conservé dans le Temple des Origines à Liota... Djal repris sa respiration et remarqua une adorable petite brunette... pas mal... La prison ça vous change un homme. "Pour parvenir à mes fins il me fallait un appui "Royal"... De caribes en cillas, je fini par entrer en contact avec les représentants d'une faction de la cour de Palkira IV avide de vieux « souvenirs » dénonçant la légitimité de certaines "Nobles" Familles... Le Chimp's m'était accessible... Enfin presque... Car l'élément principal de l'antique machine se trouve actuellement en possession des Prêtres de la théocratie de Liota... Bref, me voici embarqué dans cette aventure... Mes nouveaux "amis" avaient, soit disant, un contact sûre et haut placer à Liota... Je devais "simplement" le rencontrer pour échanger un "faux" bloc mémoire contre l'original du Temple... Mais rien ne s’est déroulé comme prévu... Les intrigants d'Arnberg se sont fait "contre intrigué" ! Et moi je suis devenu "gênant": d'une part pour les diplomates d'Arnberg (parmi les intrigants il y avait le demi frère du premier conseillé du roi...) et d'autre part pour le "contact sûre" de Liota … "Comme cela commençait à sentir le roussi ! Moi, je saute à bord d'un des dirigeables faisant la liaison inter cité. "Paraji ! La seule destination où je pouvais m'embarquer pour quitter cette planète sans me faire jeter au secret dans une cellule puante d'Arberg ou terminer sur le bûcher des Prêtre de l'Homme... "Mais Paraji pratique depuis quelques années une politique de "détente" et de "collaboration" avec les deux autres cités... Pas de chance... hein ! "A mon arrivée je fut arrêté et mis en cellule... Une fois les véritables charges retenues contre moi connues, mon cas posa un cas de conscience aux dirigeants de Paraji... "Me renvoyer à Arnberg c’était m’exposer à une mise aux oubliettes, voir à une mort malencontreuse et accidentelle pour raison d’Etat. Et me renvoyer à Liota ? C’était me condamner à mort sans le moindre doute. Les autorités de Paraji ont visiblement pris la décision de m'expulser hors de l’espace territorial d’Estébois, malgré les protestations des prélats de Liota.... Je les entends d'ici : "Hérésie..." Depuis ces deux dernières semaines mon "affaire" a pourrie les relations entre Liota et Paraji. Mon gardien m'a dit que les prêtres retardent les livraisons de grain dont la cité lacustre a pourtant besoin … Et qu'aucun navire marchand ne se présente à astroport.... "Et puis vous voilà... J'espère que vous avait était bien rémunéré car les Prêtres de l'Homme ne vont pas en restez là... Des cinglés si vous voulez mon avis..." Djal, un peu confus... "Et vous, ça roule ? Oh, mais dites-moi c'est à vous le transistel ? Bel engin... vous faites du combien ? " Re: Estébois - Gurvan - 2011-01-01 DJAL GORDA Wrote:"Et vous, ça roule ? Oh, mais dites-moi c'est à vous le transistel ? Bel engin... vous faites du combien ? ""Il monte à 17. Là, il a été un peu abîmé par ces rats de Kiffs, mais en principe, c'est un vrai bijou..." Rappelons que lors de son retissage dans les chantiers de l'A12S, l'hyperfilament de la coque avait été traité à l'Au-79 sygma, ce qui lui donnait un aspect or vieilli du plus bel effet. DJAL GORDA Wrote:"Et puis vous voilà... J'espère que vous avait était bien rémunéré car les Prêtres de l'Homme ne vont pas en restez là... Des cinglés si vous voulez mon avis...""Pour ce qui est de notre rémunération... C'est une longue histoire. Nous en parlerons un peu plus tard... peut-être." Gurvan aurait bien été plus chaleureux avec ce monsieur Gorda qui lui semblait tout à fait sympathique, mais il avait croisé le regard de marbre de Khaadaric, et ne voulait pas montrer trop de cordialité avant l'entrevue du "prisonnier" avec le Soldat, puis avec leur client. Re: Estébois - Djal Gorda - 2011-01-01 Djal admira l’éclat doré du Mephisto puis maudit les gardes qui lui avaient carotté ses Sun glass... Une affreuse grimace le fit cligner des yeux... Beau bouleau ! Ça en jette... 17 Eal ! Pas mal... Vous devait être bien armée pour avoir échappé aux... K..Kiffs ? Je ne sais pas de qui vous parlez, mais ils ne doivent pas être du genre à rigoler tout les jours... hein ? Djal croisa le regard de monsieur Orkalys... Un soldat... Pas de doute la dessus... oO(Les Kiffs, il kif !) Un adepte de la baston ! Un psychopathe de la double manchette ! Un mercenaire du Code de l'honneur ! Un tacticien dément ! Un... un soldat... Pour l'instant il n'avait pas desserré les mâchoires... Djal le trouvait presque inquiétant... Quand à Monsieur Edelman... il semble, lui aussi, avoir repéré la jolie brunette de l'autre coté de la pièce ? oO(Eh, c'est moi qui l'ai vu en prem's...) C'est ma tournée... De l'index, Djal frappa légèrement le bord de la table, puis claqua des doigts... Il sourit encore plus largement puis se frotta le bout du nez avec revers de la main... |