2012-08-23, 10:50 PM
Cuperno, décidé à prendre en main cette négociation, s'approcha du vendeur. Il avait le sourire aussi large que son pas chaloupé. C'est sûr, Cuperno était dans son élément. Il en imposait, ou en tout cas il faisait tout pour.
"- M. Panazol, merci de votre accueil. Nous avons besoin de refaire quelques stocks. Voici la liste détaillée. Ce n'est pas grand-chose, mais je dois vous prévenir que nous avons un comptable qui n'ouvre pas facilement le coffre-fort. Tout votre arsenal ne suffira pas à l'impressionner !"
Il appuya la plaisanterie d'un sourire un peu forcé.
"- Mais je vois que vous avez une jolie boutique. Les affaires ont l'air de bien fonctionner, donc je suis sûr que vous pourrez l'amadouer avec des prix incassables."
L'option d'impressionner le vendeur n'était sans doute pas la plus simple, mais on ne se refait pas : faire le miséreux ce n'était pas le style de Cuperno.
Flamber un peu n'empêchait pas non plus d'utiliser les bonnes vieilles ficelles... Il laissa juste le temps au malachite de prendre connaissance de la liste avant de demander au Lilith, d'un simple ordre mental, de l'appeler pour lui transmettre un enregistrement audio de sa cabine, en crypté.
Il prit un recul calculé :
"- Oui... Oui... Je sais... J'ai un peu de temps. On ne risque rien à voir ce qu'ils proposent..."
Un peu plus bas, mais pas trop :
"- C'est le genre de coin où on peut parfois faire des bonnes affaires, on ne sait jamais... Oui... Oui... Bien sûr, c'est toi le boss."
Puis il revint au comptoir, l'air de rien.
"- Alors M. Panazol, est-ce que vous pouvez nous aider ?"
"- M. Panazol, merci de votre accueil. Nous avons besoin de refaire quelques stocks. Voici la liste détaillée. Ce n'est pas grand-chose, mais je dois vous prévenir que nous avons un comptable qui n'ouvre pas facilement le coffre-fort. Tout votre arsenal ne suffira pas à l'impressionner !"
Il appuya la plaisanterie d'un sourire un peu forcé.
"- Mais je vois que vous avez une jolie boutique. Les affaires ont l'air de bien fonctionner, donc je suis sûr que vous pourrez l'amadouer avec des prix incassables."
L'option d'impressionner le vendeur n'était sans doute pas la plus simple, mais on ne se refait pas : faire le miséreux ce n'était pas le style de Cuperno.
Flamber un peu n'empêchait pas non plus d'utiliser les bonnes vieilles ficelles... Il laissa juste le temps au malachite de prendre connaissance de la liste avant de demander au Lilith, d'un simple ordre mental, de l'appeler pour lui transmettre un enregistrement audio de sa cabine, en crypté.
Il prit un recul calculé :
"- Oui... Oui... Je sais... J'ai un peu de temps. On ne risque rien à voir ce qu'ils proposent..."
Un peu plus bas, mais pas trop :
"- C'est le genre de coin où on peut parfois faire des bonnes affaires, on ne sait jamais... Oui... Oui... Bien sûr, c'est toi le boss."
Puis il revint au comptoir, l'air de rien.
"- Alors M. Panazol, est-ce que vous pouvez nous aider ?"