2012-08-02, 08:43 PM
Virik referma soigneusement le sas et reprit le tube de montée … Il se rendit sur la passerelle et croisa Djal et Eron qui semblaient sur le point de partir en virée. Etait-il utile de leur répéter les consignes de sécurité qu’il avait déjà exposées ? Il s’assit en silence. Ils avaient des oreilles, certes rabougries et fixes, mais cela ne devaient pas les avoir empêché de l’entendre.
Il s’assit en silence à sa console et entreprit de vérifier que les trappes qu’il avait utilisées pour sa petite escapade extravéhiculaire avaient bien été revérouillées et les codes changés. Il observa sur ses écrans le travail de remise en état de la grande serre tribord. Les plus grandes espèces avaient été protégées par un champs de force environnemental et la remise en état des pelouses, massifs de fleurs et autres herbiers étaient en bonne voie grâce aux logimecs jardiniers. Ils ensemençaient en espèces à croissance rapide, en jeunes pousses qu’ils allaient chercher dans le laboratoire de botanique tout proche. Le marais putride ne serait bientôt plus qu’un lointain souvenir.
Il entreprit de demander à sa console la localisation des membres d’équipage et le tableau de service … Il coucha les oreilles en s’apercevant que madame Sémirande était manquante. Il demanda à sa console de localiser le lieu et l’heure du dernier enregistrement de celle-ci à bord. Il se repassa l’enregistrement de son « évasion ». Elle ne semblait pas sous la contrainte et agir de son plein gré. Il vérifia le tableau de service. Elle n’y avait pas signalé son départ.
Il demanda une ligne sécurisée à sa console : Madame Sémirande de Virik. Merci de signaler votre position et votre état de santé.
Sans attendre la réponse, celle-ci serait éventuellement relayée à la console de son armure, il se leva et se dirigea au hangar dans le but de s’assurer que son véhicule était opérationnel. Il fit un crochet en direction de l’infirmerie pour y prendre une civière médicalisée : celle-ci, pliée trouverait place dans le petit coffre de l’hélimob.
Il s’assit en silence à sa console et entreprit de vérifier que les trappes qu’il avait utilisées pour sa petite escapade extravéhiculaire avaient bien été revérouillées et les codes changés. Il observa sur ses écrans le travail de remise en état de la grande serre tribord. Les plus grandes espèces avaient été protégées par un champs de force environnemental et la remise en état des pelouses, massifs de fleurs et autres herbiers étaient en bonne voie grâce aux logimecs jardiniers. Ils ensemençaient en espèces à croissance rapide, en jeunes pousses qu’ils allaient chercher dans le laboratoire de botanique tout proche. Le marais putride ne serait bientôt plus qu’un lointain souvenir.
Il entreprit de demander à sa console la localisation des membres d’équipage et le tableau de service … Il coucha les oreilles en s’apercevant que madame Sémirande était manquante. Il demanda à sa console de localiser le lieu et l’heure du dernier enregistrement de celle-ci à bord. Il se repassa l’enregistrement de son « évasion ». Elle ne semblait pas sous la contrainte et agir de son plein gré. Il vérifia le tableau de service. Elle n’y avait pas signalé son départ.
Il demanda une ligne sécurisée à sa console : Madame Sémirande de Virik. Merci de signaler votre position et votre état de santé.
Sans attendre la réponse, celle-ci serait éventuellement relayée à la console de son armure, il se leva et se dirigea au hangar dans le but de s’assurer que son véhicule était opérationnel. Il fit un crochet en direction de l’infirmerie pour y prendre une civière médicalisée : celle-ci, pliée trouverait place dans le petit coffre de l’hélimob.